Rienqu'une larme dans tes yeux, C'est toujours ta seule réponse, Quand je te dis qu'il vaudrait mieux, Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelques fois Une larme a tout changé
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal € COMMENCEMENT. Corbeille AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet There's an ocean between us , Sookie . Lun 31 Jan - 2331 SOOKIE & HANNAH 2oh. Hannah, avachie dans son canapĂ©, regardait la tĂ©lĂ©, paisiblement, s'ennuyant mĂȘme. Elle regardait sa sĂ©rie favorite, Scrubs, elle connaissait chacun des Ă©pisodes par cƓur et rĂ©citait mĂȘme quelques rĂ©pliques. Cette sĂ©rie avait le don de la faire rire, car elle lui rappelait les souvenirs Ă  Vancouver avec Allan, son cousin. Ils passaient des nuits entiĂšre Ă  regarder les Ă©pisodes les un aprĂšs les autres, et rigolaient ensembles, un morceau de pizza sur la table basse et bien souvent une biĂšre pour Allan. Mais ce temps Ă©tait rĂ©solu, elle Ă©tait bel et bien seul, devant sa tĂ©lĂ©, Ă  regarder pour la Ă©niĂšme fois le baisĂ© entre Elliot et JD. Mais cette fois, aucun rire ne s'Ă©chappait de sa gorge, aucun sourire illuminait son visage, il y avait simplement une vingtaine de larmes, au bord de ses yeux prĂȘtes Ă  couler. Ses yeux noisettes brillaient dans l'obscuritĂ© du petit appartement, et seul la voix des acteurs brisait le silence de la journĂ©e qui se mourrait. Hannah se sentait seule, bien trop seule pour ĂȘtre heureuse, pourtant ici c'Ă©tait le paradis. Enfin, un paradis sans ses repĂšres. Et sans Allan. Dans un survĂȘtement dont le port devrait ĂȘtre interdit pour toutes les mannequins du monde tant il Ă©tait immonde, la jeune femme empoigna son cellulaire qui traĂźnait prĂšs d'elle. Sans rĂ©flĂ©chir, elle composa le numĂ©ro de son cousin. Quelques tonalitĂ©s se firent entendre, Hannah mit le haut parleur, et on dĂ©ccrocha. "_ Allo ?", Hannah ne rĂ©pondit pas, Ă©clatant en sanglot. Sa voix Ă©tait si rĂ©confortante, elle aurait voulu qu'il soit lĂ , tout prĂšs d'elle, pour la consoler, elle voulait se sentir en sĂ©curitĂ©, dans ses bras, mais il Ă©tait Ă  l'autre bout de la terre, loin d'elle. " _Hannah ? Est ce que tout va bien ? ", sa voix Ă©tait devenue un peu tendue, inquiĂšte. " _ Hannah, je t'entends pleurer, tes sanglots te trahisse, et s'il te plait parle moi .. " La jeune femme, d'un revers de manche, essuya les quelques larmes qui avaient couler le long de ses joues. " _ Allan .. je , j'arrive plus , j'en ai ma claque de ce pays , je veux revenir .. j'arrive pas sans toi .. mĂȘme les rĂ©pliques de Scrubs ne me font plus rire .. " Rien que de savoir que son cousin Ă©tait Ă  l'autre bout du fil lui suffisait Ă  sĂ©cher ses larmes et l'Ă©couter. Elle savait qu'il allait trouver les mots, comme Ă  peu prĂšs tous les soirs. " _ Ma belle Hannah, je veux pas voir une Cartwhite abattue, tu entends ça ? Alors, tu va enlever ce probable sur-vĂȘte que tu porte et qui te fais un gros derriĂšre, et tu va enfiler une belle robe et tu va sortir ce soir. Pas dans un endroit craignos hein ! Dans un bar chic tiens ! Et tu va penser Ă  ta nouvelle vie , bon sang Hannah ! Je t'ai vu sur les affiches d'Armani ! T'es incroyable et je laisserais pas un petit coup de blues te faire revenir et abandonner ce pour quoi tu es faite! De toute façon, si tu reviens, je t'ouvre pas la porte !" Hannah mĂȘla larme et rire. Il avait le don de la faire se sentir mieux. Le rire d'Allan raisonna Ă  l'autre bout du monde et ils continuĂšrent de parler durant quelques dizaines de minutes et en raccrochant, Hannah se sentait un peu mieux. Mais surtout, elle Ă©tait prĂȘte Ă  sortir, voir du monde, et elle se devait d'ĂȘtre souriante. Elle ne devait sous aucun prĂ©texte montrer aux autres ses faiblesses. Elle Ă©teignit la tĂ©lĂ©vision et fila dans la salle de bain. Elle prit une douche rapide, puis se prĂ©para de la tĂȘte aux pieds. Elle enfila une robe verte anis qui se mariait plutĂŽt bien avec ses cheveux blond. Un peu de rouge Ă  lĂšvres, du maquillage dĂ©licatement apposĂ© et une paire d'escarpin noir. Quelques bijoux pour habiller le tout et voilĂ  Hannah prĂȘte pour sortir. Elle aurait trĂšs bien pu promettre Ă  son cousin qu'elle sortirait puis finalement rester chez elle mais si il y avait bien une chose qu'elle ne supportait pas c'Ă©tait bien de trahir la confiance de ses proches. Il avait rĂ©ussit Ă  lui redonner de la motivation pour quelques temps et elle en profitait. Enfilant un manteau en lainage noir pour affronter le froid de la nuit, elle noua ensuite autours de son cou un foulard en soie qui la protĂ©gera des courants d'air baladeurs. Hannah, aprĂšs s'ĂȘtre parfumĂ©e un brin, empoigna son sac et quitta son appartement. Elle allait prendre un taxi et lui exiger de l'emmener dans un endroit huppĂ©. En moins d'un quart d'heure, la jeune femme se retrouva Ă  l'entrĂ©e d'un bar qui semblait assez remplie pour ĂȘtre amusant mais pas trop craignos. Parfait. La jeune femme paya le taxi puis avant d'entrer dans le bar, elle souffla un bon coup, elle allait ĂȘtre souriante, froide avec les autres pour se protĂ©ger, elle allait se trouver une proie Ă  croquer ce soir et elle s'amuserait bien. Plus facile Ă  dire qu'Ă  faire. VoilĂ  une demi heure que la jeune femme Ă©tait assise au bar, elle avait dĂ©jĂ  sirotĂ© trois vodka-pĂȘche et si ça continuait comme ça, elle n'allait pas faire long feu. Sa dĂ©prime avait repris le dessus et Ă  prĂ©sent, elle ne pensait plus qu'Ă  boire et se faire le mec qui Ă©tait au milieu de la piste, avec un fessier de rĂȘve et un dĂ©hanchĂ© Ă  faire pĂąlir Elvis Presley. Hannah qui n'Ă©tait pas assez ivre pour l'aborder resta au comptoir, Ă  critiquer les filles que son regard croisait. Il s'arrĂȘta d'ailleurs sur Sookie. Ahh ! Sookie ! La grande amie d'Hannah ! Une cruche oui ! Elle ne la supportait pas et elle allait peut ĂȘtre trouver sa distraction avec elle. DiscrĂštement, elle effaça d'un geste du doigt le Rimmel qui avait coulĂ© sous ses yeux et elle se repoudra les joues afin d'ĂȘtre plus pimpante. MalgrĂ© sa tristesse, un sourire de peste s'afficha sur ses lĂšvres. Son regard s'arma, hautain et glacial et elle observa Sookie jusqu'Ă  ce que celle ci daigne poser les yeux sur elle. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Dim 6 FĂ©v - 1543 Pourquoi Ă©tait-elle dans un bar alors qu’elle n’était mĂȘme pas sensĂ©e ĂȘtre ici ? Ah ouais ! Elle s’en souvenait maintenant
 Il avait fallut que la plupart des stripteaseuses de la boite oĂč elle travaillait veuillent fĂȘter l’arriver d’une toute nouvelle recrue d’une douceur Ă  faire pĂąlir toutes les petites saintes ni touche du coin
 Cette fille Ă©tait du genre Ă  ĂȘtre parfaitement calme, un sourire enfantin, un visage doux et un grand regard bleu ocĂ©an dans lequel on pouvait se perdre en quelques secondes mais derriĂšre toutes cet attirail enfantin se cachait une vraie petite peste chaude comme la braise
 Bah quoi ?! C’était l’entiĂšre vĂ©ritĂ© et savoir qu’elle allait faire partie du groupe n’était pas quelque chose qui enchantait vraiment une jeune femme aussi calme que Sookie. C’est vrai ! AprĂšs tout, l’entier personne de Bella Ă©tait bien montĂ© sur toute la douceur de la jeune femme, sa pudeur et sa douceur
 Si une autre venait Ă  prendre sa marque de fabrique et y apportait sa touche personnelle alors elle n’aurait bientĂŽt plus de clients du tout ! Quoi que
 Il fallait avouer qu’on pouvait bien deviner quelques vergetures sur ses cuisses plutĂŽt rondouillettes alors si un homme prĂ©fĂ©rait ce genre de femme, qu’il la prenne mais Sookie savait une chose Les hommes la choisissait plus sur son physique irrĂ©prochable, ce qu’elle pouvait dĂ©gager dans son attitude que n’importe quoi d’autre chez elle
 Et oui, Sookie Ă©tait ce genre de femme qui passait trois heures Ă  se prĂ©parer chaque soir parce que c’était bien lĂ  son secret pour avoir le plus d’argent possible et de pouvoir se permettre de prendre certains soirs pour pouvoir rester au calme chez elle Elle ne comptait que sur une seule chose Son physique de rĂȘve, sa peau lisse et douce, son visage dĂ©licieux, son ventre plat et la beautĂ© des dessous qu’elle pouvait porter
 Tout n’était qu’apparence dans son monde et c’était sĂ»rement pour ça qu’elle portait Ă  chaque striptease une perruque rose et des lentilles bleues
 Outre le fait que c’était pour cacher son identitĂ© aux hommes qui venaient profiter du spectacle, c’était aussi pour attirer l’attention avec le rose et capter les regards avec le bleu
 FutĂ©e la belle hein ! Elle savait d’ailleurs ce qui plaisait aux hommes parce que dĂ©s qu’elle voyait la satisfaction dans les regards elle retenait ce qui a plu et l’utilisait Ă  bon escient et c’est ainsi qu’elle gagnait autant d’argent, en vendant son corps de façon tout Ă  fait dĂ©gradante mais plus que lucrative ! Intelligente, elle aurait finalement pu devenir avocate mais qu’importe, elle avait finit stripteaseuse et elle ne pouvait plus revenir en arriĂšre aujourd’hui parce qu’elle ne dĂ©pendait que de ces soirĂ©es pour vivre et si elle voulait reprendre ses Ă©tudes, il Ă©tait un peu trop tard sachant que les Ă©tudes de droit Ă©taient plutĂŽt longues
 Non ? Et bien oui trĂšs cher ! Et ça, elle en avait entiĂšrement conscience et c’est sĂ»rement pour cette raison que la jolie demoiselle avait dĂ©cidĂ© que si elle prenait le boulot de stripteaseuse, s’en Ă©tait fini de tous ces plans de carriĂšre qu’elle avait pu faire dans sa jeunesse
 Et elle l’avait fait ! Aujourd’hui ses parents croyaient qu’elle Ă©tait une serveuse tout ce qu’il y a de plus respectable alors qu’en rĂ©alitĂ© elle Ă©tait une stripteaseuse plutĂŽt connue dans le monde de la nuit et plutĂŽt quottĂ©e qui Ă©tait payĂ©e Ă  l’heure et ça, c’était du luxe ! Finalement, elle s’en sortait plutĂŽt bien, elle ne connaissait que trĂšs peu de monde Ă  Sidney et vivait surtout la nuit, une vraie noctambule qui se dĂ©cide parfois Ă  aller faire les courses aprĂšs le boulot, couverture d’une couche de maquillage impressionnante qui pouvait parfois surprendre la caissiĂšre qui restait lĂ  Ă  la fixer comme si elle Ă©tait une folle sortie de l’asile alors qu’en rĂ©alitĂ© elle sortait seulement du boulot
Pourquoi avait-il fallut qu’elle accepte cette foutue invitation pour l’arrivĂ©e d’une nouvelle peste dans la bande ?! Elles avaient toujours Ă©tĂ© un groupe de cinq jeunes femmes, les meilleures dans la boite oĂč elle travaillait, elles ne sortaient jamais ensembles mais dĂ©s qu’elles se croisaient, elles s’adressaient un petit clin d’Ɠil significatif. Elles ne se cĂŽtoyaient que dans la boite alors pourquoi faire diffĂ©remment pour une idiote ?! Le regard plongĂ© dans son verre de Whisky pur, la jeune femme se demandait ce que faisait quelqu’un d’autre
 S’il bossait ce soir, si elle pouvait peut-ĂȘtre l’appeler histoire qu’ils se voient au lieu qu’elle se fasse chier ici avec une bande de tarĂ©es idiotes qui s’étaient mises Ă  danser dans un coin du bar pendant qu’elle, elle restait assise au bar Ă  se regarder dans le reflet marron du liquide dans son verre. VDM
 Elle en avait marre de cette vie, elle en avait marre de porter des dessous un peu trop petits pour elle histoire d’allumer toute une bande de connards qui ne voulaient qu’elle, son corps et non la connaĂźtre
 Caleb
 Heureusement qu’il n’avait pas voulu ça d’elle sinon il serait mal tombĂ© et il serait sĂ»rement retournĂ© bien vite dans son coin tellement elle dĂ©testait ce genre de choses
 Baissant vite fait sa robe sur ses cuisses, la jeune femme soupira, elles l’avaient naturellement obligĂ©e Ă  sortir un Jeudi soir, alors que ce soir-lĂ  elle restait toujours chez elle dans des vĂȘtements trop grands pour elle. LĂ , elle portait une robe collante, noire qui attirait les regards, chose qu’elle dĂ©testait par-dessus tout, elle avait du se maquiller pour une nulle
 GĂ©nial ! Elle aurait peut-ĂȘtre pu dire non aprĂšs tout, elle aurait seulement eut Ă  dire qu’elle ne pouvait pas, qu’elle sortait avec quelqu’un
 Pour qu’on l’emmerde encore plus et lui demande qui Ă©tait ce fameux rendez-vous et plus dĂ©tails pour ensuite le lui piquer
 Non, dĂ©cidĂ©ment, elle n’allait sĂ»rement pas parler de Caleb Ă  personne, elle allait le garder seulement pour elle, comme un souvenir dĂ©licieux qu’on laisse revenir en mĂ©moire seulement lorsqu’on veut ĂȘtre heureux. D’ailleurs, celui-ci lui revint bien vite en mĂ©moire et elle finit par sourire bĂȘtement Ă  son verre avant de relever les yeux vers le serveur qui l’observait depuis quelques minutes dĂ©jà
 Je crois vous connaĂźtre
 ». Oups
 Non, non, non ! Elle ne pouvait pas ĂȘtre reconnue aussi facilement ! Elle eut un petit sourire gĂȘnĂ© et fronça les sourcils, faisant dĂ©jĂ  dĂ©filer la centaine de visage d’hommes Ă  qui elle avait bien pu faire un striptease, cherchant si cet homme l’avait reconnue ou si il l’avait seulement vue un jour auparavant en la bousculant ou quelque chose comme ça
 Pourtant, il ne figurait pas du tout sur sa liste noire alors qui Ă©tait-il
 La jeune femme finit par hausser les Ă©paules avec un sourire entendu avant de dire d’une voix presque dĂ©daigneuse sans rĂ©ellement le vouloir Oh vous savez, j’ai un visage plutĂŽt commun
 ». Baissant Ă  nouveau son regard sur son verre, elle soupira vivement pendant que l’homme en question s’éclipsait au profit de ses clients. Elle avait eut chaud aux fesses parce que s’il se mettait Ă  hurler dans tout le bar qu’elle Ă©tait une stripteaseuse, elle se sentirait bien conne comme fille ! Sa vie Ă©tait en jeu, personne ne devait savoir qui elle Ă©tait la nuit, au boulot. Se retournant, la jeune femme se permit un regard vers la bande de fille se dĂ©hanchait Ă  prĂ©sent comme des chaudasses devant une bande d’hommes assoiffĂ©s
 Apparemment, elle n’en avait pas assez de leur boulot, il fallait qu’elles continuent en dehors, et en plus, sans ĂȘtre payĂ©es ! Finalement, elle Ă©tait trĂšs bien au bar, au calme, pas du tout embĂȘtĂ©e par une bande de folles, d’ailleurs, c’était comme si elle n’existait plus du tout et ça c’était trĂšs bien pour elle ! Manquerait plus qu’elles lui disent de venir se trĂ©mousser et lĂ  elle se mettait Ă  hurler en s’accrochant au bar pour ne jamais y aller
 Tiens
 Alors qu’elle se retournait vers le bar, la jeune femme aperçu une jolie blonde qu’elle reconnu immĂ©diatement
 Hannah
 Mais que faisait-elle seule au monde dans un bar ?! En tout cas, elle n’allait pas lui parler Ă©tant donnĂ© qu’elle Ă©tait toujours lĂ  pour la descendre et que, franchement, ce soir elle n’avait pas trop envie de se faire emmerder par la reine des petites pestes
 Elle baissa donc rapidement son regard vers son verre en espĂ©rant pour qu’elle ne l’ait pas vue et pour qu’elle ne dĂ©cide pas de se pointer par ici
 Sinon, ça allait finir en carnage
 InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Mar 15 FĂ©v - 2120 Ce bar aux allures chic avait finalement un fond qui agaçait Hannah. Ce genre de pseudo bar moderne oĂč la fausse luxueuse jeunesse passaient leurs soirĂ©es. Hannah n'Ă©tait pas issue d'une famille trĂšs riche, elle venait d'une famille plutĂŽt aisĂ©e certes mais qui exerçait dans le domaine artistique. Hannah n'avait pas Ă©tĂ© habituĂ© au soirĂ©e mondaine, au champagne Ă  gogo et aux robes de crĂ©ateurs. Elle avait grandit entre deux sĂ©ances photos de son pĂšre et les piĂšces de théùtre de sa mĂšre. Pourtant, aujourd'hui, Hannah agissait comme une garce, elle se rebellait contre ce monde qui lui avait enlevĂ© sa sƓur. Elle voulait faire souffrir les autres autant qu'elle avait souffert. Elle se protĂ©geait aussi, devenant insupportable, faisant rager les autres femmes en allumant leurs conjoints, et se faisant passĂ© pour la salope de service. Cette carapace de haine permettait Ă  Hannah de tenir le coup, de ne pas s'effondrer. Elle s'interdisait de craquer, elle devait ĂȘtre forte. C'Ă©tait ce qu'Allan lui avait dit, c'Ă©tait le seul sur cette terre qui connaissait Hannah ainsi, faible, dĂ©truite et rongĂ©e. Lui seul avait le don de la motiver, lui seul pouvait la consoler. Il Ă©tait le seul Ă  connaĂźtre la Hannah dĂ©truite qui s'endormait en sanglot le soir et qui souffrait chaque seconde. Toute la superficialitĂ© qui se dĂ©gageait d'Hannah Ă©tait fausse, elle n'Ă©tait pas une fille comme ça, loin de lĂ . Ce soir, elle se fichait bien de la beautĂ© de la robe Armani qu'elle avait sur les Ă©paules , tout autant que ses Louboutins qui lui faisait mal aux pieds. Elle Ă©tait ici avant tout pour aller mieux. Elle devait optimiser. Elle respira un bon coup puis le sourire qu'elle avait perdu s'afficha sur son visage rempli de malice et de mĂ©chancetĂ©. Elle venait de croiser le regard de Sookie. La jeune brune Ă©tait au bar, un peu plus loin. Hannah l'avait bien Ă©videmment vu et elle s'apprĂȘtait Ă  lui faire une petite crasse, rien de bien mĂ©chant, juste amusant. Avant d'agir, Hannah commanda un nouveau verre de vodka songeant Ă  sa future Hannah et Sokkie ce n'Ă©tait pas l'amour fou. En fait, c'Ă©tait Hannah qui l'avait pris dans sa ligne de mir. Elle Ă©tait un peu son souffre douleur. Elle passait ses nerfs sur elle, sans scrupules. Sookie et Hannah ne se connaissait mĂȘme pas et en y rĂ©flĂ©chissant bien, Hannah ne connaissait rien d'elle hormis son prĂ©nom qui avait, soit dit en passant, le don de l'agacer. Elle ne se souvenait pas oĂč et comment elles s'Ă©taient rencontrĂ©es mais elle s'en fichait pas mal. Son seul but et sa seule envie c'Ă©tait de voir l'angoisse et la panique dans les yeux noisettes de la jeune brune. S'enfilant avec rapiditĂ© sa vodka, Hannah commanda un coktail Ă  base de grenadine et de gin. Elle se leva, empoignant sans une main son sac et dans l'autre le verre. Prenant la direction de Sookie, elle arma son regard d'innocence puis arrivĂ© Ă  sa hauteur, elle fit mine de trĂ©bucher puis versa "par inadvertance" le liquide carmin sur la robe de la jeune femme. Lançant un regard faussement dĂ©solĂ©, Hannah porta sa main Ă  sa bouche et lĂącha un "-Opps !" avant de retrouver un air plus hautain, satisfaite de son petit coup, elle lança un regard victorieux et rempli de haine, un sourire diabolique aux lĂšvres. Elle attendait sa rĂ©action, entendant dĂ©jĂ  les commentaires des personnes aux alentours qui avaient vu la scĂšne. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Dim 6 Mar - 1553 La honte
 La honte cuisante
 Celle qui rend vos joues rouges tomates et qui vous porte les larmes aux yeux jusqu’à ce qu’enfin, celles-ci se mettent Ă  couler sans que vous ne puissiez une seule seconde les retenir parce que, de toute façon, il n’y a rien d’autre Ă  faire Ă  part ça Pleurer. Sookie ne l’avait jamais vraiment ressentie, la honte. AprĂšs tout, lorsqu’on est miss catastrophe, on ne peut dĂ©cemment pas avoir honte Ă  chaque petite chose qui vient nous gĂȘner tout simplement parce qu’on fait trop d’erreurs gĂȘnantes et qu’à force on nous prendrait pour un arrosoir Ă  larmes. Avouons quand mĂȘme que pour sa dĂ©fense, la plupart du temps, ce n’était pas vraiment Sookie qui commettait une bourde mais plutĂŽt les gens autour qui avaient deux pieds gauches ou bien deux mains gauches
 Finalement, les seules rĂ©elles bourdes de sa part se passaient chez elle, lorsqu’elle Ă©tait seule et que personne ne pouvait vraiment la voir, Ă  part si elle avait des camĂ©ras ou que ses voisins pervers la regardaient de chez eux avec des jumelles
 Mais franchement elle n’espĂ©rait pas vraiment ĂȘtre Ă©piĂ©e nuit et jour par ses voisins pervers ! Enfin bref, la derniĂšre bourde en date avait d’ailleurs Ă©tĂ© vue par un jeune homme qui avait Ă©tĂ© invitĂ© chez elle Ă  la suite d’une soirĂ©e merveilleuse, elle avait lĂąchĂ© un verre sans vraiment le faire exprĂšs, le brisant en mille morceaux et devant se mettre Ă  quatre pattes histoire de le ramasser, le comble avait Ă©tĂ© lorsqu’elle s’était coupĂ©e et avait du lui avouer qu’elle Ă©tait fortement sensible au sang et qu’elle n’allait pas tenir debout, lĂ  c’était vraiment la honte, pour une toute petite blessure de rien du tout, elle avait dĂ©jĂ  la tĂȘte qui tournait et devait montrer ses faiblesses Ă  un parfait inconnu. Mais la rĂ©elle raison pour laquelle Sookie n’avait pas vraiment honte en publique, c’est parce qu’elle Ă©tait devenue anormalement attentive Ă  chaque dĂ©tails du monde qui l’entourait dĂ©s qu’elle sortait de son appartement, ainsi, elle pouvait se pousser dĂ©s qu’une femme déçue enverrait son verre dans la tĂȘte de son compagnon sans faire une seconde attention Ă  la demoiselle qui se trouve juste derriĂšre et qui n’a mĂȘme pas demandĂ© Ă  ĂȘtre arrosĂ©e. Sookie Ă©tait devenue un Ɠil de lynx qui regardait partout, tout le temps, mĂȘme au travail, elle avait dĂ©veloppĂ© un sixiĂšme sens histoire de savoir si un client faisait tomber son verre par inadvertance sur la scĂšne et qu’elle pouvait risque de glisser sur l’alcool. Ainsi, la jeune demoiselle Ă©tait l’une des personnes les plus prĂ©cautionneuses de la ville, ne s’aventurant pas n’importe oĂč, n’importe quand avec n’importe qui sans savoir si elle pourrait faire une bĂȘtise qui lui mettrait la honte. Malheureusement pour elle, la jeune femme n’était pas encore protĂ©gĂ©e contre les sales garces qui venaient dĂ©libĂ©rĂ©ment essayer de lui mettre la honte seulement pour lui en faire voir plein la tronche. Et ouais, depuis toujours, Sookie Ă©tait un aimant Ă  boulets du type high level » qui dĂ©cidaient de venir lui pourrir sa vie seulement parce que son corps de rĂȘve et son joli visage ne leur plaisait pas, comme si elle avait demandĂ© autant d’attention. D’ailleurs, Sookie n’avait jamais demandĂ© autant d’attention, de nature plutĂŽt effacĂ©e, Sookie Ă©tait ce genre de fille dĂ©brouillarde qui ne demande Ă  personne de l’aide, qui fait tout toute seule, qui n’en tire aucun mĂ©rite et qui Ă©vite tout le temps de faire parler d’elle, surtout au niveau du travail parce qu’elle savait que dans le monde du striptease, dĂ©s qu’on commence Ă  parler une seule fois de vous, on ne vous lĂąche plus et surtout, on veut absolument avoir qui vous ĂȘtes rĂ©ellement et ça, Sookie n’en voulait surtout pas ! Et pourtant, il fallait que ses priĂšres ne soient pas entendues
 Non, parce que si le tout puissant l’avait rĂ©ellement Ă©coutĂ©e lorsqu’elle lui disait qu’elle n’avait vraiment pas besoin d’une petite idiote sur ses Ă©paules, elle n’aurait pas eut le droit Ă  cette magnifique rencontre avec Hannah, la pimbĂȘche de service qui se croit meilleure que toutes les autres sous prĂ©texte qu’elle a plus d’argent, des fringues de crĂ©ateur et qu’elle est mannequin ! Une sorte de rivalitĂ© s’était instaurĂ©e sans que Sookie ne le demande, comme si elle Ă©tait cette petite saint ni touche que Hannah avait toujours cherchĂ© afin de lui pourrir littĂ©ralement la vie, jusqu’au bout, en y prenant un rĂ©el plaisir au passage ! Pourtant la demoiselle ne semblait pas si pimpante qu’elle n’y paraissait, pire encore, Sookie se demandait si elle Ă©tait rĂ©ellement ce qu’elle prĂ©tendait ĂȘtre dans son apparence histoire de faire voir au monde qu’elle va trĂšs bien alors qu’en rĂ©alitĂ©, elle ne va pas bien du tout. C’est ainsi que lorsque ce soir la jolie brune s’était dĂ©cidĂ©e Ă  suivre ses copines stripteaseuse, elle ne s’était pas vraiment attendue Ă  ĂȘtre bien servie si elle croisait ladite Hannah. Elle avait acceptĂ© sans rĂ©ellement le vouloir, se disant que ça la changerait un peu de son appartement vide, quelque chose qui sort du commun en fait. AprĂšs tout, elles avaient bien raison en lui disant qu’elle devrait sortir plus souvent et exhiber son joli minois autre part que dans cette boite de striptease oĂč on ne la reconnaissait mĂȘme pas au passage. Elle devait penser un peu Ă  vivre, le plus important Ă©tant qu’elle avait aujourd’hui vingt-trois ans et qu’il Ă©tait temps de mettre le passĂ© derriĂšre elle et que vivre avec le prĂ©sent sans ne plus avoir peur de mal tomber parce qu’aprĂšs tout, elle avait toujours la possibilitĂ© d’appeler Caleb si elle prenait peur de quelque chose, il aurait peut-ĂȘtre le temps de la rassurer avant de revenir Ă  son travail, vu que le travail d’un policier Ă©tait bien de rassurer parfois des personnes qui ont peur aprĂšs une agression qui les auraient marquĂ©s ! Enfin bon, ce soir elle Ă©tait de sortie et espĂ©rait vivement ne pas voir miss pimbĂȘche une seule fois parce que sinon elle pouvait s’attendre au pire ! Et pourtant, aprĂšs quelques temps passĂ©s seule au bar, accoudĂ©e Ă  celui-ci, un verre bien vissĂ© dans sa main comme si le but de cette soirĂ©e Ă©tait plus de boire que de s’amuser avec ses collĂšgues qui se croyaient en boite de nuit et qui dansaient comme des prostituĂ©es sur la piste de danse, lui mettant une lĂ©gĂšre honte d’avoir dĂ©cidĂ© de les suivre ce soir
 Dans sa tĂȘte, elle se rĂ©pĂ©tait encore et encore Je ne le connais pas, je ne les connais pas
 » et priait pour qu’elles ne se dĂ©cident pas Ă  venir l’inciter Ă  danser elle aussi pour ne pas que les gens osent porter le regard vers elle, lĂ  ce serait une vraie honte cuisante parce qu’en rĂ©alitĂ©, Sookie savait se dĂ©hancher, certes, mais danser, non
 Et puis c’est alors qu’elle la vit, assise Ă  l’autre bout du bar, avec un verre dans les mains, la menace Ă©tait bien prĂ©sente. MERDE ! Elle espĂ©rait vainement ne pas avoir Ă©tĂ© repĂ©rĂ©e mais c’était peine perdue, cette Hannah avait des yeux partout et avait le don de la voir n’importe oĂč Ă  n’importe quelle heure de la journĂ©e et de lui faire les pires crasses. Ainsi, Sookie resta les yeux baissĂ©s, priant pour ne pas avoir Ă  lui adresser la parole, commandant un nouveau verre aprĂšs avoir vidĂ© le sien. Elle dĂ©testait avoir Ă  se cacher de quelqu’un sous prĂ©texte qu’elle ne voulait pas crĂ©er de conflit et pourtant c’était ce qu’elle avait toujours fait, elle ne voulait surtout pas d’ennemis, sa politique Ă©tant que les ennemis n’étaient faits que pour vous pourrir la vie, ce que faisait trĂšs bien Hannah d’ailleurs ! En parlant de la blondinette, celle-ci se ramenait par ici avec un verre dans la main, la jolie brune ne bougea pas mais bientĂŽt Hannah fit semblant de faire tomber l’entiĂšretĂ© du verre dans son dĂ©colletĂ©, Sookie sentant le liquide glisser sur sa poitrine. Elle ne pu retenir un petit cri de surprise avant de sentir une nuĂ©e de regards portĂ©s sur elle, certaines personnes riaient, d’autres se demandaient ce qu’il se passait, un serveur apportait bien gentiment une serviette Ă  la jolie demoiselle qui lui sourit avant de prendre la serviette, le remerciant du regard. Elle n’en croyait pas ses yeux ! Mais pour qui elle se prenait celle-lĂ  de venir l’arroser de cette façon ! N’avait-elle pas de classe ?! Sookie se mit alors Ă  rire contre toute attente avant de fixer Hannah et de lui dire d’une voix douce Je me demandais
 Pourquoi tu t’acharnes sur moi ? Est-ce que je suis seulement un dĂ©fi, une façon de te prouver Ă  toi-mĂȘme que oui, tu peux ĂȘtre une garce ? Ou bien est-ce seulement pour voir jusqu’à quel niveau de la connerie tu peux aller ? Parce que franchement, la moitiĂ© des personnes prĂ©sentes savent que tu en a fait exprĂšs
 T’aurais pu avoir le cran de faire mieux
 ». Attrapant son verre la jolie brune le lança en plein dans le visage d’Hannah avant de lui tendre bien gentiment la serviette et de lui dire aprĂšs un petit clin d’Ɠil Comme ça par exemple ! Au moins t’aurais eut l’air d’avoir du caractĂšre
 Grandis Hannah
 Et cherche ce qui va pas dans ta petite cervelle
 » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Mer 16 Mar - 2106 Parfois Hannah essayait de comprendre pourquoi elle Ă©tait devenue aussi mauvaise. La question n'Ă©tait pas simple mais pourtant la rĂ©ponse Ă©tait Ă©vidente. La pĂ©riode la plus sombre de la vie d'Hannah n'Ă©tait autre que la mort de sa sƓur jumelle. Elle devait le reconnaĂźtre, elle n'Ă©tait jamais sortie de cette pĂ©riode, elle y sombrait un peu plus chaque jour malgrĂ© l'aide d'Allan. En soit, elle ne s'Ă©tait jamais remise de l'absence de sa soeur. A la seconde oĂč le cƓur de Colleen avait cessĂ© de battre, celui d'Hannah s'Ă©tait vidĂ© d'amour et d'espoir laissant place Ă  l'incomprĂ©hension et la colĂšre. Sa moitiĂ© venait de partir, alors qu'elle n'avait que 12 ans. A partir de ce moment, Hannah Ă©tait passĂ© par plusieurs stade. D'abord le deuil, long et douloureux, il avait durĂ© plusieurs annĂ©es. A quinze ans, Hannah avait des envies de rejoindre sa sƓur, pour ne plus souffrir. Mais on lui avait toujours empĂȘchĂ©. Elle s'Ă©tait alors rendu compte que son deuil n'Ă©tait pas achevĂ© et qu'elle n'avait plus qu'une seule solution pour survivre, elle devait se cacher derriĂšre une carapace de mĂ©chancetĂ©, afin de se protĂ©ger. C'est ce qu'elle fit, jusqu'Ă  maintenant encore. Elle Ă©tait dĂ©testable, peste, mĂ©chante, garce; tout ce qui Ă©tait nĂ©cessaire afin d'ĂȘtre forte. Elle prĂ©fĂ©rait paraĂźtre odieuse plutĂŽt que d'ĂȘtre faible et d'attirer la pitiĂ©. Pas question de pleurer devant quelqu'un hormis Allan. Ce n'Ă©tait pas marrant pour lui de devoir supporter la tristesse et les plaintes incessantes de sa cousine. Mais il Ă©tait de loin l'homme le plus comprĂ©hensif de la terre et surtout le cousin le plus gĂ©nial de l'univers. Hannah Ă©tait consciente de la chance qu'elle avait d'avoir Allan mĂȘme si elle vivait plutĂŽt mal l'Ă©loignement. Il lui avait presque ordonnĂ© ce soir de sortir et au vu de l'Ă©volution des Ă©vĂšnements, Hannah ne regrettait en rien d'ĂȘtre sortie dans ce bar. Son regard s'Ă©tait posĂ© sur Sookie. Une jeune femme dont elle ne connaissait que le prĂ©nom, Ă  vrai dire. Mais peu importe, elle Ă©tait une bonne proie qui n'avait pas tellement de moyen de defense. C'est du moins ce que pensait Hannah. Les lionnes attaquaient toujours les gazelles blessĂ©es et aux yeux d'Hannah, elle Ă©tait la lionne et Sookie la gazelle. Une proie facile et amusante. Ni une, ni deux, aprĂšs s'ĂȘtre re-blushĂ©e les pommettes et effacer les dĂ©buts de larmes, Hannah avait frappĂ©. Renversant son verre sur la belle robe de Sookie. Son geste Ă©tait bien Ă©videmment volontaire et tout le monde avait pu le constater. Hannah essaya d'imaginer ce que dirait Allan en la voyant faire. Il ne serait pas fier certes mais il savait pourquoi Hannah se comportait de cette façon, il ne pouvait donc pas lui en vouloir. Bien Ă©videment, elle omettrait de lui raconter cet Ă©pisode une fois au tĂ©lĂ©phone quoi que Hannah Ă©tait fiĂšre de sa petite personne en faisant une telle chose. Une petite voix dans le fond de sa tĂȘte la fĂ©licitait et elle Ă©tait contente de voir que finalement elle s'amusait bien. Sookie sembla choquĂ©e et son regard si particulier rĂ©galait la mĂ©chancetĂ© de la belle Cartwhite. Comment allait-elle rĂ©agir ? Hannah n'attendait que ça , voir la rĂ©action de la brune et en rire. Rien ni personne ne pouvait l'atteindre, les paroles blessantes, les actes violents ou dĂ©gradants.. tout ça lui passait au dessus de la tĂȘte et elle trouvait toujours les mots pour rabaisser son interlocuteur. L'unique chose qui ferait qu'Hannah s'effondre n'Ă©tait autre que le sujet extrĂȘmement sensible.. la mort de sa sƓur. Mais personne ici n'Ă©tait au courant , elle tentait donc d'y penser le moins possible pour ne pas se trahir. Sookie prit alors la parole, envoyant au visage d'Hannah des mots bien trop doux pour atteindre Hannah. Portant le bord du verre vide Ă  ses lĂšvres, un sourire de peste et hautain dessina sa bouche. L'attaque de Sookie Ă©tait prĂ©visible et elle n'Ă©tonna qu'Ă  moitiĂ© la jeune blonde. Elle Ă©tait certes couverte de cocktail mais elle te flancha pas. Il fallait bien plus pour faire tomber la jeune femme. Ignorant la serviette que Sookie lui tendait, elle passa dĂ©licatement sa main sur sa joue afin d'enlever une goute d'alcool parmi les milliers qui se trouvait sur son visage, ses cheveux et son cou. Elle arma son regard de mĂ©chancetĂ© et de froideur, elle laissa une seconde de silence s'Ă©couler puis prit la parole, d'un ton calme mais terriblement Tu sais la diffĂ©rence entre toi et moi Sookie, hormis le fait que tu portes des vĂȘtements de la saison derniĂšre, c'est que moi, mĂȘme avec mes cheveux trempĂ©s et mon maquillage dĂ©goulinant, je reste classe. Tout vas trĂšs bien pour moi, c'est gentil de t'en inquiĂ©tĂ©, quant Ă  toi, je m'en fou, mais sache que ce verre que je t'ai lancĂ© Ă  la figure est bien loin d'ĂȘtre le dernier. Je suis pas immature, je ne t'aime pas c'est tout, fais toi une raison. Et je ne te lĂącherais pas, imprime bien ça dans ta petite tĂȘte de faible fille qui pense ĂȘtre mieux que les autres alors que trĂšs sincĂšrement, tu ne m'arrive pas Ă  la cheville. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . There's an ocean between us , Sookie . Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. Corbeille MikeBrant s'installe au 181-183 avenue Victor-Hugo dans le 16 e arrondissement de Paris [20].Le 28 octobre 1970, il sort Mais dans la lumiĂšre (100 000 exemplaires Ă©coulĂ©s) et remporte le Grand Prix RTL [21].En revanche, sa chanson Ă©crite et composĂ©e par son ami MoshĂ© Michael Tchaban, Why do I love you ?, n'est pas diffusĂ©e sur les radios françaises au motif qu'elle est Paroles de la chanson Rien Qu'une Larme par Mike Brant Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelquefois Une larme a tout changĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute, trop de fois, Mon amour tu as pleurĂ© J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis restĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire ... Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime
Titre: Rien qu'une larme Paroles : Michel Jourdan Musique : Brand Moshe ----- C F Rien qu'une larme dans tes yeux G C C'est toujours ta seule réponse C F Quand je te dis qu'il vaudrait mieux G C Ne plus se revoir nous deux E Am J'étais certain cette fois E C Que tu me retiendrais E Am On se trompe quelques fois F G Une larme a tout changé Rien qu'une
Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageNiwa KelInvitĂ©Sujet * ...des mots... * [PV] Dim 15 Oct 2006 - 1946 Nuit sombre
esprits perdus
les questions se posent, l’inquiĂ©tude est Ă  son comble. Au sol une terre gelĂ©e malgrĂ© la saison. Au ciel des nuages perdus les uns dans les autres dans ce noir d’encre impĂ©nĂ©trable
La Lune quasi inexistante embrasse les tĂ©nĂšbres
Les tombes prĂ©sentes sont toujours aussi facile Ă  voir, mais les inscriptions elles, sont illisibles suite Ă  ce paysage. Tout semble calme, comme souvent. Mais reste cette terre gelĂ©e
pourquoi est-elle ainsi ? Une seule explication possible, la prĂ©sence d’une personne
Mais qui est-elle ?
Comme pourrait le remarquer un passant, il se trouve qu’elle est assise dans ce cimetiĂšre, en face d’une de ces tombes. Mais il ne pourrait rien voir de plus
et c’est pour cela que nous allons nous en avançons
encore
oui, encore un peu
voilĂ , nous y sommes. Une taille et une carrure plutĂŽt imposante composent son extĂ©rieur ; un vĂȘtement et un chapeau noirs cachent celui-ci ; d’immenses chaĂźnes traĂźnent derriĂšre lui
C’est un personnage bien Ă©trange qui se trouve là
Ses doigts caressent presque avec tendresse la paroi tombale. Mais dĂ©licatement il les retira et se leva. Il passa sa main droite dans sa veste, puis il la retira. Une baguette de taille moyenne venait d’ĂȘtre prise
Et il recula
Et soudain, un Ă©clair rouge fusa droit devant lui et vint s’écraser contre la tombe. Cette derniĂšre explosa, en laissant derriĂšre elle un cratĂšre profond de quatre mĂštres carrĂ©s
Et sans mĂȘme adresser un simple regard Ă  son rĂ©sultat, il se avança Ă  travers le cimetiĂšre. Il semblait voler au-dessus du sol
Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce vrai ? Qui sait
Il ne faisait pas attention aux alentours, et pourtant, ses sens surveillaient le moindre geste possible, le moindre son audible. Puis il s’arrĂȘta sur sa route
regarda une tombe prĂ©cise, et lui rĂ©serva le mĂȘme sort que la prĂ©cĂ©dente
Mais que faisait-il vraiment ? Avait-il un but prĂ©cis ou Ă©tait-ce de l’amusement ?
impossible de connaĂźtre les rĂ©ponses
Mais il le faisait
Et le temps passa doucement
En attendant, il s’était assis au centre du cimetiĂšre, ou plus prĂ©cisĂ©ment, au centre du premier cratĂšre qu’il avait fait
Il s’avĂšre que c’était son beau-pĂšre qui reposait en paix
sans plus attendre, il Ă©tait venu le rejoindre, pour le dĂ©truire Ă  tout jamais
Il avait maintenant l’esprit leva la tĂȘte
on pouvait voir une paire de lunettes noires, qui cachaient le peu de son visage visible. C’était une personne bien mystĂ©rieuse qu’on avait lĂ . Mais on pouvait sentir une lĂ©gĂšre froideur autour de lui, et la gentillesse devait ĂȘtre assez rare Ă  premiĂšre vue
Etait-ce faux ? Bonne question
essayez de lui parler pour voir
non ? Vous avez peur ? Et bien vous rĂ©agissez comme de nombreuses personnes alors. Son aura est lĂ©gĂšrement diffĂ©rente des autres sorciers, vous l’avez bel et bien compris
Cependant, ce n’était pas vraiment dans le bien. On pouvait sentir sa lĂ©gĂšre tendance Ă  aimer le sang, comment ? Peut-ĂȘtre parce qu’il y avait une Ă©norme flaque dans ce cratĂšre, et qu’il Ă©tait allongĂ© dedans. C’est ainsi que vous vous demandez d’oĂč vient ce sang
Laissez moi vous temps en temps, il se peut que les corps morts aient toujours du sang en eux. Certes sĂ©chĂ©, mais bien prĂ©sent. Normalement, c’est lorsqu’ils viennent de mourir d’ici peu. C’était le cas du beau-pĂšre de cette personne. Il avait Ă©tĂ© tuĂ© il y a de ça deux jours. Mais jamais le tueur n’a Ă©tĂ© retrouvĂ©. D’ailleurs, aucune trace possible
A priori, celui qui avait fait ça connaissait parfaitement les Arts de meurtres. En tout cas, reste qu’il Ă©tait mort recemment
Vous savez alors ce premier deuxiĂšme point est que cette personne prĂ©sente au cimetiĂšre, venait de faire exploser le corps d’une maniĂšre disons
trĂšs violente, ce qui a permis au sang de lĂ©gĂšrement se rĂ© humidifier, et donc
enfin, je vous laisse Ă©tant expliquĂ©, nous allons pouvoir retourner Ă  la contemplation du
 hĂ©ros ».Celui-ci, toujours allongĂ© dans le liquide rougeĂątre, regardait les Ă©toiles inexistantes
Il semblait perdu dans ses pensĂ©es
Ses chaĂźnes Ă©taient enroulĂ©es autour de lui, sans pour autant l’étouffer. Position bien Ă©trange pour de simples mĂ©taux
Sa baguette Ă©tait entre ses dents, comme une paille avec un cow-boy
Ses lunettes noires reflĂ©taient lĂ©gĂšrement les nuages. Impossible de voir Ă  travers et de dĂ©couvrir ses yeux. Peut-ĂȘtre est-ce mieux comme ça. Parfois, on ne prĂ©fĂšre ne pas connaĂźtre les sentiments de la personne qu’on a en face de soi, de peur d’ĂȘtre déçu ou effrayé Et cela peut ĂȘtre le cas de ce moment mĂȘme vu la mystique du personnage
Soudain, il tourna lĂ©gĂšrement sa tĂȘte vers la gauche. Il semblait avoir vu ou entendu quelque chose. Alors, il se leva, se retira du cratĂšre, et se nettoya d’un simple coup de baguette. Il se pouvait que ce soit une bĂȘte attirĂ©e par l’odeur du sang, odeur facilement repĂ©rable pour toutes crĂ©atures s’en abreuvant comme repas
Il pointa la baguette vers la source du bruit. Les feuilles bougeaient lĂ©gĂšrement
Et tout d’un coup, une ombre sauta avec force et rapiditĂ© en sa direction. Quelques fractions de secondes plus tard, cette ombre gisait Ă  terre, inerte. Elle respirait encore. C’était un loup
Etrange pour ce genre d’endroit
Mais chose bizarre, l’homme ne l’avait pas tué Avait-il de la pitiĂ© en lui ?
Puis un autre bruit vint couper cette reflexion
Il se tourna vers la source
Etait-ce un autre loup ? Ou bien une personne s’aventurant dans le cimetiĂšre ?
DerniĂšre Ă©dition par le Jeu 26 Oct 2006 - 958, Ă©ditĂ© 1 fois Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Ven 20 Oct 2006 - 2001 { Tes RP’s me manquaient beaucoup, tu Ă©cris tellement biennn. . Mon Nico wub. Et avec Niwa en plus, vive DN Angel. }Nuit noire. Silence Ă©ternel. Le cimetiĂšre Ă©tait calme, sans personne malveillante. Mais la voilĂ . Une ombre ? Un animal ? Une chose ? Qu’était ce cet ĂȘtre vivant ? Une demoiselle assez jeune au regard rouge se dressa pour regarder au loin. Elle semblait effrayante, aveuglante. Elle guettait. Quoi ? Nous n’en savons rien. Cette nuit lĂ , elle Ă©tait seule. Encore. Mais c’était le DĂ©mon. DĂ©pourvus de sa cape habituelle, il Ă©tait vĂȘtu de vĂȘtements moldus, dĂ©chirĂ©s Ă  plusieurs endroits. Qui pouvait bien se douter de ce qu’il venait de se produire. La jeune femme avait comme un sourire inquiĂ©tant. De ses bras dĂ©nudĂ©s on pouvait voir couler du sang, du sang auquel elle ne prenait pas garde. Qui avait Ă©tait sa victime ce soir lĂ  ? SĂ»rement un inconnu qui l’avait croisĂ© lors de sa colĂšre. Dire que dans plusieurs heures, lorsqu’elle reprendra ses esprits, dans cette tenue, elle sera affolĂ©e, elle se souviendra de tout, mais elle n’aura pas choisit. Etait ce le bon dieu qui l’avait punie en lui donnant cette maladie » que l’on appelĂ© SchizophrĂ©nie ? A voir. Mais lĂ  n’était pas la question. Elle avança vers les tombes lugubres du cimetiĂšre, Ă©coutant le cri des animaux. Lorsqu’elle sentit une prĂ©sence. Qui Ă©tait ce ? Loup. C’était la nouvelle mĂšre, Tifa, elle avait eut des louveteaux la semaine prĂ©cĂ©dente. Riku s’approcha d’elle, avec un petit sourire bienveillant. S’il y avait bien un animal qu’elle aimait, c’était les Loup, normal, elle en Ă©tait elle-mĂȘme un. Soupir. Elle s’arrĂȘta, se mit Ă  genoux et porta une caresse au pelage gris clair de l’animal. On put voir aprĂšs son corps de mĂ©tamorphoser, c’était lui. Crodacier. Ses yeux Ă©taient encore rouges, mĂȘme Ă  travers l’animal. Son pelage noir, noir Ă©meraude Ă©tincelle dans cette nuit sombre. Silence. Elle s’approcha de Tifa aprĂšs que celle-ci soit partie en galopant laissant ses vĂȘtements derriĂšre une pierre tombale. Crodacier qui n’avait rien Ă  faire, suivit la Louve. Celle-ci ne cessant pas le pas, l’Animagus dut la suivre, jusqu’à ne plus entendre le bruit de ses pattes. Jusqu’à qu’un homme se dresse devant elle. La louve tourna violemment la tĂȘte pour apercevoir Tifa qui Ă©tait Ă©talĂ©e au sol. On put lire au regard de Crodacier toute sa haine, ses sourcils se plissaient, ses crocs sortaient de sa gueule. Silence. Elle se mĂ©tamorphosa, une nouvelle fois. Un put voir un corps de jeune femme se dresser Ă  la place du loup. Totalement nu. Normal. Riku avait laissĂ© ses habits au loin ainsi que sa baguette lorsqu’elle eut pris l’apparence de son Animagus. Silence. Elle ne moquait pas mal que son corps soit exposĂ©, elle n’avait aucune pudeur. Et la haine la rongeait. Silence. La voilĂ  qui parle, ses yeux encore plus intensifiĂ©s de – Comment as-tu osĂ© humain ?! Comment ? MisĂ©rable crĂ©ature. »Dit-elle d’une voix menaçante et pleine de fougue. Elle n’en pleurait pas, elle voyait bien que la louve avait Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©e mais le geste en lui-mĂȘme Ă©tait grave, vraiment. Tifa se releva tant bien que mal et partie se rĂ©fugier. Silence. Qui pouvait bien ĂȘtre ce jeune homme, ce jeune homme qui semblait si mystĂ©rieux, et pourtant 
 Riku Ă©prouvait quelque chose. Quoi ? Il avait l’air froid. Bizarre. Elle n’avait pas peur, mais, elle hĂ©sitait, elle ne savait que penser. Elle n’avait pas ce pouvoir de lire dans le cƓur des gens, de connaĂźtre leur vraie personnalitĂ©. Dommage. Puis soudain. Surprise. La jeune femme redevint elle-mĂȘme. Ses yeux rouges disparurent pour laisser place au vert foncĂ© habituel. A la seconde qui suivit elle ne comprit pas vraiment, mais par la suite, elle commença Ă  paniquer. Surtout lorsqu’elle vit son Ă©tat. Elle haĂŻssait le DĂ©mon ! Encore et toujours cette double personnalitĂ© involontaire. SaletĂ© ! La voilĂ  qui part en courant pour cacher son corps. La voilĂ  bien normale, pas vraiment la Chef des Mangemorts, et cela, l’étranger devait sĂ»rement le – Mais c’est pas vrais ! »Silence. Quelques minutes plus tard la voilĂ  qui reviens, habillĂ©e de ses vĂȘtements, du moins ce qu’il en restait, elle ne prĂ©fĂ©rait pas se remĂ©morer encore ce qu’il s’était produit. Juste Ă  cause de cette histoire avec Kaori il eut fallut qu’elle redevienne le DĂ©mon. Silence. Elle revint en face du jeune homme, presque rouge. Elle semblait gĂȘnĂ©e, et puis, elle se dĂ©voilĂ©e en gros, personne ne devait savoir son problĂšme de SchizophrĂ©nie. Sinon, elle se ferait sĂ»rement tuer, mĂȘme si ce n’est pas vraiment simple. Elle est forte, mais Ă  le cƓur d’une Serdaigle et non d’une Serpentard. Elle ne peut tuer en Ă©tant seulement Riku », il faut qu’elle soit Le DĂ©mon », le Chef des – NavrĂ©e
 Ne prenez guĂšre attention Ă  ce qu’il vient de se produire. »Et puis quoi encore ? Elle Ă©tait vraiment naĂŻve d’affirmer cela aussi naturellement. En cet instant, la jeune sorciĂšre pensait qu’il ne l’avait peut ĂȘtre pas reconnue, grĂące Ă  la pĂ©nombre des lieux, c’était possible, mais avec de bons yeux 
 Qui sait ? Et puis, Ă  part Yuki, personne n’est au courant pour le DĂ©mon. Il y avait son pĂšre aussi mais il est mort. D’ailleurs, sa tombe est tout prĂšs d’ici, juste lĂ , derriĂšre Hikaru Harada ». Silence, il devait sĂ»rement ĂȘtre satisfait, de lĂ  haut dans les Ă©toiles, ou plutĂŽt en bas, dans les entrailles de l’ si les mots Ă©taient Ă©ternels ?{ T_T Snif, ça fais longtemps que j’ai pas Ă©cris, c’est nul, mais j’aime bien le scĂ©nario =D, j’espĂšre que toi aussi, sinon je change =] Mais ça devrait ĂȘtre comique, enfin, me tarde de voir la rĂ©action de ton perso XD }_________________uc_ Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Dim 22 Oct 2006 - 012 Bruissements lĂ©gers
pas feutrĂ©s
discrĂ©tion plus qu’imperceptible. C’était la description la plus exacte de celle de l’homme prĂ©sent. Il guettait
encore et encore. Mais il ne dĂ» pas attendre longtemps. AprĂšs s’ĂȘtre doucement glissĂ© sur son cĂŽtĂ© droit, il garda fermement sa baguette, sans la moindre vibration d’une quelconque apprĂ©hension. Puis soudain, un corps se retira de l’ombre
On pouvait reconnaĂźtre la silhouette d’une femme
Elle semblait plutĂŽt belle
Mais l’inconnu ne pu s’empĂȘcher de remarquer qu’elle Ă©tait
nue. Il ne s’approcha pas, gardant une distance qu’il considĂ©rait comme distance de sĂ©curitĂ© ». D’aprĂšs sa maniĂšre d’ĂȘtre et sa façon dont elle lui parla ensuite, elle ne parut pas de bonne humeur, bien au contraire. Il reconnut une voix menaçante, remplie de haine
Cependant, cela ne le fit pas bouger d’un pouce
mĂȘme, il ne cilla mĂȘme pas derriĂšre ses sombres lunettes noires. Les paroles prononcĂ©es par la jeune femme Ă©taient pourtant provocatrices, mais non
Il resta lĂ , sans rien dire. Et puis, rĂ©action Ă©trange, il baissa sa garde, et regarda la personne avec plus d’attention. Non je vous rassure, ceci n’est en aucun cas une forme de perversité celle oĂč un homme profite de la situation pour disons
 se rincer l’Ɠil ». Il admirait les yeux rouges de la personne qui Ă©tait en face. Bien que rien n’était lisible sur lui, il Ă©prouvait une lĂ©gĂšre Ă©motion Ă  les regarder, comme s’il Ă©tait chez lui. Mais malheureusement, il ne pu pas les contempler pendant plus longtemps, car la jeune femme disparut soudainement, aprĂšs que ses yeux eurent brusquement changé pour devenir d’un vert foncĂ©. On pouvait croire Ă  une sorte de
mĂ©tamorphose. Il se demanda intĂ©rieurement ce qui pouvait se passer
Il analysa rapidement les faits
et se garda bien de toutes rĂ©ponses il se tourna en direction d’une tombe proche. Au ciel, les nuages se resserraient de plus en plus
Une pluie Ă©tait Ă  prĂ©voir. Il s’en soucia guĂšre
Il jouait avec ses chaĂźnes, avec l’aide de sa baguette. Mais soudain, un nouveau bruit. Il souleva son arme Ă  l’endroit oĂč son esprit lui disait qu’un ĂȘtre s’y trouvait. C’était ses longues et Ă©paisses chaĂźnes qu’il faisait lĂ©viter
Mais elles semblaient faire bien plus que lĂ©viter, comme si elles Ă©taient
vivantes
Puis, confirmation des pensĂ©es de l’homme
quelqu’un Ă©tait bel et bien lĂ . Cependant, il retira promptement l’offensive mĂ©tallique, les dĂ©posant au sol. Pourquoi cela ? Peut-ĂȘtre parce que la femme Ă©tait de retour
avec ses yeux de couleur verte. Elle avait ajoutĂ© un peu d’habits sur elle. Il remarqua rapidement qu’elle Ă©tait dĂ©sarmĂ©e
ou presque. Sa beautĂ© Ă©tait elle-mĂȘme une arme. Mais Ă  priori, le prĂ©sent n’était pas du genre Ă  se laisser amadouer par la beautĂ© de la femme
la pire faiblesse d’une grande majoritĂ© des personnes de sexe masculin. Il se contenta de s’approcher doucement d’elle
alors que celle-ci lui demandait de ne faire comme si de rien Ă©tait
comme s’il n’avait rien vu. Sur ce, alors que la femme Ă©tait prĂšs de lui, il dĂ©posa son index gauche sur les douces lĂšvres de la charmante crĂ©ature. Son autre main faisait quelques gestes Ă  la baguette
Et soudain, elle fĂ»t habillĂ©e d’un corset et d’une jupe provocante
Il recula d’un pas. Puis, il fit un autre geste. Elle Ă©tait maintenant vĂȘtue d’une robe de mariĂ©e. Et il renouvela plusieurs fois la chose, restant parfaitement neutre
Mais il s’arrĂȘta alors qu’il lui avait remis le peu de vĂȘtements qu’elle avait au dĂ©part. Il souriait faiblement
~Niwa On pourrait jouer Ă  ça toute la soirĂ©e
non ?C’était une voix profonde et calme qui avait prononcĂ© ces paroles
Et ce n’était pas un sourire ordinaire
mais alors, que traduisait-il ?
Mais tout Ă  coup, les traits de son visage se resserrĂšrent et un Ă©clair rouge s’échappa de sa baguette, alors qu’aucune formulation n’avait Ă©tĂ© produite
L’éclair frĂŽla le visage de la personne et vint s’écraser contre une tombe
Cette derniĂšre explosa sans cĂ©rĂ©monie. En ce qui concernait l’homme, il s’était de nouveau adossĂ© contre la paroi. Il fixait la jeune femme, la baguette baissĂ©e vers le sol. Il semblait pensif
En tout cas, c’était ce qu’il laissait paraĂźtre
~Niwa Le chat et la souris
Des mots traduisant parfaitement l’état des choses
Cependant, la souris n’avait aucun lieu oĂč se cacher, oĂč quoi que ce soit pour se protĂ©ger, bien au contraire. Elle s’était mise seule dans une situation plus que dangereuse, entre les mains d’un ĂȘtre que l’on pourrait considĂ©rĂ© de
 dĂ©rangĂ© ». Mais l’était-il vraiment ? Il semblait connaĂźtre des choses
de nombreuses choses. Mais d’autres personnes diraient tout simplement qu’il en faisait trop avec son accoutrement intimidant
Des lunettes noires en pleine nuit
quelle idĂ©e ! De plus, il ne devait pas voir grand chose
Pourtant, quelle prĂ©cision tout Ă  l’heure
Que des Ă©loges vous me diriez
Et vous auriez sĂ»rement raison. Mais pour le moment, c’est une simple et rĂ©aliste description de la scĂšne
DerniĂšre Ă©dition par le Jeu 26 Oct 2006 - 1001, Ă©ditĂ© 1 fois Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Dim 22 Oct 2006 - 2231 { Vivement Mercredi. }La jeune femme restait silencieuse, sans pensĂ©es fixes. Elle faisait juste acte de prĂ©sence. Elle Ă©tait tout de mĂȘme un peu gĂȘnĂ©e, ce n’était pas dans son habitude d’exposer son corps Ă  tous les regards masculins. Soupirs. Alors que l’inconnus venait juste de remarquĂ© une nouvelle fois sa prĂ©sence, Riku pensa qu’elle n’aurait pas du revenir, elle n’aurait rien a tirer profit de cette rencontre. Quoi que, elle ne s’avait pas vraiment Ă  quoi s’attendre. Alors que les chouettes et les hiboux poussaient leurs cris comme chaque nuit, Niwa s’avançait vers la sorciĂšre. Elle ne bougea pas, se laissa faire, elle Ă©tait comme intimidĂ©e. Ce qui n’est pas habituel pour elle. Soupir. Le toucher. Un des cinq sens. Elle le sentit, ce doigt, sur ces lĂšvres rosĂątre, gelĂ©es par le froid d’automne. Violette, telle Ă©tait leur couleur. Silence. Elle regarda fixement ses yeux, mais ceux-ci Ă©taient voilĂ©s. Une paire de lunette, qu’elle idĂ©e d’en porter en pleine nuit. Le jeune homme devait sĂ»rement avoir ses raisons personnelles, ou pas. Mais ce n’était pas bien important. Lorsque soudain, alors qu’elle se tenait droite, elle sentit comme un coup de froid, puis quelque chose qui lui compressait la poitrine. Elle comprit ceci qu’en changeant son regard de direction. Un habit provocant. Un corset et une jupe plissĂ©e. Quelque chose que la demoiselle n’aurait jamais eut idĂ©e de mettre. Mais alors qu’elle s’apprĂȘtait Ă  se l’enlever, elle ressentit une nouvelle fois la mĂȘme Ă©motion. Elle Ă©tait – cette fois ci – habillĂ©e d’une superbe robe de mariĂ©e. Blanche. Comme toutes les princesses en rĂȘve. Mais ce n’était pas vraiment le cas de l’Ancienne Serdaigle, pas du tout. Alors qu’elle fronçait les sourcils, l’inconnu renouvela une nouvelle fois l’expĂ©rience, et encore, jusqu’à qu’elle rĂ©cupĂšre ses habits naturels. Durant la procĂ©dure elle resta muette, plutĂŽt inerte et parfois Ă©tonnĂ©e, ça pouvait se voir comme un jeu, comme une histoire, comme quelque chose de divertissement. Riku se laissait faire. Chose – pour l’instant – vraiment inhabituelle. Silence. Un son, une – On pourrait jouer Ă  ça toute la soirĂ©e
non ? »Surprise. Riku ne rĂ©pondait pas, elle le regardait tout simplement, mais il n’avait pas spĂ©cialement tort, mais le ton qu’il prenait n’était pas vraiment rassurant, bien au contraire. Et puis il tenait sa baguette comme s’il allait jeter un sort, la sorciĂšre n’y prĂȘtait pas une forte attention, ce qui Ă©tait mauvais pour elle, bien trop mauvais. Alors qu’elle respirait calmement, regardant le jeune homme d’une vingtaine d’annĂ©e, elle la vit. Cette Ă©tincelle, si rouge, si aveuglante, si soudaine. Surprise ! Elle resta muette, mais tenta d’éviter le sortilĂšge, mais celui-ci frĂŽla sa joue, et la tombe qui se trouvait derriĂšre elle explosa en morceau. Mais la voilĂ , elle Ă©tait de retour. Vraiment. Ils Ă©taient comme tout Ă  l’heure, on l’avait attaquĂ©, elle se sentait offensĂ©. Encore. Comment pouvait-on oser ? Ses yeux, ils Ă©taient rouges, du sang, de la haine, le combat. Le DĂ©mon » Ă©tait de retour. Enfin. Une sorte d’onde psychique Ă©manĂ© de ce corps fĂ©minin, rien qu’à voir son visage, on y dĂ©cernĂ© de la colĂšre, le calme, elle ne connaissait pas vraiment dans ce genre de situation. Surtout lorsqu’elle sait que l’adversaire est fort, trĂšs fort. Elle ricane, la Chef des Mangemorts ricane. Elle semblait heureuse par moments. Elle est bien spĂ©ciale. C’est elle. – Le chat et la souris
 »Silence. Jeu auquel jouait anciennement la Directrice des Serdaigles lorsqu’elle se trouvait Ă  l’Orphelinat, mais cela date de longtemps, et elle comprenait fortement la tournure de la situation, et ce que voulait dire le jeune homme par ce jeu. Sourire. S’il provoque le Diable, il sera servit. Mais est-il conscient que ceci le mĂšnera a sa perte ? Sauf si l’Ange dĂ©munis rĂ©apparaĂźt avant la fin de la nuit. – Serais-ce une provocation en duel ? »Dit-elle simplement, avec une voix narcissique. Une voix qui lui donne l’air d’ĂȘtre sure d’elle, pourtant, elle sait trĂšs bien que ça ne devrait pas ĂȘtre Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mer 25 Oct 2006 - 2145 Silence
PensĂ©es interrompues. L’homme, qui nous est toujours inconnu, venait de remarquer le changement radical de la jeune femme lors de son attaque » surprise. Mais il ne bougeait toujours pas
MĂȘme, il souriait. Pourquoi ? Que cachait-il ?
des questions, toujours des questions. Cependant, les rĂ©ponses ne viennent jamais de lui-mĂȘme. Peut-ĂȘtre qu’il expliquera les choses au fur et Ă  mesure, qui sait ? Mais laissons de cĂŽtĂ© cette rĂ©flexion
Car Ă  l’instant mĂȘme oĂč je vous parle de cela, l’homme avait disparu. Et soudain, les chaĂźnes s’animĂšrent d’elles-mĂȘmes et vinrent s’enrouler autour de la tombe oĂč elles Ă©taient posĂ©es pour ensuite la dĂ©truire d’une puissante Ă©treinte. Que se passait-il ? OĂč Ă©tait-il ?Mais soudain, une voix s’éleva de nul part
Elle Ă©tait chaude
d’ailleurs, Riku devait sentir un souffle contre sa nuque. Pourquoi ? Peut-ĂȘtre parce qu’il se trouvait lĂ  au moment oĂč il prononça ses paroles ~Niwa Non, je ne pense pas
Oublie la force, songe Ă  embrasser l’écorce
Disparition
Suspension continue des chaĂźnes
Puis un bruit aqueux. Retour de la personne
de nouveau assise au milieu du bain de sang. Il le touillait du bout de sa baguette
Il semblait passionnĂ© par la chose. Mais soudain, le sang se mit Ă  lĂ©viter de la mĂȘme façon que les longues et Ă©paisses chaĂźnes mĂ©talliques. D’ailleurs, ces derniĂšres Ă©taient maintenant emmĂȘlĂ©es au liquide rougeĂątre. Il regardait la demoiselle alors que de sa main droite, il jouait de sa baguette
Puis il se leva. Il Ă©tait, Ă  grand Ă©tonnement, dĂ©pourvu de toutes traces rouges sur ses vĂȘtements, comme s’ils Ă©taient restĂ©s bien au sec. Il avait dĂ» les faire sĂ©cher d’une simple informulation je pense
Il Ă©tait sĂ©rieux, et ses gestes se faisaient avec rapiditĂ© et souplesse Ă  la fois. Il dĂ©posa le mĂ©tal aux pieds de la jeune femme, et forma une sorte de Sceau Ă  ses pieds Ă  l’aide du sang et de l’objet dĂ©posĂ©. Il formait une croix
une croix sataniste ! Savait-il des choses qui Ă©taient inconnues Ă  Riku ? Enfin
connaissait-il plus de choses qu’il ne laissait paraĂźtre ? Ou Ă©tait-ce un simple hasard qu’il fasse cela ?
La rĂ©ponse ? Dans ces paroles
~Niwa Content de te connaĂźtre
depuis le temps que je rĂȘvais de te voir
Riku
Sur ce, le sang se sĂ©cha sur le sol, tandis que les serpents mĂ©talliques retournaient Ă  son propriĂ©taire. Il les fit se calmer
tout comme il l’était en ce comment savait-il qui elle Ă©tait ? Etait-ce parce qu’elle Ă©tait recherchĂ©e un peu partout ? Ou Ă©tait-ce par un autre moyen
magique ? Il semblerait que ce soit cette derniĂšre option
Car cet homme n’était personne d’autre que Niwa Kelhena, comme il l’expliqua si bien dans cette phrase
~Niwa PrĂ©sentation oblige
Niwa Kelhena pour te servir
Cependant, contrairement Ă  ce qu’on pourrait penser, jamais il n’avait dans l’idĂ©e de la servir au bon sens du terme. C’était lĂ  une simple forme de politesse
Il ne servait personne, Ă  part soi-mĂȘme. Etait-ce de l’égoĂŻsme ? Non
juste que dans la vie il a appris Ă  ne compter sur personne Ă  part lui. Enfin bref. Retournons au fait qu’il sache la maniĂšre avec laquelle il a su qui il avait en face de lui
Il s’avĂšre que Niwa, Auror spĂ©cialisĂ© dans la garde personnelle du Ministre de la Magie, avait quelques pouvoirs rares et utiles
Ils sont au nombre de deux. Ce sont la LĂ©gilimencie et l’Occlumencie. AprĂšs avoir remarquĂ© une certaine habiletĂ© dans ces deux domaines, une personne enseignant dans l’école supĂ©rieure qu’il a frĂ©quentĂ© s’en est occupĂ© personnellement
Et le voilĂ  maintenant expert dans chacune de ces matiĂšres. C’était un vĂ©ritable plus », aussi bien dans les duels que dans la vie de tous les jours
C’est pour cela qu’il savait lĂ©gĂšrement les pensĂ©es de l’autre
bien sĂ»r, Ă  une faible limite s’il n’utilise pas la force. Mais il avait plus malin que ça
car Riku n’est pas n’importe qui, et son esprit est tout sauf faible. Lorsque la croix au sol s’était formĂ©e, il a profitĂ© de cette diversion pour lancer un sort de lĂ©gilimencie sur la jeune femme. Faible soit-il, mais suffisant pour la connaĂźtre lĂ©gĂšrement
Certes c’était quelque peu impoli, mais comme dit le proverbe, vaut mieux prĂ©venir que guĂ©rir
Puis, il baissa sa garde, et se mit de nouveau Ă  sourire
ses lĂšvres formant un croissant mystĂ©rieux
 Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Jeu 26 Oct 2006 - 1847 { Magnifique RP, par contre le mien est bof }Silence. PensĂ©e obscure. Le DĂ©mon ne pouvait s’en empĂȘcher. Ses yeux rouges qu’on pouvait confondre avec du sang en Ă©taient la preuve. Dans ces cas lĂ  elle n’avait aucune pitiĂ©, aucune. Il lui Ă©tait donc facile d’îter la vie, Ă  n’importe qui. MĂȘme si c’était une personne de sa famille, sauf si la vrais Riku » reprenait surface, ce qui est un cas rare dans ce genre de circonstance. Soupirs. Alors que la jeune femme qui Ă©tait dressĂ©e devant le jeune Ă©tait Ă©prise d’une haine absolue, elle vit apparaĂźtre des chaĂźnes prĂšs d’elle et la tombe qui se trouvait derriĂšre elle fut totalement dĂ©truite, en morceau minuscule. Sourire. C’était un spectacle magique. MĂȘme pas un peu de respect pour le mort. Surprise. Tant mieux. Le DĂ©mon commençait Ă  bien apprĂ©cier son adversaire » car c’est ainsi qu’elle le considĂ©rĂ©e, jusqu’à ce qu’il rĂ©ponde Ă  sa question. – Serais-ce une provocation en duel ? »Niwa – Non, je ne pense pas
Oublie la force, songe Ă  embrasser l’écorce
 »Silence. C’était de belles paroles, rĂ©flĂ©chis peut ĂȘtre, mais avec une notation magnifique. Mais ce n’était guĂšre les pensĂ©es de Riku, bien qu’elle aimait bien entendre ces mots. Soupirs. Elle ne rĂ©pondit rien Ă  cette phrase dont elle ne trouver aucune rĂ©ponse convaincante, restant donc neutre, elle regardait ce qui se produisait sous ses yeux. Le spectacle continuait. Magnifique. Du sang ? Non elle ne rĂȘvait pas. C’était prodigieux. Sourire. Elle regardait ce manieur compĂ©tant attendant la fin de son tour ». Puis lorsqu’elle posa ses yeux au sol elle l’aperçut. Un sceau ». Non, une croix, une croix sataniste apparemment. L’incomprĂ©hension rĂ©sidĂ©e apparemment dans le cerveau du DĂ©mon. Elle restait incompĂ©tente vis-Ă -vis de sa rĂ©flexion sur ce sujet. Soupirs. Elle le regarda une nouvelle fois, attendant des explications mais ce fut tout autre. Une voix, la – Content de te connaĂźtre
depuis le temps que je rĂȘvais de te voir
Riku
 »Hana-Bi – Comment connais-tu mon nom ?Comment pouvait-il connaĂźtre son nom ? De plus, comment se permettait-il de lui parler si familiĂšrement ? Etait ce une de ses anciennes rencontre ? Poudlard peut ĂȘtre ? Elle n’en avait aucune idĂ©e, et puis Ă  l’époque, elle n’était point sortit du corps de Riku, le DĂ©mon attendait son heure. L’heure de la nouvelle rencontre. Hikaru ». Soupirs. Durant ces pensĂ©es, le sang prĂ©sent Ă  ses pieds commençait Ă  sĂ©cher, pour ne faire plus qu’un avec la terre fertile. Silence. En y rĂ©flĂ©chissant bien, il y avait peut ĂȘtre un moyen, un seul, qui pouvait lui faire connaĂźtre quelques rĂ©fĂ©rence sur la jeune sorciĂšre. Hana-Bi – LĂ©gilimens ? »Silence. Si cela Ă©tait bien le cas cela Ă©tait quelque peu dangereux, bien que Riku ait quelques capacitĂ©s en ce qui concerne l’Occlumancie, celles-ci n’étaient pas Ă©normes. Elle avait eut quelques cours avec diverses personnes, mais ce n’était pas devenue une as de cette capacitĂ©, prĂ©fĂ©rant d’autant plus Crodacier » dont elle a dut bosser Ă©normĂ©ment pour obtenir cette apparence. Soupirs. Regards intenses, que savait-il exactement ? La jeune femme hĂ©sitait, le tuer, s’en servir, lui faire cracher le morceau ? Toute ces Ă©ventualitĂ©s ne seront pas une tache facile a faire, donc patience, elle attend. Une – PrĂ©sentation oblige
Niwa Kelhena pour te servir
 »Cette information n’avançait guĂšre la jeune femme, mais elle fit avec. Silence. Elle le regarda Pour te servir » , elle eut comme un air de dĂ©goĂ»t Ă  cette phrase. Comme s’il Ă©tait sĂ©rieux, du moins son visage restait inerte. Et puis, Riku ne compte que sur elle-mĂȘme, ses Mangemorts sont lĂ  seulement pour faire les petites missions inutiles qu’elle ne veut pas accomplir par flemme. Soupirs. Elle regarda une nouvelle fois son interlocuteur de ses yeux rouge sang, et pris la – Et que me veux tu pour avoir tant attendus ma rencontre ? »Silence, elle restait froide et distante. Mais sa colĂšre s’était dissipĂ©e pour laisser place Ă  l’ Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mar 31 Oct 2006 - 1739 Patience. Attention continue des moindres gestes et paroles de sa part. Niwa, toujours aux aguets, observaient la plus infime partie des choses, contrairement Ă  ce qu’il laissait paraĂźtre. Rester inerte Ă©tait sa principale Ă©motion. Cependant, son cƓur lui chuchotait Ă  l’oreille de ses sens
encore et encore
Et ici, que lui chuchotait-il ? Fallait-il qu’il la tue ? Non
ses pensĂ©es Ă©taient tout autres. Celles-ci Ă©taient simples et claires. Mais ne pensez pas que je vais vous les dire ainsi
Le moment viendra, comme dans tout dans la vie, chaque chose en son face de lui, une personne intelligente, rusĂ©e et maligne. Mais d’un lunatique absolu
En ce moment, c’était le DĂ©mon qui le regardait droit dans les yeux, comme vous l’avez compris. Ce rouge
si prĂ©sent dans les yeux de Riku
plaisant Ă  ceux de l’homme. Ce dernier, restait silencieux
Elle, elle se demandait comment il pouvait la connaĂźtre. Vous, bien sĂ»r, vous savez trĂšs bien la raison, contrairement Ă  cette charmante demoiselle, Chef des Mangemorts, vous voyez ? Ceux qui lui obĂ©issent au doigt et Ă  l’Ɠil, dans l’espoir d’une quelconque reconnaissance souvent inexistante. D’ailleurs, elle lui parlait sur un ton qui Ă©tait habituel aux yeux de Niwa. Elle Ă©tait froide, mais pas si distante que ça. Il sentait l’intĂ©ressement qu’elle Ă©prouvait dans ses il se rapprocha une nouvelle fois d’elle. Puis, il s’arrĂȘte alors qu’il Ă©tait Ă  seulement vingt centimĂštres de son visage. Il passa son doigt dans les cheveux de la jeune femme, avec tendresse et dĂ©licatesse
Et, il leva sa main comme s’il allait la gifler. Mais il ne fit qu’apparaĂźtre une rose rouge, qu’il dĂ©posa dans les mains de Riku. Il approcha son visage encore un peu plus
Que voulait-il faire ? Qu’avait-il en tĂȘte ? Il se rapprocha
encore
encore un peu, plus que 5 centimĂštres
non, il s’interrompit. Il baissa la tĂȘte, prenant un air gĂ©nĂ©. Et il la releva quelque peu
Il poussa un faible soupir, et
se mit Ă  sourire ! Quelle Ă©trangetĂ© dans ce personnage ! Et, il rigola avec discrĂ©tion
 ~Niwa Hum hum hum
pourquoi tant rĂ©flĂ©chir? Sais-tu qu’à force cela fait souffrir ? LĂ©gilimens ? Peut-ĂȘtre cela et encore l’est-ce ?
Il s’interrompit ici
pourquoi parlait-il en rime ? Etait-ce une vieille malĂ©diction qu’avait certaines personnes ? Ou Ă©tait-ce tout autre
Au lieu de vous laissez mijoter dans cette mĂ©ditation, je vous rĂ©ponds. Il s’avĂšre que Niwa n’est en aucun cas maudit. Juste qu’il aime la poĂ©sie et la mystique
Rien de plus, rien de soudain, un bruit par derriĂšre. RapiditĂ© et prĂ©cision sont les qualitĂ©s les plus adĂ©quates Ă  l’éclair jaune qui avait dĂ©jĂ  atteint la source de ce bruit
C’était un simple hibou. C’était
car lĂ  c’était devenu un insecte noir et rĂ©pugnant un cafard. La mĂ©tamorphose empĂȘche souvent la Mort
comme on le lui avait appris auparavant. D’ailleurs, autre chose
Niwa avait transplanĂ©. Il se trouvait assis, en train de jouer de la flĂ»te
Les notes Ă©taient mĂ©lancoliques et douces
Certaines personnes, sensibles, pourraient verser une larme
Quelle beau portrait ce soir-là
du sang sĂ©chĂ©, formant la croix Sataniste
une personne qui n’est autre que la Chef des Mangemorts
une louve blessĂ©e maintenant partie
et un hibou transformĂ© en cafard. Et lui ? Que faisait-il dans la vie ?
La symphonie continuait
Et, elle atteint petit Ă  petit sa fin. Une note en si bĂ©mol l’acheva
Pendant 5 secondes elle rĂ©sonna
tympans vibrant sous cette mĂ©lodie. Il retira ses lĂšvres du bec de la flĂ»te
~Niwa Te connaĂźtre
pour que de mon esprit tu ne puisses jamais disparaĂźtre
Puis il commença une nouvelle mĂ©lodie, attendant une rĂ©action de la jeune demoiselle. S’il fallait discuter, il discuterait. S’il fallait se battre, il se battrait. Et s’il fallait la tuer, il la tuerait
Telles Ă©taient ses visions. Primitives, certes. Mais il est ainsi. Il ne se fiait qu’à son instinct, qu’à sa maniĂšre de penser. Pourquoi se tromper soi-mĂȘme alors que nous avons des issus devant nous ? C’était ce qu’il se disait, entre autres bien des choses. DerriĂšre ses lunettes noires, il observait la silhouette de la femme. Belle et gracieuse Ă©taient les mots que son cƓur venaient de choisir. Puis ses yeux
Aussi terribles que magiques, porte de son Ăąme rĂ©vĂ©lant chaque infime parcelle de sa personne. Pas besoin d’aller plus loin se dit-il. Il ne voulait pas pĂ©nĂ©trer dans un jardin qu’il respectait, et qu’il prĂ©fĂ©rait connaĂźtre diffĂ©remment
Mais comment alors ?
Les notes volaient au rythme des gouttes d’eau qui tombaient du ciel
le vent les emportant
pour une meilleure mystique, comme il aimait si bien
 Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mar 14 Nov 2006 - 2131 { DĂ©solĂ© du retard =] . Et au fait, j’ai des potes qui sont tombĂ©es sur tes photos et qui fantasme sur toi, j’suis jalouse T_T . x] *sors* =P }Silence. Le DĂ©mon resta inerte. Il attendait juste une rĂ©ponse pour Ă©claircir son esprit de fou, de tueur. Mais sans vraiment savoir pourquoi, il Ă©tait comme envoĂ»tĂ©, quelque chose de vraiment particulier l’empĂȘchait d’ĂȘtre violent. Mais quoi ? Tout n’est que mystĂšre, alors que Riku lutait en elle-mĂȘme pour reprendre sa place, tout ceci Ă©tait fait en vain. Vraiment pitoyable. Qui pourrait croire que la Chef des Mangemorts Ă©tait une personne si faible en rĂ©alitĂ©. Qu’elle Ă©tait totalement possĂ©dĂ©e d’une personnalitĂ© autre, mais qui faisait tout de mĂȘme partie d’elle. Peut ĂȘtre qu’un jour, elle pourra s’en dĂ©barrasser, mais faudra-t-il d’abord qu’elle comprenne
 Ce qui Ă©tait loin d’ĂȘtre le cas pour l’instant. Soupirs. Mais qui sait. Peut ĂȘtre dans plusieurs annĂ©es, sa maturitĂ© aura Ă©voluĂ©e, tout comme ses deux personnalitĂ©s. Silence. Retournons a la rĂ©alitĂ©. Celle-ci si tendue
 Le froid rĂ©gnait, mais Riku ne laissait transparaĂźtre aucun frisson alors qu’elle Ă©tait que trĂšs peu couverte. Elle regrettait presque les vĂȘtements qu’elle portait il y a quelques minutes. MĂȘme ci ceux-ci n’étaient qu’amusement pour son interlocuteur. Alors que le jeune Niwa Ă©tait assez Ă©loignĂ©e d’elle, il commença a s’approcher, petit Ă  petit, en silence. Riku ne bougea pas, elle resta froide. Ses lĂšvres l’attiraient Ă©trangement, mais elle ne fit rien. Rien de plus que de regarder la scĂšne. Son visage si 
 SĂ©duisant. { x] }. Si si. C’était comme si Riku reprenait le dessus dans ces prises de faiblesses du DĂ©mon. Mais rien n’était fait. Alors que Niwa se trouvait qu’à cinq petits centimĂštre, et qu’elle pouvait jusqu’à entendre le moindre bruit de respiration qu’il produisait, il se retira, laissant devant elle une rose rouge, comme ses yeux. Sourire. Il l’a mis dans les mains de Riku qui ne put s’empĂȘcher d’accĂšpter le prĂ©sent. Sourire. Pourquoi tant se poser de questions ?Niwa – Hum hum hum
 Pourquoi tant rĂ©flĂ©chir? Sais-tu qu’à force cela fait souffrir ? LĂ©gilimens ? Peut-ĂȘtre cela et encore l’est-ce ?
 »Silence. Il n’avait pas tort dans ses propos, et sans doutes Ă©tait-ce pour cela que la Chef des Mangemorts ne rĂ©pondit rien. Elle savait garder le silence dans de telles circonstances, elle se laissait plutĂŽt guidĂ©e par son instinct. Elle semblait pourtant si naturelle Ă  prĂ©sent.. Mais ses yeux Ă©taient toujours imprĂ©gnĂ©s de rouge, jusqu’à ses pupilles, ce qui prouvait que c’était toujours le DĂ©mon. Puis le personnage se trouvant sous ses yeux disparut en un instant pour se rĂ©fugier plus loin. Transplanage. Un air de musique. MĂ©lodieux, mĂ©lancolique, si triste. Le DĂ©mon transplana Ă  son tour et rejoingnis son partenaire. Un flĂ»te Ă  la main, elle Ă©couta quelques secondes, et une larme coula de son Ɠil. Son Ɠil qui Ă©tait redevenus vert, comme a son initial. Riku semblait contracter ses muscles, comme pour prouver une forme de rĂ©ticences, elle avait gagnĂ©e le combat. Surprise. Le DĂ©mon Ă©tait repartis, encore. Jamais elle ne s’était transformĂ©e autant en une seule journĂ©e. MĂȘme pas lorsqu’il Ă©tait lĂ , lui. Hikaru. Mais elle Ă©tait tout de mĂȘme heureuse de retrouver son corps. Rien qu’à elle. Mais que pouvait-elle dire au joueur de flĂ»te ? Une larme silencieuse coula aussi de l’autre Ɠil, mais resta discrĂšte. Bien trop sensible. Comme chaque Serdaigle. Elle n’était pas plus forte que les autres, mĂȘme trĂšs faible comparĂ©e a certains, son cƓur et son expĂ©rience au combat ne s’unissait pas, bien au contraire. Silence. Elle cacha ses yeux, pour avoir a Ă©vitĂ© une quelconque question inutile. Elle n’osa mĂȘme pas exprimer le fait qu’elle soit redevenue elle-mĂȘme, alors qu’il y a quelques secondes elle Ă©tait heureuse. Se sentirait-elle intimidĂ©e ? – Te connaĂźtre
pour que de mon esprit tu ne puisses jamais disparaĂźtre
 »Quelles paroles poĂ©tiques. Mais en saisissait-il l’importance ? Vouloir connaĂźtre Riku Ă©tait une bien grande chose, trop complexe. Que peu de personnes avaient rĂ©ussis Ă  cerner ce personnage, et celles-ci la connaissait depuis son enfance. Comment un parfait inconnu pouvait-il affirmer ça ? Et pourquoi avait-il l’air si sur de lui ? Riku ne comprenait pas un traite mot, ou plutĂŽt, elle n’y trouvait aucune signification particuliĂšre. Mais elle y rĂ©pondit, aprĂšs avoir passer le reste de manche de veste qu’il lui restait sur ses joue. Et dans une voix plutĂŽt naturelle, elle rĂ©pondit Hana-Bi – Penses-tu vraiment y arriver ? Peu y sont parvennus. Et encore moins en sont ressortis vivant. »Elle n’était plus froide dans ses propos, plutĂŽt prĂ©venante, elle donnait un conseil. Conseil qui allait ĂȘtre pris en compte ? Qui sait ?_________________uc_ Contenu sponsorisĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] * ...des mots... * [PV] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Quelques Mots» TROIS MOTS DE TROP pv Will» Laissons les mots courirent sur nos parchemins..Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers

Matristesse est telle que mes larmes couvrent le sol Je ne peux plus faire face je me suis dĂ©sistĂ©e Je deviens folle, plus rien n’est drĂŽle Si tout se brise Ă  mes cĂŽtĂ©s C’est que je cherche un sourire de ta part quelque part Une larme, un regard, un baiser Une phrase, un espoir, pour me sentir aimĂ©e Je ne suis plus rien sans toi

ï»żIl Ă©tait chanteur Ă  minettes, mais sans plonger dans la gaĂźtĂ© et les chansons banales. Une mĂ©lancolie frappante se dĂ©gageait de ses chansons. Qui saura », rien qu'une larme » ou alors Dis-lui », ce sont tous de grands tubes du chanteur, et tous les trois des chansons de rupture dĂ©chirante. Rien qu'une larme» est une chanson parue en 1973. En plein essor, le chanteur confirmait sa place bien mĂ©ritĂ©e parmi les stars des annĂ©es 70. Il rĂ©alisait plus de ventes que Claude François ou alors Johnny de Mike Brant est teintĂ© d'une tristesse, qui est souvent liĂ©e au sentiment amoureux. Il Ă©tait beau comme un dieu grec, et il avait tout pour lui, pourtant, il n'a pas Ă©tĂ© heureux. En effet, durant toute sa vie, il a Ă©tĂ© hantĂ© par l'histoire de ses parents, qui ont survĂ©cu par miracle Ă  la juive, l'artiste est devenu paranoĂŻaque au fil du temps. Il ressentait une menace constante qui le poursuivait peu importe ses dĂ©placements. Il a mĂȘme Ă©vitĂ© des concerts par peur d'attentats antisĂ©mites. Vivre avec cette peur au vente ne peut que se rĂ©percuter mal sur l'artiste. Il a fait une premiĂšre tentative de suicide, Ă  la deuxiĂšme, il ne s'est pas sorti vivant. "Rien qu'une larme" est un titre qui parle d'un chagrin d'amour partagĂ© entre les deux amoureux. Mike Brant rassure son amoureuse, lui dit qu'il aimera la voir sourire et non pas pleurer. Il est lui-mĂȘme malheureux dans cette relation, et la sĂ©paration doucereuse semble ĂȘtre le seul choix qu'il leur chanson s'est vendue Ă  plus de disques vendus. Le succĂšs de la chanson s'est Ă©talĂ© partout dans le monde, il est arrivĂ© jusqu'au Canada. En 1975, le chanteur tire sa rĂ©vĂ©rence, il a laissĂ© ses fans choquĂ©s et terrifiĂ©s. NĂ©anmoins, ses chansons resteront Ă  jamais gravĂ©es dans le trĂ©sor de la chanson française.
Rienqu’une larme dans tes yeux. C’est toujours ta seule rĂ©ponse. Quand je te dis qu’il vaudrait mieux. Ne plus se revoir nous deux. J’étais certain cette fois. Que tu me retiendrais. On se trompe quelques fois. Une larme a tout changĂ©. Rien qu’une larme dans tes yeux.
Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-Lard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1816 Betty marchait Ă  cĂŽtĂ© de ses nouvelles amies et aurors, LoreleĂŻ et Eden. Elle venait de finir sa formation avec Eden, et c’était la premiĂšre mission que sa chef Morgane avait bien voulu lui confier. Donc pour Betty, c’était sa premiĂšre patrouille, par consĂ©quent elle Ă©tait toute enjouĂ©e Ă  se balader dans la montagne, Ă  la recherche d’un moindre incident suspect. En effet, quelques heures plutĂŽt au QG des Aurors, on leur avait signalĂ© un rapport d’incident au alentour de la grotte, voir dans la grotte en discutant avec ses amies, et en montant la garde, elles arrivĂšrent devant cette Ă©norme grotte. Betty n’y avait jamais Ă©tĂ© auparavant
 L’aspect extĂ©rieur Ă©tait d’ailleurs tout sauf accueillant. Les grosses pierres Ă©taient d’un gris foncĂ©, et donnaient l’impression qu’elles allaient s’écrouler sur les 3 jeunes elles prĂȘtĂšrent attention au bruit qui Ă©manait de la grotte, les Aurors comprirent vite que ce qui se tramait Ă  l’intĂ©rieur
Tendant l’oreille avec un peu plus d’attention, elles entendirent la voix d’un mangemort et s’engouffrĂšrent rapidement de la de celle-ci Ă©tait profondĂ©ment lugubre. La faible lumiĂšre du jour Ă©clairait quelques peu la grotte mais Betty pour mieux voir ce qui Ă©tait en train de se dĂ©rouler sous ses yeux prononça Lumos !Un mangemort que Betty n’avait jamais vu en raison de sa toute nouvelle arrivĂ©e dans le groupe des Aurors Ă©tait en train de lancer un sort, Incarcerem Ă  une jeune fille qui ne devait pas ĂȘtre plus ĂągĂ©e qu’une deuxiĂšme LoreleĂŻ et Eden Ă©taient alors cachĂ©es derriĂšre un roc de pierre. Lorsqu’elle regardĂšrent avec plus d’attention la scĂšne, Betty s’aperçut que la jeune prisonniĂšre du mangemort n’était autre que VĂ©nus, une jeune serdaigle avec qui elle avait discutĂ© quelques semaines plus tĂŽt
Elles sortirent alors de leurs cachette, et Betty s’avança en lançant Finite Incantatem » ce qui libĂ©ra la jeune fille de lemprise du s’avança en courant vers Venus, tout en jetant "Protego totalum !"Betty et VĂ©nus sortirent Ă  reculons, le sort les empĂȘchant de toutes attaques du mangemort, puis Ă  la sortie de la grotte, Betty pris la main de VĂ©nus et elles transplantĂšrent toutes deux, devant le parc de Poudlard. Betty la ramena Ă  pied, dans l’enceinte du chĂąteau oĂč VĂ©nus serait enfin en sĂ©curitĂ©.HRPG avec accord de vĂ©nus pour la faire sortir. InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1817 LoreleĂŻ faisait sa premiĂšre patrouille, c 'Ă©tait assez frustrant d 'ailleurs, du moins premier jours vraiment dehors Ă  faire ce qu'elle avait toujours rĂȘver de faire, elle espĂ©rait ĂȘtre Ă  la hauteur. Et puis l'autre chose qui la gĂȘnait c 'Ă©tait de se retrouver dehors. LoreleĂŻ avait passĂ© tout le reste de sa jeunesse Ă  Poudlard Ă  se cacher des mangemorts dont son pĂšre qui la cherchait surement encore et toujours pour la tuer aprĂšs avoir essayer de la recruter et jeune femme avait une Ă©lĂ©gante robe noir jusqu'au sol, une pĂšre de botte et une cape noir avec un capuchon fourrĂ©e en fourrure de couleur noir aussi. Elle avait ses cheveux solidement attachĂ©s en chignon, ses ongles coupĂ©s de prĂšs et portai un maquillage lĂ©ger. Elle suivait Betty et Eden d'un pas lĂ©ger en fourrant les mains ballante, baguette dans une serait bien une premiĂšre patrouille au calmeDit elle, sa voie Ă©tait douce, mais assez froide et cassante. Lore n'Ă©tait pas le genre de fille qu'on apprivoisait facilement, distante, solitaire mis un cƓur en or quand on la connaissait vraiment. Elle ne connaissait que de peu ses compagnes d 'armes. En mĂȘme temps ce qu'elle disait Ă©tait ironique mĂȘme si rien ne paraissait, les femmes avançait s'enfonçaient vers une grotte suspectĂ©e et elle devait allĂ© y faire un rapport....*J'aime pas çà, pas çà du tout*Comme si au fond d'elle des instincts de survie remontait Ă  la surface d'un de ses temps troubles oĂč la mort lui avait passĂ© de peu. Son teint devint pĂąle, sa main se resserra sur sa baguette. A croire qu'elle sentait de loin le monstre se cachant lĂ  . Lore continua de marchĂ© et entendit une voie de loin, et gĂ©nĂ©ralement le ton ne lui Ă©tait pas inconnu et surtout un sort lancĂ©. Elle logea la paroi rocailleuse suivant Betty avant de voir celle-ci agir. Lore dĂ©couvrit une fille qui Ă©tait attachĂ©e par des liens magique et devant elle.... un mangemort. Le cƓur de Lore ne fit qu'un tour, elle suivit Bettyet se cacha derriĂšre un rocher avec Eden aussi elle vit Betty foncer sur la fille, un regard,un sort puis on entendit un "pop" avant que la fille et Bet ne partent. Tout en une fraction de seconde alors que LoreleĂŻ lançait un sort en mĂȘme temps que Betty. Son geste fut rapide et sa bouche tellement dĂ©terminĂ©e, tellement habituĂ©e Ă  prononcĂ© çà...Sectumsempra !A vrai dire tout alla si vite que sa baguette envoyait les jets,son coup partit sans qu'elle prit conscience de l'endroit oĂč il irait dans la grotte. A vrai dire, il y avait une chance sur cent qu'il touche le mangemort. Et puis c 'Ă©tait pas le but, sa premiĂšre rĂ©action fut de protĂ©ger le dĂ©part de Betty pour ne pas que le mangemort aie le temps de rĂ©agir sur elle. Et puis, se sort avait de quoi en faire rĂ©agir plus d'un rien qu'en prononçant ce simple mot, mĂȘme sans baguette. Magie noir oui, elle venait Ă  peine de sortir de Poudlard et les maigres sorts de bases qu'elle connaissait ne lui servait pas beaucoup. Et puis dans des cas ainsi, la mĂ©moire sortait ce qu'elle pouvait et ici se fut le rĂ©sultat du bourrage de crane de son pĂšre alors qu'il la tenait captivĂ©e. La magie noir, elle l'avait en horreur mais dans ses cas si, elle prĂ©fĂ©rait la faire apprĂ©ciĂ©e par les gens qui l'utilisaient, qu'ils voient ce que çà fait... Mais tout alla si vite, LoreleĂŻ continua Ă  jeter des sorts aprĂšs celui faisant apparaitre les blessures GastroEt un de plus partait censĂ© vider les entrailles. Eden Ă©tait aussi lĂ , mais chacune sa spĂ©cialitĂ©, sa force. Lore attaquait, Eden protĂ©geait. Un tout une force, il fallait faire vite, elle Ă©tait deux, elle et Eden, pour LoreleĂŻ s 'Ă©tait son premier dĂ©fis, sa revanche sur la vie .DerniĂšre Ă©dition par LoreleĂŻ Evana le Jeu 10 DĂ©c - 1817, Ă©ditĂ© 1 fois Jude RoseburyGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Jude Rosebury, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 La sorciĂšre, aprĂšs avoir fait deux formation, Ă©tait allĂ©e voir Morgane au Qg. Celle-ci l'avait prĂ©venue qu'il y avait eu des rapports d'incidents aux alentours de la grotte. Alors, elle avait demandĂ© Ă  Eden, ainsi qu'Ă  Betty, qu'elle avait formĂ© il n'y a pas longtemps, et LoreleĂŻ. Eden n'avait pas vraiment eu le temps de se changer, gardant les vĂȘtements de l'entrainement, un peu sale, mais peut importe. Elle avait juste mit sa cape par dessus, pour arranger un peu cette apparence nĂ©gliger, qu'Eden dĂ©testait. Toute trois Ă©taient parties ensemble patrouiller, pour la sĂ©curitĂ© des lieux. Patrouillant depuis un certains temps, elle s'approchĂšrent de la grotte pour finir. Entendant des voix, et le nom d'un sort, elles se raprochĂšrent toute trois. Un mangemort ! Eden savait tout de suite qu'il s'aggissait de cela, Ă©tant donnĂ© que cette personne Ă©tait sous une cape noir, large, et en face d'elle.. Une fille ? Elle portait une tenue de serdaigle, et tenait son chat dans ses mains. Alors Eden prit sa baguette d'instinct. Elle resta dans l'entrĂ©e de la grotte, derriĂšre un rocher avec Betty et LoreleĂŻ. Puis Betty se leva avec LoreleĂŻ. Eden resta derriĂšre le rocher pendant que Betty partit Ă  la dĂ©fense de la jeune fille, et LoreleĂŻ jetait des sorts pour distraire le ne savait pas trop quoi faire pour le moment, alors elle dit sans mot Protego . Le bouclier devrait pouvoir la proteger pour un sortilĂšge. Alors Eden se leva, s'approcha, toujours surement, pour ne pas risquer de se faire avoir par le mangemort. Tendant sa baguette pointĂ©e sur le Mangemort, elle murmura Metalo Scencio .Un filet de metal sortir de sa baguette en direction du mangemort. Normalement, celui-ci devrait se retrouvai piĂ©gĂ©, et ci il tentait de se liberer, il se ferait surement des entailles, car les liens se resserent. Elle tourna la tĂȘte, et regarda LoreleĂŻ lancer des sorts. Elle attaquait, et Eden protegait la sortit, mĂȘme si elle avait jetĂ© un petit sort d' se rapprochant de LoreleĂŻ, toujours avec son bouclier, et mit son bras devant le torse de son amie et collĂšgue, et pointa sa baguette. Elle lança Ragnarok sans mot dire. A cet instant, un mur invisible de protection apparut entre la mangemort et les deux aurors. Elle dit alors - Ce n'est pas beau de s'attaquer Ă  moins fort que soit.. Seriez vous si peut sĂ»re de vos sorts ?AprĂšs cette phrase lĂ , Eden tourna la tĂȘte vers Allez, on devaient partir, maintenant que Venus Ă©tait sauve, plus rien ne les retenaient ici. MĂȘme si Eden avait envie de se battre, elle devait faire attention, et ne pas risquer sa vie juste pour une envie de combat. Elle se concentra, pensa Ă  sa destination avec determination. " QG des aurors.. " pensa t-elle. Les deux aurors s'en allĂšrent alors.. MaĂźtre de jeu Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]MaĂźtre de jeu, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 Le membre 'Eden Bolton' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'Combats Sections Act' InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Dim 17 Jan - 154 [PrivĂ© Nymphadora]Il Ă©tait tard, au moins dix heures du soir, Will Ă©tait allongĂ© sur le canapĂ© prĂšs de la cheminĂ©e, les yeux fermĂ©, on aurait pu aisĂ©ment croire qu'il dormait. Une petite tape sur l'Ă©paule rĂ©veilla le jeune homme dont les mĂšches blondes tombaient devant ses yeux *serait p'tetre temps d'aller s'faire couper les cheveux* pensa Will. La petite tape en question venait de LĂ©to, son elfe, qui se tenait devant lui avec son Ă©ternel air soumis. Il portait dans la main droite un chandelier et dans la main gauche l'un des pyjamas du jeune homme. L'elfe s'inclina bien bas puis fit- Voulez-vous allez vous coucher, ou prendre une tasse de ThĂ© ?- Merci LĂ©to mais je ne veux pas de thĂ©, et je n'ai pas sommeil, je ne dort aurait pu croire Ă  une phrase ironique, ou encore Ă  une façon de se mettre en avant mais Will ne voulait rien de tout cela, depuis le jours ou il avait Ă©tĂ© mordu par Akshay Lecter, l'homme qui lui avait sauvĂ© la vie, Will n'avait pas dormit une seule seconde comme pouvait le constater ses lĂ©gĂšres cernes sous les yeux. En fait en ce moment Will n'avait envie de rien mise Ă  part une seule chose, manger. En effet, il lui fallait sa dose de sang, sa drogue. Mais pas question de sortir dans la rue et de prendre la vie de la premiĂšre personne qui croiserait son chemin. Non, il devait prendre des prĂ©caution et n'attaquer qu'un se releva d'un coup, sans prĂ©venir. LĂ©to sursauta puis s'Ă©carta de son maitre comme pour lui donner plus d'espace. Will regarda LĂ©to droit dans les yeux puis lui fit- On y va LĂ©to, emmĂšne moi Ă  PrĂ©-Au-Lard, prĂšs des PrĂ©-Au-lard ? Mais monsieur .. A cette heure ?- Oui Ă  cette conversation Ă©tait close, Will n'avait pas envie de se justifier et surtout il avait faim, une chose qui pouvait le rendre insupportable. Le blondinet posa sa main sur la minuscule Ă©paule de LĂ©to qui disparut dans un PLOP sonore. AussitĂŽt les pieds de Will rencontrĂšrent une surface dure et poussiĂ©reuse, il venait de se poser sur l'un des sentier menant aux sommets des Montagnes. Will regarda son elfe de toute ça hauteur et lui fit- LĂ©to rentre, ne reviens que si je t'appelle. Bonne ne fit pas rĂ©pĂ©tĂ©, tourna les talons et transplana Ă  nouveau, Will Ă©tait seul. Cependant il ne devait pas trainer, son dĂ©sir devenait de plus en plus fort, il fallait qu'il trouve un animal le plus vite possible sinon le premiĂšre humain qu'il croiserait serait lui aussi se tapait dans l'ombre en attente d'une proie, immobile, silencieux, sans mĂȘme un mouvement de poitrine signalant qu'il respirait, Rien. AprĂšs environs dix minutes d'attente un gros chien, Ă  la fourrure marron passa Ă  prĂšs de 5 mĂštres de lui en se dirigeant tranquillement vers une grotte sans se douter du danger qui le menaçait. Will guetta l'animal en attendant que le moment propice arrive. Et il arriva, lorsque le chien eu fait deux pas dans la caverne Will courra Ă  toute allure dans sa direction, jamais il n'avait couru aussi vite, ses pouvoirs de vampire et sa faim devait aiguiser tout ça. Lorsqu'il arriva Ă  ses cĂŽtĂ©s Will se jeta sur lui et lui prit le cou avec sa main gauche et le plaqua contre la parois de la grotte Ă  moins de deux mĂštres de l'entrĂ©e, si quelqu'un passait par lĂ  il verrait tout la scĂšne, mais personne ne marcherait dans le coin Ă  cette heure ci. Will coinça l'animal contre la paroi et saisit la peau de son flanc Ă  laide de ses deux mains, le chien essaya de se dĂ©battre et de s'Ă©chapper mais en planta ses deux crocs aiguisĂ© avec une immense satisfaction, il allait pouvoir combler sa faim. Lorsque ses crocs transpercĂšrent la peau de ce pauvre animal une quantitĂ© importante de sang sortit de son corps que Will s'empressa d'avaler. AprĂšs avoir avalĂ© le plus de sang possible Will laissa tomber Ă  terre la dĂ©pouille du chien, la rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă  voir. Will avait du sang pleins les mains, partout sur sa chemise et sur le coin des lĂšvres, mais le pire Ă©tait l'animal, il avait le cou entier de dĂ©chiquetĂ©, ainsi qu'un aspect rien de tout cela n'Ă©tait inquiĂ©tant comparĂ© Ă  se qui allait arriver. un bruit de pas se fit entendre, puis quelqu'un entra dans la grotte et se retrouva Ă  moins de deux mĂštre en regardant Will de haut, l'homme Ă©tait toujours Ă  genou Ă  considĂ©rer le cadavre du chien. Lorsque le nouveau venu s'Ă©carta lĂ©gĂšrement et que la Lune fit assez de lumiĂšre Will pus apercevoir la visage de cette Lupin se tenait devant lui Ă  observer son ami Ă  genou du sang sur les mains, la chemise et au bord des lĂšvres, devant une dĂ©pouille de chien dont le cou Ă©tait entiĂšrement qu'est se que tu fais lĂ  ? fit Will d'une voix desesperĂ©. Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Dim 17 Jan - 352 Il Ă©tait fort tard, mais, ces temps-ci, la jeune Nymphadora Ă©tait prise d'insomnies chroniques... Elle qui sans enfance aurait tuĂ© pĂšre et mĂšre pour rester dans son lit commençait Ă  en avoir peur, peur de rester seule sous les draps, peur de mourir dans son sommeille. Vous allez me dire Ă  dix-neuf ans, fort rare sont les personnes qui meurent en dormant, mais, dans le monde actuel, tout devenait possible. C'est surtout, je pense, que la jeune femme n'aimait plus habiter cette maison sans la prĂ©sence d'Emy, vĂ©ritable fĂ©e du logis, qui y apportait sa joie et sa bonne humeur et que maintenant la modeste maison n'Ă©tait plus qu'un cinq piĂšces assez banal et bordĂ©lique. Nymphadora avait voulu, Ă  maintes reprises, la mettre en vendre, mais c'est une chose ardue que des vendre ses souvenirs aux premiers venus. Une autre option s'Ă©tait offerte Ă  elle, l'abandonner et y revenir lorsque la nostalgie se ferait trop poignante sur le cƓur de la jeune journaliste. La dĂ©cision prise, il ne lui manquait plus que le courage d'aller Ă  l'agence immobiliĂšre et acheter un nouvel endroit oĂč vivre bien loin d'ici....Quoi qu'il en soit, les aiguilles de l'horloge avoisinait les trois heures du matin, lorsque Nymphadora enfila une cape noir assez sobre et qu'elle remonta le capuchon sur sa tĂȘte pour se protĂ©ger du vent. Pas la tĂȘte Ă  aller chez "Lucette', le cafĂ© du coin oĂč se rassemblaient tous les vieux soulards de PrĂ©-au-Lard, pas la tĂȘte Ă  aller prendre une claque de souvenirs Ă  la maison en ruines, la tĂȘte Ă  rien Ă  vrai dire... Elle erra sans but, marchant sans prendre conscience de la direction que prenaient ses pieds, scrutant chaque demeure du coin de l'Ɠil et s'imaginant pour les familles qui y vivaient des histoires plus rocambolesque les unes que les autres. Untel trompait sa femme avec la femme du voisin, l'autre battait ses enfants ou s'adonnait Ă  la prostitution pour subvenir Ă  ses besoins depuis que son mari Ă©tait aux abonnĂ©s absents... Le genre d'histoires dĂ©biles qu'on lit dans des magasines moldus et qui se vendent comme des petits prit place sur un banc tout en chantonnant une vielle chanson apprise chez les moldus et dont les paroles auraient donner envie au plus gaie des hommes de se suicider. L'air hagard, elle ne reprit ses esprits que quand elle sentit une truffe sur ses genoux. Elle n'Ă©tait pas fort pour tout ce qui Ă©tait poilu, qui avait quatre pattes, qui bavait ou qui sentait une odeur incommodante, mais lĂ , elle ne put y rĂ©sister. Face Ă  elle se tenait son sosie, mais en chien ! Seul, abandonnĂ©, l'air ailleurs et qui n'avait pour occupation que le vagabondage nocture. Elle posa sa main sur le haut de sa tĂȘte et entreprit de le caresser. - DĂ©solĂ©e mon beau, mais je n'ai rien d'autre Ă  t'offrir. Je n'ai pas pour habitude de me promener avec des os ou de la nourriture pour chienBon sang, elle Ă©tait dans un dĂ©chĂ©ance totale si elle commençait Ă  parler avec des animaux ! Conversation qui ne dura pas longtemps vu que Roucky de son flair incroyable capta, au pieds de la montage, un fumet qui lui mit la bave aux babines. Nymphadora le suivit, question d'instinct, de curiositĂ©, elle savait qu'il y avait une grotte lĂ -haut et avait une envie soudaine d'y mettre les pieds. Alors qu'elle montait progressivement et qu'elle se trouvait, approximativement, Ă  deux mĂštres de la dite grotte, un spectacle inhabituel se dĂ©roula devant ses yeux. Un humain Ă©tait entrain de bouffer le gros toutou, une personne normal aurait eu peur, aurait prit la fuite et aurait une pensĂ©e triste pour le pauvre petit Milou. Nymphadora, non, elle se demande juste si le type de la grotte sera rassasiĂ© avec un chien. Pour en avoir le cƓur net, la jeune femme entra dans la grotte et y aperçu Will agenouillĂ© devant le cadavre et rempli de sang. Tomber nez Ă  nez avec sa consƓur ne semblait pas lui plaire visiblement. - Ce que je fais lĂ  ? Je viens constater que tes parents ne t'ont pas appris les bonnes maniĂšres et que tu manges vraiment comme un porc. Mais qu'avait-il donc cru ? Que sept litres de sang allait lui faire tourner de l'Ɠil ? Ou qu'elle allait partir en courant, crier Ă  qui veut l'entendre qu'une crĂ©ature bouffait les animaux domestiques ? CrĂ©ature ! Non, Will n'Ă©tait pas une crĂ©ature ! S'Ă©tait un... Un... Quelque chose. - Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? Elle se servit de sa baguette pour arroser le journaliste et lui rendre un aspect et une odeur digne de ce nom. Elle mit feu au cadavre du chien pour pas qu'il se fasse bouffer par toute sorte de bĂȘtes et que ça finisse par sentir le cadavre en putrĂ©faction dans tout PrĂ©-au-Lard, ce qui finirait par rameuter tout les villages dans la grotte et certaines personnes risqueraient de se poser des questions qu'ils ne devraient pas. Nymphadora dĂ©tailla de haut en bas le jeune homme et sa conclusion fut qu'il avait une sale mine. - Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ  ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă  balais. L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le messageInvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Lun 3 Mai - 2207 dS'il s'Ă©tait attendu Ă  une Nymphadora choquĂ© ou apeurĂ©, Will c'Ă©tait lourdement trompĂ©. En effet, la jeune femme n'avait mĂȘme pas sourcillĂ© en voyant le corps dĂ©chiquetĂ© du chien ou encore le sang que Will avait partout sur lui. Le jeune homme Ă©tait perplexe, d'un cĂŽtĂ© il Ă©tait content que Nymphadora lui tombe dessus et pas n'importe quel idiot du village, il aurait voulu crier Ă  qui voulait l'entendre qu'un vampire se trouvait dans la montagne et Will aurait Ă©tĂ© obligĂ© de le tuer, mais d'un autre cĂŽtĂ© Nymphadora Ă©tait une personne qu'il connaissait ...Nymphadora, d'une voix neutre, comme si c'Ă©tait une parole de toute les jours lui fit- Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? - Oui, un vampire .....comme Ă  son habitude, Nymphadora ne se laissa pas dĂ©monter et prit les devants, elle se chargea de nettoyer Will d'un coup de baguette magique, se que soit disant passant Will n'aima pas des masses, puis elle fit bruler le cadavre du chien, ainsi pas une seule bĂȘte ni odeur ne viendrait signaler le massacre. Un peu honteux de la sitation Will marmona un timide "Merci" puis se Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ  ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă  balais. - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irais mieux aprĂšs ...Bien sur Will ironisait, mais il Ă©tait vrai que son appetit n'Ă©tait pas totalement satisfait, il aurait payĂ© chĂšre pour boire un peu de sang humain, rien qu'un peu ... En fait, plus Will y reflechissait plus il pensait que Nymphadora avait soulevĂ© un point important Bien qu'il Ă©tait toujours assez costaud son manque de nourriture commençait Ă  porter prĂ©judice, ses joues commençaient Ă  se creuser et des cernes apparaissaient sous ses yeux. Pas de doute, un dernier morceau lui ferait beaucoup de tourna rapidement les talons et s'engouffra en courant plus profondĂ©ment dans la grotte en prenant soin d'attraper solidement Nymphadora par le poignĂ©e. Connaissaint Nympha, Will ne doutait pas une seule seconde que se qu'il allait lui proposer lui plairait, dans le cas contraire une fois partie ils ne pourraient tourner les talons ...AprĂšs avoir couru durant une bonne minute Will s'immobilisa le long de la paroi et renifla bruyamment vers le fond de la grotte. Les sens en Ă©veil il resta silencieux quelques secondes puis il continua sa course mais cette fois plus lentement, plus discrĂštement en marchant Ă  pas de loups ...Cinq-cents bon mĂštres plus tard, Will s'arrĂȘta en faisant signe Ă  Nymphadora de faire de mĂȘme. aussitĂŽt un grognement sonore s'Ă©leva, puis un deuxiĂšme diffĂ©rends. Will aussi commença Ă  grogner, moins fort. Peu Ă  peu deux silhouette furent distinguable, des silhouette animal. En fait, les deux jeunes gens virent quelques secondes plus tard que deux magnifique loups leur faisaient face, les crocs sortie avec un air tout sauf deux loups, plus agressif que jamais faisaient face Ă  Nymphadora et will ... Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Mar 11 Mai - 1624 - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irait mieux aprĂšs ...- Ca ferait quoi si tu me prenais un peu de mon sang ? Si tu pointes tes grandes dents quelque part dans mon corps, est-ce que je me transformerais en vampire ? Si je peux rester humaine, alors vas-y fais le et bouffe un peu de mon sang, mais bon si je dois troquer ma belle dentition pour des dents pointues comme les tiennes laisse tomber. On trouvera bien un moyen de te nourrir. On pouvait ĂȘtre mĂ©chante, froide et cruelle comme Nymphadora, celle ne voulait pas pour autant dire que l'on ne possĂ©dait pas un cƓur et et que l'on ne se serait pas coupĂ© en quatre pour ses amis. Ça lui dĂ©chirait les tripes de voir Will si faible et aussi mince qu'un manche Ă  balais, tandis qu'il lui tournait le dos, elle le regardait de haut en bas, ce n'Ă©tait plus vraiment le fringant jeune homme qu'elle avait connu des mois auparavant. La jeune brune fit apparaitre une petit coupole et se coupa le poignets tout en Ă©vitant les veines, elle n'Ă©tait pas suicidaire tout de mĂȘme, et laissa son sang couler dans le rĂ©cipient. Une fois celui-ci plein, elle referma sa coupure et tendit le sang Ă  son ami. - Me regarde pas avec tes yeux de chien battu et bois ça vite fait bien fait avant que je te le fasse ingurgiter par le nez. Que cela reste entre nous Will, il est hors de question que tu te ramĂšne avec tout tes petits amis au sang froid pour que je vous nourrisse tous, mais si jamais tu as encore besoin de sang, n'hĂ©site pas. Rapide comme il Ă©tait, Nymphadora ne se rendit pas compte que le vampire lui prenait le poignet et l'obligeait Ă  s'enfoncer Ă  l'intĂ©rieure de la grotte. Elle ne savait pas si elle devait lui foutre une bonne raclĂ©e ou le laisser la tirer comme un vulgaire jouet, dans le cas oĂč il voudrait se battre contre elle, il savait dors et dĂ©jĂ  qu'il n'avait aucune chance contre sa comparse. Effectivement, Nymphadora utilisait dĂ©jĂ  sa baguette comme une arme mortelle que Will tĂ©tait toujours le sein de sa mĂšre ! Il courait assez vite et la jeune brunette avait quelque peu du mal Ă  la suivre surtout qu'elle et l'athlĂ©tisme ça avait toujours fait deux, mais il dĂ©cida enfin Ă  s'arrĂȘter. - Tu joues Ă  quoi lĂ  ? Il lui plaqua nĂ©gligemment la main contre sa bouche afin qu'elle se taisse, apparemment, ils n'Ă©taient pas seuls dans la grotte et Will arrivait Ă  sentir cette prĂ©sence qui devait ĂȘtre tout sauf humaine Ă  en juger par les grognements qui se faisaient entendre. Hooo...Will voulait donc s'amuser et invitait sa jeune amie Ă  participer Ă  ce petit combat, mais quel gentil jeune homme tout de mĂȘme. Il est vrai que Nymphadora n'avait plus combattu quelque chose ou quelqu'un depuis quelques semaines, il Ă©tait temps de reprendre du service ! Son adversaire serait donc un loup, en espĂ©rant que ce ne soit pas un des loup-garous reconnus par le ministĂšre mais un bĂȘte loup qui regrettera bien vite d'ĂȘtre venu dans cette grotte. - Je prends celui de droite, ok ? EuroraLĂ©gendePoufsouffle Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Eurora, le Ven 2 Juil - 1458 [HJ Je pense que je peux poster ici depuis le temps qu'il n'y a pas eu de rĂ©ponse... roll ]Eurora ne comprenait pas ce qui lui arrivait ; elle n’avait pourtant bu que trĂšs peu et elle sentait la tĂȘte lui tourner horriblement 
 Dans sa maison, Ă  PrĂ©-au-Lard, elle Ă©tait accroupie sur le sol et tournait les pages d’un album photo oĂč quantitĂ©s de photos lui renvoyait des sourires emplis d’amour 
 Mais ces sourires appartenait au passĂ©. Bel et bien au passĂ©, se dit-elle. Les traces de son chagrin envahirent le bleu Ă©tincelant de l’ocĂ©an de ses yeux et une larme – comme une perle – se mit Ă  rouler sur sa joue
 Sans doute l’alcool qu’elle avait ingĂ©rĂ© en fut la cause elle n’en savait rien mais quoiqu’il en soit, cela aggravait son chagrin et le faisait apparaĂźtre au grand jour alors que normalement elle chercherait Ă  le dissimuler... Pleins de choses Ă©taient coupables de son actuel Ă©tat
La solitude lui pesait ce soir lĂ , plus que d’habitude ; elle avait envie de sentir la prĂ©sence de ses amis prĂšs d’elle, de son fils, d’Akshay, de ses soeurs mais une autre pensĂ©e s’insinuait dans son esprit elle ne voulait pas les dĂ©ranger 
 Cela ne la regardait, elle et elle seule. Cette bouteille avait semblĂ© si tentante 
 Elle n’avait su y rĂ©sister 
 Y noyez son chagrin ? Sans doute eut-il Ă©tĂ© dans son intention. Et pourtant, elle ne cessait de penser encore, sinon davantage, Ă  tout ce qui occupait son esprit
 Vacillante, elle tenta de se relever mais retomba par terre, lĂąchant un petit Oups ! » alors que le craquement significatif d’un transplanage brisait le silence
 Aaaah ! » et boum, elle bascula en arriĂšre, soudainement surprise de l’arrivĂ©e impromptue d’Orion
 Qu’est-ce que ... ?!! » L’elfe, s’inclinant devant elle, lui rĂ©pondit alors, les yeux exorbitĂ©s en voyant dans quel Ă©tat sa maĂźtresse s’était mise
 Orion et NaĂŻla ont pensĂ© que vous aviez peut-ĂȘtre besoin d’aide, maĂźtresse Eurora
 »Les vapeurs de l’alcool aidant, La jeune femme Ă©clata de rire puis laissa Ă©chapper un Ă©clat de rire
 Oups, tu m’as fait peur ! 
 Moi ? M’aider ? Bien sur que non, je ne me suis jamais sentie aussi
 Aussi bien... Hips 
 Je pourrai gravir le mont Blanc ! »  Elle rit Ă  sa propre plaisanterie, mĂȘme si celle-ci n’était pas forcĂ©ment drĂŽle 
 Ce que sembla songer Orion mais il n’ajouta rien. Il s’approcha de quelques mĂštres, tentant de saisir le bras d’Eurora mais cette derniĂšre se dĂ©roba ... Je pourrai mĂȘme aller sortir dans les rues et chanter Ă  qui veut entendre ! »Elle se sentait libre, pour la premiĂšre fois, libre de toutes contraintes ! C’était certain ! Jamais elle ne s’était sentit la libertĂ© de faire ce qu’elle veut, d’aller oĂč elle voulait 
 Oups, elle tituba, se rattrapant au rebord de la table
 OulĂ , est-ce normal que le sol tangue tant ... On se croirait en pleine mer sur un navire ... Madame, vous devriez vous coucher je crois
 »La silhouette d’Eurora s’immobilisa, puis se retourna lentement
 Un instant, elle sembla recouvrir toute sa raison puis, une lueur effrayĂ©e passa dans son regard, le temps de comprendre ce que dormir signifiait
 Non, dormir je ne veux pas
 Je veux ĂȘtre libre ! Libre de choisir, libre d’aller, libre de 
 De choisir mes dĂ©cisions et Ă  qui je donne mon soutien ! »Elle ne savait trop pour quelles raisons elle avait prononcĂ© ces derniers mots
 Tout se mĂ©langeait dans son esprit, tous les Ă©vĂšnements de ces derniers temps, toutes ces contrariĂ©tĂ©s
 Tout s’était rĂ©uni, concentrĂ©, et tout Ă©tait sortait ce soir lĂ  en mĂȘme ces mots, elle avança tel un chĂąteau branlant en direction de sa porte d’entrĂ©e et alors qu’Orion demeurait sans bouger, et sans savoir ce que le mieux Ă©tait de faire, il l’observa sortir parmi le sombres de la nuit
 Une fois dehors, la jeune PhĂ©nix ne sentit pas mĂȘme la fraĂźcheur saisissante de cette nuit d’étĂ© 
 Sa vision Ă©tait incertaine mais elle ne se demanda mĂȘme pas comment elle parvenait Ă  mettre un pas devant l’autre. Le lendemain, elle aurait certainement une migraine atroce mais pour le moment, elle ne voulait plus penser Ă  rien ! POURQUOI ?!!! » fut sa premiĂšre parole alors qu’elle adressait cet seul mot, plus au ciel qu’à quiconque d’autres. Seul le silence de la nuit lui rĂ©pondit alors qu’il lui renvoyait l’écho de sa propre voix. Elle attendit quelques secondes que ce dernier se tut pour enfin bouger un orteil et descendre les marches de la maison
DĂ©ambulant dans la ruelle, son pied finit par se prendre dans quelque chose ; elle se pencha et maugrĂ©a aprĂšs ces gens qui n’étaient pas mĂȘme capables de ramasser leurs ordures
 C’est alors qu’elle reconnut le visage d’Azphel, les traits de l’un des directeurs de Maison et tout le poids de ses responsabilitĂ©s revint sur ses Ă©paules et Ă©galement ce qu’elle avait ouĂŻe dire de ce qu’on attendait d’elle
 QUI avait Ă©tĂ© crĂ©er le principe selon il Ă©tait "normal" de soutenir ceux avec lesquels on travaillait ?!! QUI que je l'Ă©trangle !!! Personne. EmprisonnĂ©e ce soir par les vapeurs d'alcool, Eurora ne se sentait pas libre de ses opinions et de ses actions... Ce fut l’air fier et dĂ©jĂ  triomphant – Ă  moins que ce soit dĂ» Ă  quelques retouches sur la photo – d’Azphel qui eut raison d’elle et la fit tressaillir, comme saisit d’un lourd pressentiment
 *Des mots ! Que des mots ! * ET POURQUOI devrais-je soutenir forcĂ©ment les personnes avec qui je travaille ?!! Le monde est-il ainsi fait qu’il ne permets pas mĂȘme Ă  l’Homme de faire ce que bon lui semble, de penser ce qu’il veut, de prendre les dĂ©cisions qu’il veut ?!!! »Un tressaillement la saisit, peut-ĂȘtre l’alcool qui coulait dans ses veines en Ă©tait coupable mais aprĂšs qu’un long frissonnement l’eut saisie, elle laissa Ă©chapper une sorte de rĂąle mais au contraire de ce qu’un Ă©tranger aurait pu penser en la voyant ainsi, elle ne tomba pas, Ă©croulĂ©e sur le sol
 Dans sa main, ses doigts se refermĂšrent sur l’affiche, la froissant puis la laissant retomber par terre, en une boule de papier informe. Elle n’y faisait plus garde Ă  prĂ©sent, prit dans ses dĂ©lires amplifiĂ©s Ă  la fois par son dĂ©sespoir et Ă©galement pas les vapeurs de l’alcool circulant dans ses veines qui lui donnait la force cependant de ne pas s’ contraire elle continua d’avancer, telle une somnambule, vacillant de temps Ă  autre sur ses pieds, se retenant quelquefois au mur d’une maison dĂ©crĂ©pite. D’un seul mĂȘme Ă©lan, toutes les injustices et mĂ©saventures dont sa vie avait pu ĂȘtre parsemĂ©e se diluĂšrent dans son esprit, amplifiant cette impression de se sentir comme 
 vidĂ©e. Pourquoi ne pourrait-on pas ĂȘtre maĂźtre de son destin, et de SES pensĂ©es ! Tout simplement car elle voulait ĂȘtre elle-mĂȘme, car elle ne voulait pas se plier Ă  ce que la plupart des gens penserait qu’elle ferait
 A ce qu’ils pensaient qui Ă©tait normal de faire 
 Pourquoi ne pourrait-elle soutenir les gens qu’elle voulait ? Si son statut de directrice l’obligeait ainsi Ă  soutenir forcĂ©ment ceux avec lesquels elle travaillait, alors elle rejetait son insigne, et en mĂȘme temps ses responsabilitĂ©s ! Elle n’en voulait plus, voilĂ  ! Si elle avait un insigne, elle la jetterait au sol et marcherait dessus, l’écraserait jusqu’à ce qu’elle ne soit plus ... Si du moins cela lui impliquait d’effectuer des actes dont elle ne pensait pas un mot ! Vous pouvez me prendre tout ce que j’ai, mais certainement pas ma libertĂ© ». Cette fois, il s’agissait d’un murmure. Un murmure prononcĂ© face au mur contre lequel elle se trouvait. La norme ?!! Pourquoi la norme existait-elle dans la sociĂ©tĂ© ? Il n’y avait pas de normes. Sans crier garde et criant Ă  qui pouvait l’entendre, elle s’écria
 Je soutiendrai ce qui me semblera bon et ce que JE voudrai ! Jamais vous ne m’obligerez Ă  penser comme vous le souhaitez ! JAMAIS !! »Seul le silence lui rĂ©pondit. Dans la nuit, ses paroles lui semblĂšrent vide de sens, tout comme elle avait l’impression que son corps n’était plus empli que d’un vide saisissant 
 A tel point qu’elle en ressentit un vertige atroce..S’aidant d’avec sa main, elle se recula du mur et reprit sa marche 
 Les rues toujours autant silencieuses
 Elle dĂ©chiffra au passage plusieurs affiches pour les Ă©lections ministĂ©rielles dans lesquelles elle donna des coups de pieds dedans
 Marre de ces Ă©lections
Marre de tout ce qu’elle pensait Ă©tait toujours remis en question
 Marre de tout, elle souhaitait oublier tout ! Elle ne sut pas pendant combien de temps elle dĂ©ambula Ă  travers les rues
 Elle ne savait jusqu’oĂč elle marchait ainsi mais elle marchait. Ce qui Ă©tait certain c’était qu’elle montait en altitude ; Ă  plusieurs reprises, elle grimpa des collines qui paraissaient immenses ou alors c’était sa vision troublĂ©e qui les faisait paraĂźtre si immense
 Le dĂ©cor bougeait, aussi
 Beaucoup 
 D’ailleurs, avant d’arriver au sommet, elle trĂ©bucha Ă  maintes reprises
Jusqu’à parvenir Ă  la grotte qui dominait tout le village de PrĂ©-au-Lard devant lequel, en maĂźtresse des lieux, elle se planta telle une statut la reine d’un empire sur lequel elle n’avait plus nulle emprise. JE SUIS LIBRE ? vous m’entendez ?!! LIBRE d’apporter mon soutien Ă  qui JE veux !... soyez VOUS AUSSI AUSSI LIBRE QUE MOI ! »  Elle s’effondra ensuite, Ă  bout de souffle et de forces, Ă  mĂȘme l’herbe. La nuit Ă©tait bien avancĂ©e
 C’est alors que l’amoncellement de tout ce qui occupait son ĂȘtre soumis Ă  diverses forces et tortures extĂ©rieures la fit s’ébranler et laisser les larmes envahir ses yeux et ses joues
Elle avait l’horrible impression d’ĂȘtre invisible
 La sensation de n’ĂȘtre qu’un jouet du destin dont celui-ci s’amusait Ă  jouer de ses Ă©motions, de ses sentiments, de tout d’elle
 Dans l’état dans lequel elle se trouvait, elle ne sentit mĂȘme pas une main lui saisir le bras, la relever puis l’entraĂźner dans le Pop » distinctif du transplanage
 Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Ven 30 Juil - 1547 Une lĂ©gĂšre implosion de la grotte... Une gerbe de flamme rouge teintĂ©e or... Une plume... Un phĂ©nix et un jeune homme... Perceval venait de se faire tĂ©lĂ©porter par son PhĂ©nix en ce lieu de recueil fort bien reculĂ©; assez pour satisfaire l'envie de solitude de le style de construction de sa maison qui permettait de l'isoler du brouhaha extĂ©rieur, Perceval se retrouvait atteint par les cris de ses voisins... Les seuls qui montaient assez haut dans les aigus pour que leurs voix puissent ĂȘtre entendu par l'hĂ©ritier dĂ©chu des nobles Bright. Actarius Ă©tait Ă©puisĂ©... extĂ©nuĂ©... Lasse de devoir subir, quasiment tout les soirs, l'audition de ses satanĂ©s de voisins moldus qui, jamais, Ô grand jamais, n'Ă©tait fatiguĂ© de se disputer. LĂ , c'Ă©tait monsieur qui disputait sa femme pour une paire de chaussette non lavĂ© -comme s'il n'en possĂ©dait qu'une seule-... AprĂšs, c'Ă©tait madame qui rĂ©primandait monsieur parce qu'il avait omit de ranger sa chaussure dans le placard. C'Ă©tait tout simplement absurde, barbant et purement insupportable!Le sorcier Ă©tait vĂȘtu d'une longue robe noire Ă  l'ancienne -les hommes portaient des robes par le passĂ©, au Moyen-Age-, qui lui tombait tout juste au dessus des chevilles et Ă  laquelle Ă©tait accrochĂ©e une cape tout aussi noire maintenue par une broche d'argent frappĂ©e des armoiries de la famille du jeune homme. Ses longs cheveux noirs de jais, proprement coiffĂ©s et regroupĂ©s dans sa nuque en une fine queue de cheval les cents pas, tournant et encore tournant en rond, Fafnir son phĂ©nix sur ses Ă©paules, Actarius ne faisait pas trĂšs attention, ne surveillait pas ses arriĂšres... Il ne s'attendait de toute façon pas Ă  ce que la grotte dans laquelle il Ă©tait venu se rĂ©fugiĂ© soit le refuge d'on ne sait quel crĂ©ature magique ou d'un quelconque sorcier Ă  l'esprit plus tordu que le sien. Qui aurait la brillante idĂ©e, Ă  part lui, de venir dans un tel lieu par une nuit aussi noire, le ciel Ă©tant dĂ©nudĂ© de la dĂ©esse lune? Certainement une personne dĂ©nuĂ© de bon sens... Ou une personne... comme lui. Enfin, ce n'Ă©tait que des suppositions sans fondements! Il Ă©tait seul dans cette grotte et il Ă©tait pratiquement sĂ»r qu'il ne serait pas dĂ©rangĂ©! Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Ven 30 Juil - 1807 ASA la maison, tout semblait beaucoup trop calme pour la jeune Amy qui depuis cinq ans Ă  prĂ©sent avait toujours eu l'habitude d'entendre quelqu'un respirer chez elle. Son fils et sa fille Ă©tait partie pour plusieurs jours grĂące Ă  un camp de vacances qui les avaient emmenĂ©s Ă  la montagne au delĂ  des frontiĂšres. C'Ă©tait avec une grande tristesse qu'elle les avaient laissĂ© sur le quai de la gare le matin mĂȘme et elle s'Ă©tait enfermĂ© dans une morositĂ© qui ne lui ressemblait pas. ParticuliĂšrement nerveuse, elle avait Ă  plusieurs reprise dans la journĂ©e laissĂ© Ă©chappĂ© de magnifiques jurons qu'elle avait enfoui au plus profond d'elle depuis la naissance de ses enfants. Elle s'Ă©tait totalement laissĂ© emportĂ©e, se rendant compte qu'elle touchait Ă  nouveau du bout des doigts la perfection de la libertĂ© bien que, pour rien au monde, elle n'aurait changĂ© quelque chose de sa vie actuelle. C'Ă©tait ce qu'elle dĂ©sirait au plus profond d'elle mĂȘme, elle le savait. En faisant le bilan, malgrĂ© de nombreuses erreurs et de remises en questions, l'ancienne Auror semblait plutĂŽt satisfaite du rĂ©sultat final. Lucas, Lola c'Ă©tait tout ce dont elle avait son lit, les yeux ouverts comme jamais, le sommeil n'arrivait pas Ă  venir. Depuis plusieurs heures dĂ©jĂ  la jeune demoiselle tournait et tournait encore dans son lit dans l'espoir que ses yeux se ferment et que, sans s'en rendre compte, elle s'endorme aussi simplement que cela. Mais rien n'y faisait... A croire que les dĂ©mons de la nuit avaient choisis de se liguer contre elle. Se rĂ©signant, Amy se leva, enfila une tenu bateau et sortit de sa chambre. Elle passa devant les chambres de ses enfants et fut parcouru d'un frisson qu'elle dĂ©testait, tout Ă©tait trop calme et le silence monotone la dĂ©rangeait. Elle sortit de chez elle et fut surprise par la douceur de la nuit. Elle ignorait encore oĂč elle se rendait, presque automatiquement, la jeune mĂšre marchait tout droit. ASAu creux de sa main droite, elle tenait sa baguette toujours prĂȘte Ă  ce qu'il lui arrive quelque chose. En tant qu'ancienne Auror elle savait que le danger pouvait ĂȘtre partout. Tout l'avait marquĂ©, tout l'avait plus ou moins blessĂ©, elle Ă©tait Ă©corchĂ©e vive devant la dur rĂ©alitĂ© que pouvait donnĂ© la vie. Les combats, la haine, la violence, tout Ă©tait terminĂ© Ă  prĂ©sent, c'Ă©tait beaucoup trop d'Ă©motion et beaucoup trop dangereux pour ses enfants. MĂȘme si elle avait protĂ©gĂ© sa maison de tout les sorts possible et inimaginable, il Ă©tait hors de question que des reprĂ©sailles quel conque soit fait, voilĂ  pourquoi il Ă©tait prĂ©fĂ©rable de quitter se monde de brute et faire comme ci l'insouciance Ă©tait de retour. Un monde parfait, sans ombre au la jeune femme, une petite grotte. Amy se sentit d'un seul coup submergĂ© par son esprit aventureux. MalgrĂ© tout ce qu'elle essayait de se faire croire, une vie sans dangers n'Ă©tait pas sa vie. D'un "lumos" bien formulĂ©, sa baguette s'Ă©claira et la demoiselle s'engouffra sans hĂ©siter dans les profondeurs rocailleuse qui s'offrait Ă  elle. Son coeur se mit Ă  battre un peu plus fort, un peu plus vite et l'ancienne Auror retrouvait ses vieilles habitudes de femme combattante. Elle avait appris Ă  maitriser son souffle, Ă  maitriser l'adrĂ©naline et Ă  foncer droit devant la tĂȘte baissĂ©. Tellement vite qu'elle ne se rendit pas compte que quelqu'un d'autre Ă©tait dans la grotte. Visiblement le jeune garçon ne l'avait pas vue mais beaucoup trop surprise de croiser quelqu'un dans cette endroit prĂ©sumĂ© dĂ©sert elle ne put s'empecher de lui aboyer dessus "Bordel ! Qu'est-ce que vous foutez ici !" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Sam 31 Juil - 321 Depuis un bon moment maintenant qu'Actarius faisait les dix mille pas dans la sombre et froide grotte. De quoi faire pĂąlir le hĂ©ros le plus courageux qui est jamais existĂ© lui mĂȘme. Fafnir, silencieux comme jamais, somnolait tranquillement ses les Ă©paules de son ami et maĂźtre. Enfin, tranquillement est un bien grand mot!Seulement une demie-heure maintenant que Perceval Ă©tait lĂ  avec son PhĂ©nix lorsqu'il fut obligĂ© de sursauter pour on ne sait qu'elle raison. Une voix fĂ©minine, venu de derriĂšre lui voletait au dessus de la tĂȘte. Cette damoiselle devait ĂȘtre fort en colĂšre ou beaucoup trop mĂ©fiante. Quoiqu'il en soit, la main droite sous sa cape, Actarius libĂ©ra l'une de ses baguettes et tendit la main lentement face Ă  la blonde ?, la menaçant de la sienne tout en lui montrant, Ă  travers ce mĂȘme geste, qu'elle n'a pas grand chose Ă  craindre de lui; pas grand chose du pourrai vous retourner la question chĂšre madame. Que faites-vous en un endroit si reculĂ©?!Ce n'est qu'aprĂšs cette phrase qu'Actarius posa rĂ©ellement les yeux sur l'invitĂ©e de derniĂšre minute. Tout en elle exultait la beautĂ©, provoquait le dĂ©sir en Perceval. Il avait connu cela avec une autre... Une jeune fille sortie de chez Serpentard... Était-elle vĂ©lane? Certainement, oui! Elle Ă©tait beaucoup trop magnifique pour ĂȘtre une pure dĂ©esse naturelle; c'est Ă  dire, les autres espĂšces...Qui ĂȘtes vous, trĂšs chĂšre?Si ce n'Ă©tait une VĂ©lane, que pouvait-elle d'autre pour provoquer un si grand trouble dans l'esprit et le cƓur de l'aristocrate? A moins... A moins que ce ne soit, tout simplement lĂ , que la manifestation de la beautĂ© de la gente fĂ©minine. Quel homme pouvait se vanter d'ĂȘtre plus sĂ©duisant et plus agrĂ©able Ă  regarder qu'une femme... comme celle face Ă  Perceval? Sans doute, aucun! Toutefois, c'Ă©tait, mĂȘme si au sens thĂ©orique, de mĂȘmes ĂȘtres, deux espĂšces de vie totalement diffĂ©rentes. Un homme ne pouvait se comparer Ă  une femme et l'inverse non plus ne pouvait ĂȘtre possible. Ainsi allait la pensĂ©e du jeune sorcier...______________Rp tout simplement merdique! J'avais j'ai sommeil P Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Lun 2 AoĂ» - 1135 ASRĂ©pondre Ă  une question par une autre question. Amy Ă©tait l'une de ces nombreuses personnes qui utilisaient cette tactique afin de ne pas rĂ©pondre Ă  quelqu'un ou a quelque chose de gĂȘnant. Mais lĂ  visiblement, c'Ă©tait son mystĂ©rieux interlocuteur qui s'en servait. De nature trĂšs entreprenante, la jeune femme n'avait pas l'habitude qu'on lui rĂ©siste et qu'on est le dessus sur elle, son statut de VĂ©lane en Ă©tait la preuve vivante, user de ses charmes pour dĂ©stabiliser son adversaire lorsque celui ci Ă©tait un homme lui plaisait particuliĂšrement. Elle ne bougeait pas et le fixait d'un regard Ă  en faire frissonner plus d'un. Ce n'Ă©tait pas un endroit reculĂ©. C'Ă©tait une grotte. Une grotte. Un endroit oĂč normalement personne ne vient y passer du bon temps, et encore moins un endroit ou deux personnes ne viennent y passer du bon temps. Enfin, jusqu'Ă  maintenant la ballade Ă©tait plaisante mais depuis qu'elle avait sa baguette pointĂ© devant le jeune homme, le cĂŽtĂ© touristique de la ballade semblait assez lointain. ASIl semblait dĂ©stabiliser, lĂ©gĂšrement obnubiler par le visage d'Amy qui prenait un malin plaisir Ă  lĂ©gĂšrement se cambrer pour accentuer l'effet produit. Il Ă©tait jeune Ă  premiĂšre vue, il devait avoir une vingtaine d'annĂ©es Ă  tout casser. C'Ă©tait presque mignon de le voir aussi troublĂ©. Il lui demanda Ă  nouveau, plus directement cette fois qui elle Ă©tait rĂ©ellement. Il lui tendit sa main, lentement, comme pour montrer qu'elle n'avait strictement rien Ă  craindre et qu'elle pouvait en faire de mĂȘme Ă  son tour. Il se fourrait le doigt dans l'oeil et bien profond tout de mĂȘme s'il pensait rĂ©ellement qu'elle avait la trouille. Elle avait vue bien pire malheureusement et ce garçon Ă©tait loin du faire peur. Mais malgrĂ© tout, sens de la diplomatie oblige, elle baissa sa baguette tout aussi lentement mais la gardant fermement entre ses doigts. "Amy Swan"ASLança t-elle comme ça. C'Ă©tait pas grand chose, elle aurait trĂšs bien pu mentir et sortir un tout autre nom que le sien comme elle aurait fait d'habitude par prĂ©caution. Pourtant lĂ , c'est tout naturellement qu'elle avait balancĂ© ça comme ça. Dans sa main droite, elle tenait toujours sa baguette et maladroitement elle serra la main de son interlocuteur toujours inconnu jusqu'Ă  maintenant. Elle le regarda droit dans les yeux comme pour appuyer le fait qu'elle savait trĂšs bien qu'elle lui plaisait. Physiquement du moins car pour l'instant les dialogues n'Ă©taient pas trĂšs constructif."Et vous ?" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Mer 4 AoĂ» - 246 Perceval se perdait dans un dĂ©dale de pensĂ©e toute plus contradictoire les unes que les autres. Il lui faudrait sĂ©rieusement se revoir... tomber sous le charme d'une dame, qu'en plus il n'avait jamais croisĂ© n'Ă©tait pas concevable. Il ne pouvait se permettre d'Ă©prouver une faiblesse pour les femmes qu'il rencontrait. Surtout pas lorsqu'il rencontrait ladite femme dans une grotte quelque part dans le grand Ouest. Oui, les moldus diraient qu'il avait l'avantage puisqu'il Ă©tait un homme mais en magie, la puissance ne comptait pas sur la force. Elle comptait sur l'expĂ©rience et l'esprit. L'expĂ©rience? Certes, Perceval Ă©tait plus ou moins connaisseur en magie -noire, blanche, grise, mĂ©tisse et tout ce que vous voudrez- mais, le seul fait d'observer l'invitĂ©e surprise lui faisait savoir qu'elle Ă©tait bien plus expĂ©rimentĂ©e que lui. Ne manquerait plus qu'elle soit susceptible! Un mot mal placĂ©, un phrase mal exprimĂ©e et peut-ĂȘtre bien qu'un Avada Kedavra serait pas trĂšs loin...Le jeune garçon, revenant Ă  la rĂ©alitĂ©, rangea sa baguette dans ce qui devait ĂȘtre un Ă©tui, lĂ  oĂč "Ă©tui" devait se trouver. Il loucha rapidement vers la poitrine de la dame en face de lui. Rapidement? Plus vite que "The Flash" ou Speedy Gonzalez! Il prenait soin de se retenir de dĂ©tailler ses formes et ses atouts tout en sachant, pertinemment bien, que la pression qu'elle exerçait sur lui Ă©tait visible Ă  des kilomĂštres Ă  la ronde et qu'elle en Ă©tait parfaitement consciente. D'ailleurs, il, pendant un trĂšs court laps de temps, juste ce qu'il faut pour battre un cil, se maudit en silence. Il se maudit d'avoir un corps beaucoup trop sensible Ă  la beautĂ© fĂ©minine! Si seulement le corps humain pouvait fonctionner sans cƓur... Ca me rappelle un conte ça, pas vous? Soit, Swan? Jolie nom pour une jolie crĂ©ature; Tout se tient! Swan, comme, littĂ©ralement traduit, "Cygne". Eh bien, oui, cette fille Ă©tait un cygne. Un cygne blanc avec tout ce qu'il a de plus gracieux. Sa ou plutĂŽt, ses courbes. Ses longs cheveux blonds ?, chĂątains ?, entre les deux ?, comparables aux longues et fines plumes d'un cygne adulte... Cette femme n'avait rien de comparable. Elle devait ĂȘtre vĂ©lane... Perceval en Ă©tait plus que sĂ»r! Si la vie le lui permettait, il lui poserait la question dans le seul but d'assouvir sa maladroitement qu'elle, il lui serra la main, la relĂącha, puis plongea son regard dans le sien. Le regard qu'elle lui portait le troublait en son ĂȘtre mais il n'allait quand mĂȘme pas se laisser faire. Surtout pas par quelqu'un qui rencontrait Ă  peine! Il se serait peut-ĂȘtre laissĂ© faire s'il la connaissait plus et qui sait...? Soutenant donc son regard sans ciller, l'Ex-Serpentard avala ses deux derniers mots avant de rĂ©pliquer sur ton totalement Bright. EnchantĂ© de faire votre connaissance... Miss ou Mrs Swan?Perceval se força Ă  remettre ses idĂ©es en place, reprit contenance, se fermant -dans la mesure du possible- Ă  toute contemplation de la belle. Fafnir, dĂ©cidant de lĂącher son maĂźtre dans moment pareil, prit son envol, quittant donc son Ă©paule, et s'en alla par l'ouverture de la grotte. Perceval savait que le PhĂ©nix ne serait pas loin et qu'il serait prĂšs Ă  intervenir en cas d'altercation, toujours est-il qu'il Ă©tait un peu inquiet -pour la premiĂšre fois- en se retrouvant face Ă  une femme avec un tel charisme...Dites moi, si je ne me trompes point, vous devez avoir du sang de vĂ©lane. Est-ce faux?Pourquoi lui poser cette question?! C'Ă©tait une maniĂšre de lui avouer l'attirance physique qu'il ressentait pour elle en l'observant! Qu'est-ce qu'il pouvait ĂȘtre idiot parfois... InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Sam 11 Sep - 1132 Les deux loups qui leur faisaient face Ă©taient immense, ils paraissaient affamĂ©s, chose qui ravit Will, surement Nymphadora. Ils pouvaient ĂȘtre sur d'une chose, il y allait avoir du sport. Les grognements Ă©taient de plus en plus sonores, aussi bien du cĂŽtĂ© des chiens galleux que du cĂŽtĂ© du vampire, les crĂ©atures Ă©taient prĂȘte Ă  se battre, la seule sorciĂšre prĂ©sente l'Ă©tait Je prends celui de droite, ok ?- Tes dĂ©sires sont des ordres ma la bataille fut lancĂ©, par Nymphadora qui se jeta sur le loup de droite en lançant divers sorts plus destructeurs les uns que les autres, elle faisait preuve d'une habiletĂ©, d'une rage et d'un talent extraordinaire, mieux valait avoir une femme comme ça dans ses rangs que chez ses ennemies, chaque coups, chaque sorts faisaient mouche. Cependant le loup faisait preuve d'une vitesse et d'une agilitĂ© incroyable, le combat serait de son cĂŽtĂ© avait laissĂ© le loup attaquer, ce dernier avait lancĂ© les hostilitĂ©s dĂšs l'instant ou Nymphadora Ă©tait partit se battre. Il Ă©tait monstrueux, affamĂ© et fou de rage, mais cela restait un chien stupide, un ennemi des vampires, Will ne lui ferait aucun cadeau. Lorsque le chien voulu le mordre au visage Will esquiva in-extremis le coup puis lui arracha l'oreille gauche d'un vif coup de canine. Le sang du loup commençait Ă  couler au fond de sa gorge, contrairement au sang humain celui-ci n'Ă©tait pas des plus dĂ©sagrĂ©able gout dĂ©concentra Will l'espace de quelques secondes, se qui suffit au loup pour le mordre profondĂ©ment Ă  l'Ă©paule. La douleur Ă©tait supportable mais cela suffit Ă  rappeler au vampire qu'il n'Ă©tait pas Ă  l'abri d'une fin souvent, lorsque Will Ă©tait touchĂ©, aussi bien son corps que son Ă©go, le vampire perdu son sang froid. En poussant un grognement sauvage il sauta sur le loup la main tendu vers le coup de la bĂȘte qu'il rĂ©ussit Ă  attraper. Ne souhaitant pas abattre la bĂȘte si rapidement Will planta ses canines dans le cou de la bĂȘte puis d'un geste vif arrache tout se qui se trouvait dans sa bouche, le rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă  petit geste de la main il essuya le sang qui coulait le long de ses lĂšvres puis se tourna vers Nymphadora pour assister Ă  la victoire de son compĂšre qui ne devrait plus tarder. Le loup qui arriverait Ă  mettre Nymphadora Lupin au tapis ne devait surement pas fouler le sol de cette planĂšte.[Pas terrible mais ces temps-ci l'inspiration n'est pas super ] Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Desmots et des choses : Rien qu’une larme dans tes yeux. Par Mohamed MOUMEN En les circonstances funestes, Ă  l’instant noir de la fin, au moment de la mort, dans les moments de deuil, que dire sinon « condolĂ©ances ». CondolĂ©ances, point. Roland Barthes dit qu’il n’est pas de meilleurs discours pour exprimer la compassion, les sentiments attristĂ©s et endeuillĂ©s. «

Mike Brant Durée 0322 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleuré J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis resté Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE

Parolesde RIEN QU'UNE LARME par Mike Brant: Rien qu'une larme dans tes yeux je comprends combien je t'aime, Je t'aime et je veux te le dire je veux te Home; Chansons. Chansons les plus populaires; Chansons rĂ©cemment ajoutĂ©es; Chansons vedettes. Albums. Albums les plus populaires ; Albums rĂ©cemment ajoutĂ©s; Albums rĂ©cemment mis Ă  jour; Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP 2 participantsAuteurMessageAsuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Sam 23 FĂ©v 2008 - 1847 Le dortoir des garçons de Serdaigle Ă©tait dĂ©sormais vide. Les jeunes bleu et argent s'Ă©taient tous levĂ©s pour rĂ©pondre prĂ©sent Ă  l'appel de la biĂšre des trois balais en ce dimanche de sortie Ă  PrĂ©-au-Lard. Le silence rĂ©gnait et les garçons ayant eut la flegme d'ouvrir les rideaux, la pĂ©nombre rĂ©gnait elle aussi. Aucun son, aucun mouvement, aucune forme de vie si ce n'Ă©tait le chat d'Asuka Harada qui avait prit pour habitude de venir caliner le petit ami de sa propre maitresse. Mais Lix Ă©tait lovĂ© dans la couette du jeune homme, dormant paisiblement. Tout Ă©tait donc calme quand... La porte s'ouvrit Ă  la volĂ©e pour laisser entrer Ă  toute vitesse la ravissante Asuka, entrĂ©e ponctuĂ©e par un grand Ă©clat de rire. La belle n'attendit pas une seconde et prit le coussin du premier lit Ă  sa portĂ©e et se cacha derriĂšre la porte, reprenant son souffle et Ă©touffant ses rires. Tout cela ressemblait Ă  une bataille de polochon... Mais comment en Ă©taient-il arrivĂ©s lĂ , alors qu'aujourd'hui Ă©tait un jour de sortie Ă  PrĂ©-au-Lard ?** FLASHBACK **Asuka cherchait quoi enfiler, analysant le contenu de son armoire. Oh des habits, elle en avait bien plus qu'il ne le fallait... Maintenant qu'elle faisait des photos pour des magazines et donc pour quelques marques, elle avait le droit Ă  quelques habits coĂ»teux en plus... qui ne lui coĂ»taient qu'un sourire le temps de quelques photos. Asuka adorait les habits. Se maquiller, se faire belle pour voir son ange, c'Ă©tait un rĂ©el plaisir. Asuka faisait donc le tri selon ses envies, sous l'oeil amusĂ© d'une amie de Serdaigle qui enviait ce grand choix d'habits, mais qui se riait de l'attention que portait Asuka Ă  sa tenue, alors que de toute Ă©vidence, quoi qu'elle porte, elle Ă©tait magnifique. Elle lui fit d'ailleurs remarquer, ce Ă  quoi Asuka sourit en silence. Elle se rappelait que lorsqu'elle demandait Ă  Atreus si il aimait telle ou telle chose sur elle, il rĂ©pondait quasiment Ă  tout les cas quelque chose du genre "J'men fou, je t'aime comme t'est." Elle raffolait de ces moments. Comme de tous les moments passĂ©s avec lui d'ailleurs. Bref. La jeune femme opta pour une tenue dĂ©contractĂ©e Ă©tant donnĂ© la journĂ©e qui les attendaient... La semaine d'avant, ils avaient marchĂ© jusqu'aux Trois balais, et l'un des potes d'Atreus avait tellement bu qu'ils avaient dĂ» le ramener au chateau en le portant Ă  moitiĂ© tandis qu'il levait son verre en l'honneur du mariage d'Atreus et d'Asuka. Souriant en repensant Ă  cela, Asuka prit un jean et un pull noir avec un dĂ©colletĂ© en forme de V avant de filer direction la dĂ» attendre quelques minutes le temps qu'une fille de seconde annĂ©e sorte, les lĂšvres badigeonnĂ©es d'un rouge Ă  lĂšvres rose affreux. Asuka la regarda passer et ne pu s'empĂȘcher de lui conseiller un rouge Ă  lĂšvres rouge, Ă©tant donnĂ© qu'elle avait une peau mĂąte. La petite ne pu qu'admirer ce conseil venant d'une si jolie jeune femme. Asuka avait beau aimer le maquillage, elle avait beau passer des heures Ă  essayer diverses tenues, connaĂźtre des sorts pour se lisser ou, se boucler les cheveux, rĂȘver de dĂ©filer sur une piste en temps que mannequin des plus grands couturiers... Cela ne faisait pas d'elle une fille superficielle, malgrĂ© ce qu'on pouvait en croire. Au contraire, Asuka Ă©tait bien tout sauf superficielle. Et comme elle l'avait confiĂ© Ă  Atreus, le fait que l'on fasse peser sur elle cette rĂ©putation la blessait beaucoup. Mais maintenant qu'elle sortait officiellement avec l'Irlandais, et non pas cachĂ©e au fin fond d'une rĂ©serve miteuse, on la respectait plus. Enfin, les avis Ă©taient partagĂ©s. Certains se disaient que ce n'Ă©tait toujours qu'une "trainĂ©e" et que leur relation n'avait rien de sĂ©rieux. D'autres avaient plus de respect pour elle, du fait qu'Atreus l'ai choisie. car Atreus avait beau ĂȘtre dĂ©tĂ©stĂ© par beaucoup, il y avait Ă©galement beaucoup de gens qui l'admiraient et le respectaient. Mais quoi que pensent les gens de toute façon, Asuka se fichait de leur jugement. Elle aimait Atreus, elle l'aimait plus que tout autre copain qu'elle ait pu avoir. Et elle savait que cet amour Ă©tait rĂ©ciproque. Qu'ils disent ce qu'ils veulent... Atreus et Asuka Ă©taient liĂ©s par le coeur, la tĂȘte... par leur Ăąme. Ils se complĂ©taient, ils pensait sans arrĂȘt la mĂȘme chose... c'Ă©tait comme si ils ne faisaient qu'un. Pensive, Asuka s'enferma dans la salle de bain, enleva sa nuisette et entra dans la douche. Elle resta une bonne vingtaine de minutes sous l'eau, faisant des coeurs sur le rideau de douche avec quelques un de ses cheveux Ă©garĂ©s. Comme dans un Ă©tat seconde, la belle n'avait pas conscience du temps qui passait. La tĂȘte complĂštement ailleurs, ce n'est que quand son amie vint frapper Ă  la porte qu'Asuka conssentit Ă  sortir de la douche. S'habillant, elle ouvrit la porte et son amie vint lui tapper la discut' tandis que toutes deux se maquillaient devant la Alors ? Ca fait combien de temps avec RomĂ©o ?- Depuis cet Ă©tĂ©... neuf mois. Si on compte depuis la bibliothĂšque, ca doit faire pas loin d'un an... C'est dingue comme ca passe Veinarde... T'a trouvĂ© un mec en N'est-ce pas ?Asuka lui sourit, refermant le mascara et le lui donnant. Oui, elle avait un petit ami en or. Elle en Ă©tait bien consciente. Et pour rien au monde elle ne le lĂącherait... Les deux filles enfin prĂȘtes, elles descendirent dans la salle commune oĂč les attendaient quelques autres filles, Atreus, et ses potes. Au moment oĂč elle le vit, un sourire plus large apparut sur ses lĂšvres tandis que son regard se faisait plus tendre encore. S'approchant, elle passa ses mains autour de son cou et lui donna un baiser, avant de murmurer entre deux baisers- Jolie chemise...Il savait qu'elle l'adorait cette chemise. Ainsi que la cravate qu'il portait avec... Chaque fois qu'il la mettait, elle Ă©tait touchĂ©e par cette petite attention qu'il lui portait tout particuliĂšrement. Le groupe des Serdaigles descendit jusque dans la cour, pour rĂ©pondre prĂ©sent Ă  l'appel des profs avant le dĂ©part. Mais une fois chose faite, alors que tout le monde commençait Ă  avancer le long de l'allĂ©e, Asuka rĂ©alisa qu'elle n'avait pas envie de ca. Elle aimait ces journĂ©es Ă  PrĂ©-au-Lard, la plupart du temps Ă  boire un coup en discutant aux Trois Balais... Mais la, elle avait envie de rester avec Atreus. Juste lui. Car les moments oĂč ils pouvaient ĂȘtre en tĂȘte Ă  tĂȘte Ă©taient rares... ClouĂ©e sur place, regardant les autres avancer, elle serra la main d'Atreus tandis que lui entamait la marche. Lorsqu'il se retourna avec un regard interrogatif pour savoir pourquoi elle n'avançait pas, elle leva les yeux vers lui avec un petit sourire malĂźn. Caressant sa cravate, elle l'empoigna doucement et l'attira vers elle, faisant se pencher Atreus prĂšs d' Ai pas envie... Elle lui fit sa plus belle mine de boudeuse, et vit le regard de son petit ami s'attendrir. HĂ©hĂ©... Elle savait ĂȘtre persuasive. Mais Jim, un ami de Serpentard, le savait aussi...- Eh m'sieur dame, vous allez venir prendre un verre quand mĂȘme ?Asuka soupira. Celui-la allait tout faire planter ? Tss... Tout le monde savait bien qu'Atreus Ă©tait un bon vivant, qui ne rĂ©sistait pas Ă  un petit verre... Mais avant que l'Irlandais ne dise quoi que ce soit, Asuka lanca un regard mauvais Ă  Jim et tira de nouveau sur la cravate d'Atreus, se penchant sur la pointe des pieds pour atteindre le creux de son oreille oĂč elle sussura quelque chose... d'apparement plus convaincant que l'argument de Jim. GagnĂ©. Non pas qu'il restait juste pour ce qu'elle venait de dire... elle esperait qu'il n'y ait pas que ca qui l'interesse... Mais bon, aprĂšs tout, elle aussi Ă©tĂ© franchement bien interessĂ©e par cette idĂ©e des plus plaisantes. Alors qu'ils retournaient vers le chateau, on entendit Jim ouvrir de nouveau sa bouche, ce Ă  quoi Asuka s'arrĂȘta al bouche entrouverte, Ă  moitiĂ© choquĂ©e et vexĂ©e de ses L'amour tuera tout tout les plaisirs...Asuka se retourna, lĂąchant la main d'Atreus, et s'approcha de Jim avant de pointer un index accusateur sur le torse du Tu sais quoi ? Si Eliane t'a larguĂ©, c'est parce-que, justement, tu prĂ©fĂ©rais boire et faire la fĂȘte que passer un moment avec elle. Jim, une fille ne restera jamais avec toi si tu ne la fais pas passer avant tout le reste. Alors vas-y, vas te mettre un peu plus minable que tu ne l'est dĂ©ja. En attendant, Atreus n'aura pas de biĂšre mais je suis sĂ»re qu'il prendra bien plus de plaisir que toi aujourd' ce, elle fit demi tour et revint vers Atreus sous les rires des Serdaigles qui se moquaient de la façon dont il venait de se faire casser en public. Asuka n'Ă©tait pas mĂ©chante... Mais il Ă©tait bien connue qu'elle avait un temperament de Serpentard et que, lorsqu'on la cherchait, elle Ă©tait redoutable... une vraie sauvage. Elle bondissait comme une tigresse et faisait des ravages sur son passage. Mais il n'y avait pas de quoi s'inquieter... Jim et Asuka s'appréçiaient. Mais il avait tendance parfois Ă  ĂȘtre un peu trop macho et si il y avait bien quelque chose qui Ă©nervait la miss Harada, c'Ă©tait ca. Alors elle se chargeait de le remettre en place, et le landemain, c'Ă©tait oubliĂ©. De toute façon si il disait quoi que ce soit sur elle, Asuka comptait sur Atreus pour prendre sa dĂ©fense... Histoire tout de mĂȘme de ne pas passer pour la rabas-joise de service, Asuka reprit la main d'Atreus et lança un regard Ă  Jim Ă  qui elle tira la langue d'une maniĂšre ironique pour dire que c'Ă©tait dĂ©ja oubliĂ©, qu'il n'y avait pas de problĂšme.... Ce qui ne l'empecha pas de partir dans monologue feministe anti macho durant tout le long du chemin les menant jusqu'Ă  la salle commune de Serdaigle. Parlant Ă  toute vitesse, elle n'Ă©tait pas convaincue qu'Atreus Ă©tait bien attentif Ă  ce qu'elle disait... et si il ne l'Ă©tait pas, elle ne lui en voudrait pas... car elle mĂȘme se fatiguait Ă  parler, parfois. Mais lorsqu'elle dĂ©blaterait tout un tas de paroles ainsi, s'enervant toute seule, cela faisait sourire Atreus. Et ca, ca valait bien tout l'Ă©puisement du Ă  la salle commune, Asuka se dĂ©barrassa de son sac en bandouliĂšre et passa ses bras autour de la taille d'Atreus, l'embrassant. Parce-que cela faisait un moment qu'elle en avait envie. Parce-que rien que ca, c'Ă©tait un rĂ©el plaisir. Mais comme Ă  chaque fois, un baiser suffisait Ă  faire monter un dĂ©sir enfouit en eux et dĂ©ja elle ne pu se retenir de le pousser jusqu'au canapĂ© oĂč, une fois allongĂ©, elle s'assit Ă  cheval sur lui, l'embrassant encore, ses cheveux lissĂ©s tombant de part et d'autre du visage du prĂ©fĂšt. Elle avait envie de lui. Elle en mourrait d'envie. Mais la jeune fille Ă©tait joueuse... et lĂ , c'Ă©tait trop facile. Le distrayant en descendant poser des baisers au bas de son ventre, elle attrapa le coussin au bout du canapĂ©. Une fois celui-ci en main, elle se repositionna Ă  cheval sur lui, les mains dans le dos, avant de maĂźtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... CouchĂ© le tigre...En voyant la tĂȘte mi amusĂ©e mi offusquĂ©e d'Atreus, elle ne pu s'empĂȘcher de rire et abattit le coussin sur sa tĂȘte avant qu'il ne puisse Ă©changer les positions. Car il Ă©tait Ă©vident que, au niveau physique, il avait toute maitrise sur elle... Il Ă©tait grand et costaud tandis qu'elle ressemblait Ă  une brindille Ă  cĂŽtĂ© de lui. Mais elle adorait le provoquer. Oui, tout deux passaient leur temps Ă  se taquiner. Qui aime bien chĂątie bien. Pour Ă©viter toute contre attque, la jeune femme se leva en vitesse et partit se rĂ©fugier dans le dortoir des garçons, riant aux Ă©clats.**C'est donc cachĂ©e derriĂšre la porte, avec un nouveau coussin en main, qu'Asuka attendait l'arrivĂ©e d'Atreus. Son coeur battait Ă  toute vitesse Ă  cause du stress et du sprint qu'elle venait de faire. Essayant de respirer le plus doucement possible, elle attendait, presque silencieuse, l'arrivĂ©e du bel Atreus. MĂȘme si c'Ă©tait, pour l'instant, pour l'attaquer avec un coussin, elle avait hĂąte. Il lui manquait dĂ©ja...DerniĂšre Ă©dition par Asuka Harada le Dim 23 Mar 2008 - 1716, Ă©ditĂ© 1 fois Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Dim 24 FĂ©v 2008 - 623 Dimanche 14 Avril 1984 - 907 - Salle Commune de SerdaigleUn ciel d'un bleu azur. Quelques nuages fins d'un blanc nacrĂ©. Une lĂ©gĂšre brise. Une belle journĂ©e en perspective. Ah... Avril. Beau mois putain... C'est ce que se disait Atreus en contemplant rĂȘveusement le ciel et le paysage qui s'Ă©tendait devant lui, Ă  travers une des fenĂȘtres de la Salle Commune. Un lĂ©ger roucoulement le fit tourner la tĂȘte. Oh... PerchĂ©s sur une gouttiĂšres en pierre du toit de la tour, un couple de pigeons roucoulaient paisiblement en se donnant de petits coups d'becs affectueux. Des baisers pour eux quoi. Des baisers... AussitĂŽt, l'image d'Asuka apparut au jeune homme. Son visage d'ange et son sourire qui le faisait fondre Ă  chaque fois se dessina devant ses yeux. Ah... Asuka. "Elle" comme il l'appelait... Sa petit amie. Putain... C'kil l'aimait sa Asuka le 'Treus. Comme... Comme un alcoolique chĂ©rie sa bouteille de Whisky par exemple. Euh. Nan c'pas romantique ça. Et puis... Nan ça convient pas. C'est PLUS que ça ! C'est comme... Comme ce couple de pigeon. Il s'aiment Ă  la folie ! C'est exactement doux sourire se dessina sur le visage de l'Irlandais. Le sourire d'un homme qui aime. Un Ă©clat de rire le fit redescendre sur terre. Un d'ses potes Ă  premiĂšre vue. Aaah... Gros soupir. Asuka lui manquait. Il savait qu'elle n'allait pas tarder Ă  descendre, toute fraĂźche et maquillĂ©e, mais, c'Ă©tait trop long dĂ©jĂ . Combien d'fois il lui en coutait de la laisser au pas des escaliers des deux dortoirs ? Je ne les compte plus. Bref. C'est ainsi qu'il prit son mal en patience, ravalant son impatience. Bon. Aujourd'hui, une putain d'journĂ©e s'annonçait. HabillĂ© de sa chemise blanche et de sa cravate rouge, que sa tigresse de petite amie kiffait au plus haut point, et d'un jean, le Serdaigle, et sa bande de potes et amies, attendait Asuka et une autre amie de Serdaigle pour se rendre pour une journĂ©e tranquille et cool Ă  PrĂ©-au-Lard. Atreus prĂ©voyait un 'tit dĂ©tour par le parc avec Asuka pour... Batifoler un peu n'est-ce pas ? Les deux jeunes gens prenaient beaucoup de plaisir Ă  s'faire toutes sortes de cĂąlins doux ou coquins. Ouf comme c'Ă©tait bien. Clac. Puis un "Tap ! Tap !" rĂ©gulier et des paroles. Et Sa voix. Pas d'doutes. Asuka arrivait. Putain enfin la belle de son cƓur arrivait. Quand elle paru, Atreus ne put s'empĂȘcher de sourire devant sa grĂące et sa beautĂ© gracile. C'te fille, c'est une merveille j'vous dit ! Arrivait Ă  sa hauteur, la jeune femme, trĂšs joliment habillĂ©e comme d'habitude, passa ses bras autour du cou du jeune homme et l'embrassa amoureusement. L'Irlandais lui rendit ce baiser pleins d'amour en resserrant la pression et en touchant dĂ©licatement la belle criniĂšre de la jeune femme. Quand ils Ă©cartĂšrent leurs lĂšvres, le murmure d'Asuka parvint Ă  ses oreilles. Jolie chemise... » Jolie pull... » riposta gentiment le jeune homme avec un clin d'Ɠil amusĂ©. AprĂšs un autre baiser plus rapide cette fois, le groupe des Serdaigles se mit en marche, bavardant et riant forts. Atreus passa sa main dans le bas du dos d'Asuka, entourant ainsi sa taille, et ils partirent Ă  la suite du groupe. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Arrivaient en bas du chateau, devant la porte d'entrĂ©e, Atreus sentit une pression sur sa main. Il se retourna. Asuka ne suivait pas. Il lui lança un regard interrogatif. Asu tu n'vient p... »Il n'eut pas le temps de finir sa phrase car la ravissante jeune femme venait de l'attirer en tirant doucement sur sa cravate. Chose qu'elle adorait faire et... Je dois avouer que le 'Treus kiffait beaucoup ce geste si sensuel. La jeune femme approcha et lui murmura doucement Ai pas envie... »L'Irlandais eut un sourire amusĂ© et pleins d'amour devant la mine boudeuse et maligne de la jeune Asuka. P'tiiin. C'te tĂȘte... Il le rendait fou de dĂ©sir ! C'est pourquoi il n'allait opposer aucune rĂ©sistance Ă  ce petit caprice de sa belle petite amie. Quand un pote de Serpy les hĂ©la, Asuka eut une moue encore plus boudeuse et se pencha Ă  cĂŽtĂ© de l'oreille d'Atreus. Ce qu'elle lui dit vous l'avez sĂ»rement devinĂ© non ? Bande de pervers va ! Vous avez pas tout Ă  fait tord... Le visage d'Atreus ne changea pas, si ce n'est pour afficher un sourire chargĂ© d'amour, de tendresse et de dĂ©sir encore plus jeune homme laissa la belle jeune femme mouchait le Serpy. Atreus s'en foutait car en c'moment il se sentait bien dans la tĂȘte, dans le corps et... Dans le coeur. Hop. Direction... La Salle Commune ! HĂ©hĂ©..._ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Le retour Ă  la Salle Commune fut trĂšs rapide. A peine arrivĂ© que les deux jeunes gens s'enlaçaient passionnĂ©ment en s'embrassant fougueusement. Que c'Ă©tait bon. Asuka le poussa avec un amour sauvage dans le canapĂ© le plus proche. Et elle vint de mettre Ă  cheval sur lui tout en l'embrassant avec ardeur. Atreus caressait les courbes de la jeune femme d'un bras alors que l'autre bras Ă©tait logĂ© derriĂšre la nuque de Tigresse tout en l'embrassant avec passion et dĂ©sir. P'tiiin. Des moments comme ça reste gravĂ© dans la mĂ©moire. On souhaite que cela ne s'arrĂȘte jamais. Ou alors seulement pour aller plus loin encore. En c'moment-lĂ , le Serdy Ă©tait vraiment fou de dĂ©sir. Cette fille Ă©tait un rĂȘve. Un rĂȘve qui Ă©tait Ă  lui. Rien qu'Ă  lui. Alors qu'il l'embrassait dans le cou, la jeune femme dĂ©posa des baises sur son torse pour descendre peu Ă  peu. Elle se redressa brusquement pour reprendre sa position initial sur lui, Ă  cheval sur son torse. Quelle maĂźtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... CouchĂ© le tigre... »Oho. La 'tite coquine... On aime la provoc' hein ? Genre Atreus le savait pas. Depuis l'temps qui se taquinaient avec amour et se provoquer mutuellement, c'en Ă©tait devenu un jeu. Un Jeu de l'Amour. L'Amour façon Atreus et Asuka. C'est un peu plus... SpĂ©cial. HĂ©hĂ©. Elle veut donc jouer Ă  ça ? Elle va avoir l'droit Ă ... BROUF ! Putain ! Le jeune homme venait d'se prendre un gros coussin dans la gueule avant d'entendre le rire amusĂ© d'Asuka s'Ă©loignait. Tout en enlevant le coussin, le Serdy Ă©clata de rire. Putain. Vous l'ai-je dit que j'adore cette fille ? Aussi belle qu'imprĂ©visible. J'ADORE !Et c'est donc un coussin Ă  la main et le sourire tendre et amusĂ© aux lĂšvres que l'Irlandais se lança Ă  la recherche de sa joueuse de petite amie. Il jeta un Ɠil du cĂŽtĂ© de l'escalier des dortoirs des filles mais le rire Ă©touffĂ© de la jeune femme lui parvint du cĂŽtĂ© des dortoirs des mecs. Oho. En territoire connu. Ça va ĂȘtre marrant. Le jeune homme s'Ă©lança sans faire de bruit dans l'escalier, s'arrĂȘtant de temps en temps devant les porte des dortoirs. Mais il savait oĂč elle s'Ă©tait rĂ©fugiĂ©. Dans SON dortoir Ă  lui. Il le sentait. Il le savait. Il la connaissait bien sa Asuka hein ? A pas de loups, il s'approcha donc de la derniĂšre porte, celle de son dortoir. Il resserra sa prise sur le coussin, et aprĂšs un sourire et un frisson d'excitation et d'euphorie, ouvrit rapidement la porte. Un gros coussin s'abattit une fois de plus sur lui mais il se roula Ă  terre et, se relevant d'un bond, balança doucement mais rapidement son coussin sur la tĂȘte de la jeune femme. Elle le reçu en plein visage alors qu'elle riait aux Ă©clats. Le PrĂ©fet en profita pour se rapprocher d'elle et se collait Ă  son corps. Tout deux riant, ils s'embrassĂšrent un peu partout... Dans le cou, sur le visage, les lĂšvres... C'beau l'amour hein ?Avec un regard amusĂ©, ils se sĂ©parĂšrent et reprirent leurs armes. Le Coussin Blanc - ModĂšle Hot Dreams » d'Asuka VS le Coussin Bleu Ă  Franges - dit Tueur de Mouches » d'Atreus. Tantan ! ZE duel ! LEs deux adversaires se font face. Ils s'observent et... C'EST REPARTIT ! Le Coussin Blanc de la jeune femme vole Ă  travers la piĂšce et manque de peu l'Irlandais. Ce dernier riposte en envoyant valser son coussin vers Asuka. Cette derniĂšre l'Ă©vite en plongeant sur un lit. Elle se relĂšve, un autre coussin Ă  la main et l'envoie de toutes ses forces sur Atreus. Le prĂ©fet, occupait Ă  rĂ©cupĂ©rer le premier coussin d'Asuka se prit le coussin ennemi dans la tronche. Dans un grand Ă©clat de rire, il contre-attaqua. Cible touchĂ©e. Asuka resta allongeait sur le lit, riant Ă  perdre haleine. Alalaaa... C'trop bon tout ça ! Le jeune homme sauta sur le lit, aux cĂŽtĂ© de sa petite amie. Tout en la serrant dans ses bras, il l'embrassa sur les lĂšvres. La jeune femme tressautait encore d'euphorie mais elle lui rendit son baiser avec autant de fougue que d' releva la tĂȘte. Un sourire amusĂ© et tendre sur les lĂšvres, il balaya une mĂšche rebelle sur le front de la Serdaigle avant de lui caresser la joue. D'une voix douce, lĂącha Je t'aime Asuka. De tout mon cƓur. De tout mon ĂȘtre. De toute mon Ăąme. »Magnifique. Un moment... Magique. Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Jeu 28 FĂ©v 2008 - 2313 Silence. On entendait qu'un lĂ©ger souffle derriĂšre la porte, tandis qu'Asuka tendait l'oreille. Elle n'entendait pas grand chose, mise Ă  part lorsque Atreus arriva devant la porte. Pour ĂȘtre venue souvent en pleine nuit voir son homme, Asuka connaissait la faille dans le plancher juste devant cette porte. On entendit un petit grinçement lorsque le bel Irlandais arriva devant la porte. A ce moment, il ouvrit celle-ci Ă  la volĂ©e et sans attendre, Asuka lui sauta dessus, le frappant avec le coussin. Le chat, dĂ©ja rĂ©veillĂ© par l'entrĂ©e fracassante d'Asuka, sauta du lit en un miaulement pour se cacher dessous, ses yeux verts grands ouvert dans l'obscuritĂ©. Atreus, pour Ă©viter plusieurs coups, se roula Ă  terre dans une cascade digne de James Bond avant de se relever et jeter un coussin sur Asuka qu'elle n'eut pas le temps d'Ă©viter. Le prenant dans la tĂȘte, elle ouvrit la bouche comme si elle Ă©tait choquĂ©e, bien que ce soit elle qui ait dĂ©clarĂ© la guerre. L'oeil malicieux, cela ne l'empĂȘcha pas de s'approcher d'Atreus lorsqu'il se releva. Passant ses mains derriĂšre sa nuque tandis qu'il la prenait derriĂšre la taille, tout deux se collĂšrent l'un Ă  l'autre avec envie. Asuka dĂ©posa ses lĂšvres sur les siennes, leurs langues se touchant, se quittant, et revenant encore l'une Ă  l'autre. Puis Atreus quitta ses lĂšvres pour lui baiser le cou tandis qu'elle fermait les yeux, se mordant les lĂšvres sous un frisson de dĂ©sir qui lui parcouru tout le corps. Lorsqu'il revint pour l'embrasser, elle laissa ses lĂšvres Ă  quelques milimĂštres des siennes, Ă©vitant tout contact, simplement pour provoquer un peu plus le jeune homme et faire monter l'exitation. Puis elle posa ses mains sur son torse et tout deux se lançÚrent un regard malin. A ce moment, ils comprirent. Se sĂ©parant Ă  toute vitesse au mĂȘme moment, comme si ils Ă©taient capables de lire l'esprit de l'autre, ils reprirent tout les deux un coussin et la bataille reprit de plus belle. Tandis que tout deux enjambaient ou s'affalaient sur les lit, le chat quitta le champ de bataille en courant et en poussant un miaulement n'en pouvait plus de rire. DĂ©ja, rien qu'en voyant Atreus, elle Ă©tait obligĂ©e de sourire. Alors lĂ , tandis qu'ils s'amusaient ensemble, elle Ă©tait euphorique. En ayant mal aux joues, elle plongea sur le lit d'Atreus pour essquiver son coussin, et le silence revint doucement, ponctuĂ© par le rire essoufflĂ© d'Asuka qui n'en pouvait plus. Essayant de reprendre sa respiration et d'Ă©touffer ses rires, elle resta ainsi allongĂ©e sur le dos, regardant le plafond avec des yeux pĂ©tillants, la main posĂ©e sur sa poitrine. Et tandis qu'Atreus avançait vers elle, elle enleva ses chaussures Ă  talons, qui lui avaient dĂ©ja broyĂ© les pieds suite Ă  ces folles aventures... Bien qu'elle en ai l'habitude. Jetant donc les chaussures et un peu plus loin, elle resta allongĂ©e, regardant le plafond avec un sourire amusĂ© et jeune homme vint enfin prĂšs d'elle en sautant sur le lit, faisant grincer les lates tandis qu'Asu se voyait plongĂ©e vers le sol avant de rebondir lĂ©gĂšrement. AussitĂŽt, elle posa un doux regard sur lui tandis qu'il faisait de mĂȘme, et lorsqu'il approcha son visage, elle l'accompagna, posant doucement sa main sur sa joue, la caressant du pouce. Leurs lĂšvres se joignĂšrent, puis se sĂ©parĂšrent, pour se retrouver encore dans des baisers langoureux. Comme toujours, un vrai dĂ©lice. En un regard elle frissonna, tandis que toute sa tĂȘte, ses sens et son coeur lui criaient Ă  quel point elle l'aimait. Oh oui elle l'aimait. Jamais quelqu'un ne lui avait autant manquĂ©, jamais elle n'avait dĂ©sirĂ© quelqu'un comme elle le dĂ©sirait, jamais quelqu'un ne lui avait fait autant de bien... jamais personne ne l'avait rendue si heureuse. Et cela, elle voulait lui dire. Il le savait, c'etait Ă©vident... Mais elle avait l'impression qu'elle l'aimait bien plus qu'elle ne le lui disait, et que ce n'Ă©tait jamais assez. Jamais Atreus...- Je t'aime Asuka. De tout mon cƓur. De tout mon ĂȘtre. De toute mon Ăąme. BAM. Asuka resta immobile une seconde, le regard allant d'un oeil d'Atreus Ă  l'autre. Puis, sentant une vague de chaleur monter en elle en mĂȘme temps que les larmes lui venaient aux yeux, elle ferma ces derniers et, posant sa main derriĂšre la tĂȘte d'Atreus, elle le rapprocha d'elle en le prenant dans ses bras et en le serrant de toutes ses forces contre lui dire quelque chose de mieux que cela ? Non. Il l'aimait de tout son coeur, de tout son ĂȘtre. Et le fait qu'il le lui dise... Asuka Ă©tait vraiment Ă©motive, et les larmes lui Ă©taient montĂ©es plus vite qu'elle ne l'aurait souhaitĂ©. Mais c'Ă©tait naturel. Des larmes de joie. Parce-que rien ne pouvait lui faire plus plaisir que ces paroles... sincĂšres. Se sentir aimĂ©e, n'est-ce pas ce que tout le monde recherche au plus profond de soi ? Un besoin d'ĂȘtre aimĂ©e, comme on a besoin d'aimer. A vrai dire, son coeur se serra tellement fort Ă  ce moment, elle se retrouva tellement Ă©mue, qu'elle fut incapable de lui rĂ©pondre. Et pourtant, ce n'etait pas l'envie qui lui manquait... L'envie. L'envie de lui crier qu'elle Ă©tait dingue de lui. L'envie de vivre avec lui, de l'aimer pour le meilleur comme pour le pire. Certes, elle Ă©tait jeune. Mais elle croyait au coup de foudre, et en l'amour d'une vie. Du moins, elle voulait y croire maintenant, maintenant qu'elle l'avait trouvĂ©. Certes, depuis la mort de sa mĂšre, elle s'etait jurĂ© de ne jamais s'attacher... elle avait cru qu'elle ne serait jamais capable d'aimer, d'ĂȘtre aimĂ©. Elle s'Ă©tait forgĂ© un caractĂšre, il fallait le dire, elle aimait sĂ©duire. C'est cela qui lui avait valu cette rĂ©putation, Ă  la base, fondĂ©e... Il faut dire qu'elle avait enchainĂ© les petits amis... Mais aucun ne l'avait aimĂ© sincĂšrement, avant Atreus. Atreus... Il Ă©tait la raison de son bonheur, elle voulait y serrant contre son coeur, elle sentait le sien battre contre sa poitrine. Et se dire qu'il battait pour elle... C'Ă©tait merveilleux. C'Ă©tait parfait. Oui, elle Ă©tait tellement heureuse dĂ©sormais qu'elle soupçonnait parfois le destin de lui prĂ©parer un mauvais coup. Mais cela, elle le refoulait loin dans un petit recoin de sa tĂȘte. Le sourire aux lĂšvres, des frissons plein le corps, elle releva le visage d'Atreus au dessus d'elle et, le regard embuĂ©, l'admira, lui caressant les cheveux. Son regard pĂ©tillait de larmes refoulĂ©es, son sourire Ă©tait tendre. Elle faisait penser Ă  un petit animal qui ne demandait qu'un peu d'amour. Et c'est ce qu'elle Ă©tait... Elle le lui avait dit Ă  la rĂ©serve de la bibliothĂšque... elle Ă©tait fragile derriĂšre sa carapace. Elle avait besoin d'amour, c'est ce qui faisait sa force. Elle en avait besoin, mais elle avait Ă©galement un coeur Ă©norme, un coeur capable de donner absolument tout son amour Ă  quelqu'un. Son amour, et plus Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. - Finit-elle avec un sourire plus large, une larme s'Ă©chappant de son oeil -Tandis qu'il lui caressait la joue pour effacer cette unique larme, elle l'attira vers elle pour l'embrasser profondement, passionement. C'Ă©tait lui sa force. Lui qui lui donnait envie d'avancer, de se battre. Il Ă©tait... tout. Tout pour elle. Et mĂȘme si elle ne lui rĂ©pondait qu'un simple "je t'aime"... cela voulait dire bien plus. Cela voulait dire qu'elle Ă©tait dingue de lui, qu'elle donnerait tout pour l'aimer jusqu'au bout. Mais cela, il le savait. Il n'Ă©tait pas lĂ©gilimens, mais le lien entre eux Ă©tait si fort qu'ils se comprenaient en toute circonstance. Cessant le baiser, Asuka leva les yeux vers lui et sourit plus largement, puis baissant les yeux sur sa cravate qu'elle caressa du bout des doigts, elle dit- Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne Ă  me rendre si heureuse...Pourquoi ? Parce-qu'il n'y avait qu'a lui qu'Asuka s'Ă©tait mise "Ă  nu". En dehors de sa mĂšre, il avait Ă©tĂ© le seul a entendre ses craintes, ses doutes, ses peurs. Il Ă©tait le seul dĂ©sormais Ă  connaĂźtre la vĂ©ritable Asuka Harada. Et Ă  l'aimer pour cela. Pensive, continuant de toucher du bout des doigts la cravate de son bel irlandais, elle lĂącha le regard dans le vide- J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. -Elle leva son regard doux dans le sien- Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands en demandait beaucoup. Elle savait que ce voeux n'Ă©tait pas rĂ©alisable... du moins pas pour le moment. Mais ils l'auraient leur palace. Actuellement, elle passait des heures dans ses bras dans la beignoire de la salle de bain des prĂ©fets, entourĂ©s de pĂ©tales de roses. Ca, c'Ă©tait leur petit plaisir en plus, les pĂ©tales... leur petit truc Ă  eux. Les calĂźns, elle les avait dans le parc, dans la salle commune... un peu partout. Quand aux nuits... Il y en avait eu Ă  divers endroits, et pas forcement pendant la nuit... Bref, c'Ă©tait dĂ©ja parfait. Mais Asuka rĂȘvait de ces moments dans son palace imaginaire... Avec lui. Lui et elle, elle et lui... rien qu'eux et leur amour sans limites. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Ven 21 Mar 2008 - 2220 Silence. Les deux amants se regardaient. A la suite de ce qu'il venait de lui avouer, la belle de son cƓur en fut bouche-bĂ©e. Il eut un sourire de tendresse en la voyant ainsi. Si belle... Ses cheveux bruns lui tombant sur le visage et les Ă©paules. Ses lĂšvres fines si dĂ©sirables. Et ses yeux... Un putain d'regard Ă  vous retourner les tripes. Magique. Magni... *ZBROUF* Asuka venait de le serrer de toutes ses forces dans ses bras, le rapprochant d'elle. Se laissant faire, le jeune homme ferma lui aussi les yeux, sans se douter que sa belle faisait de mĂȘme. P'tiiin. C'dans des moments comme ça qu'on se sent... Heureux. Vraiment. A tout faire pĂ©ter Quand il t’emplit le cƓur, la tĂȘte, le corps.. fin tout quoi, bah c’est kek’chose. Une sensation de bien-ĂȘtre intense
 Un sentiment de puissance
 Sentir que quelqu’un t’aime et compte sur toi. P’tiin. Ca s’est magnifique. Atreus resserra sa pression sur la jeune femme. Long soupir d'aise. Bien ? On n'peut mieux. Le parfum entĂȘtant, lĂ©gĂšrement piquant, d'Asuka lui titillait les narines. Encore une raison de plus de serrer fort dans ses bras la belle jeune femme. Une raison minime en comparaison aux sentiments qu'il Ă©prouvait pour elle. Mais bon... J'aime prĂ©ciser les choses. Tant pis si ça vous embĂȘte. NAH ! Hum. Bref. Ce moment Ă©tait donc intense. Et il promettait mĂȘme de l'ĂȘtre encore plus. Si c'est possible... La jeune femme desserra son Ă©treinte amoureuse. Atreus laissa seulement glisser ses bras jusqu'au Ă©paules de la jeune femme, les caressant avec tendresse et envie. Mais son regard alla direct sur celui de la Serdaigle. Ces yeux brillaient. Et elle lui afficha encore une fois ce sourire si doux et craquant qui lui faisait BONDIR LE CƒUR Ă  chaque fois. Elle passa sa main dans ses cheveux. Le contact le fit frissonner mais il adorer c'te frisson caractĂ©ristique. Un frisson qui exprime tout. Il ferma doucement les yeux, le temps d'un instant. De son cĂŽtĂ©, il ne cessait de caresser avec douceur les Ă©paules de la jeune femme. Ouvrant les yeux, il se mit Ă  faire courir ces doigts sur le bras dĂ©nudĂ© de la jeune femme, celui avec lequel elle lui Ă©bouriffer les cheveux. Avec un petit sourire malin et taquin sur les lĂšvres, il dĂ©posa des baisers sur la peau de son bras. Remontant bien entendu vers son buste. Vous savez, ce genre de p'tits baisers qui chatouillent. C'est ce genre-lĂ . Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. »La voix douce de la Harada et ces paroles firent lever la tĂȘte d'Atreus. Avec un sourire tendre, la lueur encore plus forte de l'amour dans ses yeux, le Serdy enleva dĂ©licatement la larme qui avait perlĂ© dans le coin de l'oeil d'Asuka et qui commençait Ă  roulĂ© sur sa joue dĂ©licate. Les deux jeunes gens s'approchĂšrent une nouvelle fois et s'embrassĂšrent langoureusement. Combien de temps ? 5 minutes ? 10 minutes ? Peut-ĂȘtre plus ? Je ne sais pas. Le Bonheur se compte pas en une valeur de temps existante. C'est donc aprĂšs un temps indĂ©terminĂ© que Asuka et Atreus cessĂšrent de joignirent leurs lĂšvres. Avec un regard tout aussi mignon et tendre, la belle Serdy pris entre ses doigts la cravate rouge de l'Irlandais, la caressant... Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne Ă  me rendre si heureuse... »Le jeune homme sourit. Heureuse. Genre il Ă©tait TRÈS MALHEUREUX avec elle. Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vĂ©ritĂ© de savoir que j'ai la plus adorable des femmes. »L'Irlandais l'entoura de ses bras, tout en lui caressant le dos d'une main, et ses mĂšches folles et rebelles de l'autre. J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands maharadjahs. »Les mains d'Atreus cessĂšrent un instant leurs caresses. Plongeant son regard dans celui de sa Tigresse, il se mordit la lĂšvre infĂ©rieure, d'un geste d'envie et de dĂ©sir. Un palace. Oui. Ils en avaient dĂ©jĂ  beaucoup parlĂ©. C'Ă©tait LEUR rĂȘve. Passer ses journĂ©es dans un magnifique palais au bord de la mer, Ă  se cĂąliner, s'embrasser et s'Ă©battre en totale libertĂ© et tranquillitĂ©. Putain. VoilĂ  un dĂ©sir intense de la part des deux amants. En faisant le compte ça serait vraiment magique. Magiiique... Et le bain aux pĂ©tales de roses... Aaaah... Ça s'est de l'extase Ă  l'Ă©tat pur. Plaisir il est vrai personnel et peut-ĂȘtre assez original mais... C'Ă©tait normal. Ils Ă©taient tout deux des ĂȘtres exceptionnels, il Ă©tait donc normal qu'ils agissent de façon spĂ©ciale et originale n'est-ce pas ? Non je n'ai pas la grosse tĂȘte. C'Ă©tait comme ça qu'ils se considĂ©raient les deux Serdys. Eh bah quoi ? Ça pose un problĂšme Ă  quelqu'un ? NahmĂ©oh. ferma les yeux, poussa un soupir d'envie ce qui eu pour but de lui faire venir une vague de frisson. Ouf. Il l'adorait cette fille... Il l'adorait... Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle... »Il l'enlaça de nouveau, l'embrassant. Leurs langues s'unir avec fluiditĂ© et vivacitĂ©. Sans quitter ces frissons, Atreus passa sa main sur la hanche de la jeune femme, caressant le bas du ventre de gestes sensuels. Alors lĂ , un autre dĂ©fi va commencer. Sans abandonner l'amour qui unit ces deux jeunes gens, on peut se demander qui va dĂ©shabiller l'autre le premier... DĂ©fi intĂ©ressant n'est-ce pas ? Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Dim 23 Mar 2008 - 1705 ... -Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vĂ©ritĂ© de savoir que j'ai la plus adorable des eut un petit rire en entendant ses paroles, son expression Ă  elle sortir de sa bouche. Oui, c'Ă©tait jouissif en effet... Souriant tandis qu'il la prenait dans ses bras en lui caressant le dos, elle colla un peu plus son corps contre le sien, posant la tĂȘte sur son Ă©paule et, en fermant les yeux, rĂȘvassa un envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands desserra son Ă©treinte pour plonger en elle son regard rĂȘveur, plein d'envie lui aussi. Lorsqu'il se mordit la lĂšvre infĂ©rieur, le regard perdu dans le sien, Asuka crĂ» mourir d'envie tant ses lĂšvres l'attiraient. Mais elle ne bougea pas. Parce-que, mĂȘme si elle pouvait le toucher et l'embrasser autant qu'elle le voulait, elle le voyait toujours comme cet objet sacrĂ© auquel elle l'avait comparĂ© la premiĂšre nuit Ă  la bibliothĂšque. Quelque chose de fragile, de trop beau pour elle. Et il Ă©tait si craquant Ă  se mordiller la lĂšvre ainsi qu'elle avait peur de le briser si elle faisait quoi que ce soit. Alors elle resta lĂ , Ă  l'admirer. Lorsqu'il poussa son profond soupir rempli d'envie, elle crĂ» fondre sur place tant elle aimait quand il faisait Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle...-Oh oui je te comprend...Dit-elle avec un sourire en baissant les yeux, frissonnant. Oui, elle le comprenait... car elle aussi l'aimait, Ă  s'en faire pĂ©ter le coeur... Mais comme il le disait, ce n'Ă©tait jamais trop... Non... on aime jamais trop. Elle leva les yeux vers lui et vit qu'il la regardait. Ses yeux... ses yeux bleus... Si elle devait choisir sa derniĂšre vision, sur son lit de mort, ce serait ces yeux. Ses yeux Ă  lui, parce-que son regard vĂ©hiculait des tas d'Ă©motions Ă  la fois. Parce-que son regard voulait tout dire. Parce-qu'Ă  travers son regard, elle sentait qu'elle Ă©tait quelqu'un. Ils se regardĂšrent une longue seconde avant qu'il ne s'approche enfin pour l'embrasser. Basculant au dessus d'elle, il posa son coude Ă  cĂŽtĂ© de la tĂȘte de la jeune femme, plaquant le dos de celle-ci sur le lit et sa tĂȘte sur le coussin confortable du jeune homme. Tandis qu'il l'embrassait en lui caressant le bas du ventre, les mains d'Asuka courraient sur ses Ă©paules et sur son torse, tandis qu'elle se courbait de plaisir sous ses caresses. Les gestes gardant toute leur sensualitĂ©, les baisers devinrent cependant de plus en plus fougueux tandis que l'envie ne cessait de monter en eux. Elle l'aimait. Elle l'aimait... Comme une folle. Oui, folle. Elle Ă©tait complĂštement dingue de ce mec. Son visage, son coeur, son corps, son humour, sa gentillesse, son regard... son regard... Asuka ouvrit les yeux entre deux baisers et, comme si il Ă©tait capable de lire dans ses pensĂ©es, il en fit de mĂȘme au mĂȘme instant. Leurs regards se croisĂšrent alors, et tout deux sourirent avant de reprendre le baiser plus passionement encore. En un regard ils se comprenaient. Leurs Ăąmes Ă©taient comme liĂ©es, ils Ă©taient... ils Ă©taient fait l'un pour l'autre. La belle commença Ă  dĂ©boutonner la chemise de son homme. D'une main habile, habituĂ©e malgrĂ© elle, elle les dĂ©faisait d'une main tandis que l'autre caressait sa nuque ou Ă©bouriffait ses cheveux. Une fois la chemise dĂ©boutonnĂ©e, Atreus fit de lui mĂȘme coulisser le noeud de sa cravate, l'enlevant ensuite, avant de retirer sa chemise blanche, offrant Ă  Asuka la vue de ce corps qu'elle dĂ©sirait plus que tout autre au monde. Atreus Ă©tait un excellent joueur de Quidditch. Et par surcroit, un jeune homme trĂšs bien montĂ©... Une fois torse-nu, il revint Ă  elle, ne lui laissant pas une seconde de rĂ©pit. Et tant mieux... Posant ses coudes de part et d'autre de sa tĂȘte, sur elle, il l'embrassa fougueusement tandis qu'elle passa des caresses aux griffures dans son dos, ce qui sembla plaire au jeune homme sauvage, qui aida la jeune femme Ă  enlever son pull et son dĂ©bardeur en mĂȘme temps, avant de descendre lui faire des baisers dans le cou. Se courbant sous le plaisir et les frissons, elle laissa tomber sa tĂȘte sur le coussin, fermant les yeux. Atreus descendit un peu plus, dĂ©posant des baisers au milieu de la poitrine de la jeune femme. Sentant la chaleur monter considĂ©rablement en elle, elle empoigna les cheveux du jeune homme tout en faisant courir ses ongles sur son Ă©paule, les yeux toujours fermĂ©s. Du plaisir... Rien que son corps contre le sien, rien que ces baisers la rendaient folle... Elle s'abandonnait Ă  lui, elle Ă©tait toute Ă  lui...DĂšs qu'elle l'avait vu, Ă  la bibliothĂšque, elle l'avait dĂ©sirĂ©. Ce corps, pourtant pas forcement des plus musclĂ©s du collĂšge, lui avait fait quelque chose. Comme si... comme si dĂšs la premiĂšre fois elle avait su. Lorsqu'elle s'Ă©tait approchĂ©e de lui, elle avait vu ce visage, et ce regard... Au delĂ  de ses pulsions d'envie, elle avait ressentit autre chose... d'autres pulsions... au coeur. C'est lĂ  que tout avait commencĂ©. Lorsqu'en un regard, son coeur s'Ă©tait serrĂ©. Elle l'avait dĂ©sirĂ©, dĂ©sormais elle l'aimait. Ils s'aimaient. Bien plus que du sex, cet instant Ă©tait l'expression de leur amour. Asuka avait couchĂ© avec quelques garçons. Jamais elle n'avait prit tant de plaisir qu'avec Atreus. Parce-que jamais elle n'avait aimĂ© quelqu'un comme elle l'aimait lui. Tout son corps, tout son coeur rĂ©agissait rien qu'au son de sa voix, rien que lorsqu'elle entendait son nom... et quand elle le voyait... c'Ă©tait tout ses sens qui s'Ă©veillaient et s'Ă©merveillaient. LĂ  encore, Ă  cet instant sensuel et fougueux Ă  la fois, elle ressentait autant d'amour que de plaisir. A chaque seconde, elle se retenait de lui crier qu'elle l'aimait. Atreus, qui avait continuĂ© son petit chemin, dĂ©posait dĂ©sormais des baisers sur le ventre plat de la jeune femme, qui se courbait sous les grandes inspirations qu'elle prenait. Du plaisir, encore du plaisir... Frissonnant sans arrĂȘt, les yeux fermĂ©s pour mieux sentir Atreus contre elle, pour mieux sentir chacune de ses caresses et de ses baisers. Puis il remonta jusqu'Ă  ses lĂšvres, faisant glisser une des bretelles de son soutien-gorge le long de son Ă©paule. Asuka sourit. Cet instant qu'il venait de lui offrir, ces baisers tout le long de son buste, ses caresses... C'avait Ă©tĂ© un de ces plaisir... La belle avait envie de lui rendre, lui montrant elle aussi de quoi elle Ă©tait capable, bien qu'ils se soient dĂ©ja montrĂ© beaucoup de choses dans ce domaine...Posant les mains sur son torse, elle le poussa doucement, lui faisant comprendre que c'Ă©tait Ă  son tour de s'allonger. Atreus ne se fit pas prier, souriant d'un air coquin, se laissant basculer sur le coussin. La jeune femme s'assit Ă  cheval sur la taille du jeune homme, rejetant ses cheveux en arriĂšre avant de l'embrasser en lui mordillant la lĂšvre sensuellement. Elle sentit les caresses d'Atreus dans son dos. Chacunes d'elles excitait un peu plus la jeune femme qui descendit dĂ©poser Ă  son tour des baisers sur le torse chaud du jeune homme. Joueuse, elle passa sa langue autour d'un tĂ©ton du jeune homme, puis dans son nombril. Remontant le long de son torse en faisant glisser sa langue sur chaque particule de sa peau se trouvant sur son passage, elle revint Ă  ses lĂšvres et redescendit encore, faisant cette fois glisser son doigt sur sa peau, si lentement qu'il pouvait en avoir des frissons. Prenant tout son temps pour l'exciter encore et faire durer le plaisir, elle dĂ©tacha sa ceinture...Parce-que ces moments lĂ  Ă©taient inoubliables. Parce-qu'elle l'aimait, parce-qu'elle le voulait en elle. Il Ă©tait dĂ©ja dans son coeur, dans sa tĂȘte... et elle en voulait plus. Toujours plus, jamais trop. Leurs Ăąmes ne faisaient qu'une, tout comme leur tĂȘte et leur coeur. Et lorsque leurs corps fusionnaient Ă  leur tour, c'Ă©tait l'extase, l'Amour Ă  l'Ă©tat pur... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Vol PV Atreus » ENTRE 1 ET 10 pv Atreus» Come Break Me Down... PV Atreus» Rencontre amicale [PV Atreus]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers 62jDni.
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