Jesuis maĂźtre de moi comme de l’univers: – Je le suis, je veux l’ĂȘtre. Cinna, ou La clĂ©mence d’Auguste (1640), V, 3, Auguste Citations de Pierre Corneille Pierre Corneille Autres citations Si
InspirĂ©, Nicolas Sarkozy l’était visiblement lors de sa prestation tĂ©lĂ©visĂ©e du 27 octobre. InspirĂ© par Corneille et la cĂ©lĂšbre phrase de l’empereur Auguste Je suis maĂźtre de moi comme de l’univers ; je le suis, je veux l’ĂȘtre ». Car c’est bien en Auguste que, ce soir lĂ , Sarkozy nous apparut. MaĂźtre de l’univers, il voulait l’ĂȘtre, il le fut. Ne venait-il pas, secondĂ© par Angela Merkel, comme il nous l’annonça, de sauver l’euro, l’Europe et le monde ? Ne sera-t-il pas intronisĂ©, comme il nous l’affirma, en juste rĂ©compense de ses rudes batailles, lors du G20 qu’il prĂ©sidera les 3 et 4 Novembre Ă  Cannes ? MaĂźtre de lui-mĂȘme, il voulait l’ĂȘtre, il le fut. Fini les casses-toi pauv’con » ! Et pourtant la partie n’était pas gagnĂ©e d’avance, face aux questions que lui posait un duo, composĂ© d’un faux mĂ©chant et d’un vrai servile, qui avait rĂ©ussi Ă  faire perdre leur calme Ă  plus d’un tĂ©lĂ©spectateur. OubliĂ©s les bling-bling », la soirĂ©e au Fouquet’s, les sĂ©jours sur le yacht de BollorĂ©, le doublement de son salaire de PrĂ©sident, le luxueux avion prĂ©sidentiel le bureau derriĂšre lequel Nicolas Sarkozy Ă©tait assis ce soir lĂ  provenait, sans nul doute, de la plus proche brocante. A l’en croire, Nicolas n’était pas en campagne puisqu’il ne serait pas s’il l’était candidat avant janvier ou fĂ©vrier. Il Ă©tait lĂ  uniquement pour rendre des comptes aux Français aprĂšs le sommet de l’Euro. Mais quels comptes pouvaient-ils bien rendre sans avoir de mandat prĂ©cis du Parlement français comme celui qu’Angela Merkel tenait du Bundestag ? De quoi pouvait-il bien rendre compte aux Ă©lecteurs s’il n’avait d’autre mandat que celui qu’il tenait de lui-mĂȘme et des grandes banques françaises ? Un dĂ©bat politique sur le rĂŽle du Fonds europĂ©en de stabilitĂ© financiĂšre, sur celui de la BCE, sur la recapitalisation des banques, sur le montant de la dette grecque que les banques devaient effacer, faisait rage en Allemagne depuis des mois. L’absence de tout dĂ©bat sur ce thĂšme en France, a permis Ă  Sarkozy de rester extrĂȘmement Ă©vasif sur le contenu rĂ©el du plan adoptĂ© par le sommet de l’Euro et, au total, de ne pas rendre le moindre compte au peuple français, tout en affirmant le contraire. Le sommet de l’euro n’était plus qu’un prĂ©texte pour vanter les mĂ©rites du candidat Sarkozy. Avec des mots qui cherchaient Ă  masquer ses rĂ©elles intentions, Nicolas Sarkozy a avancĂ© quelques bribes de son futur programme Ă©lectoral. Les plans de rigueur allaient continuer mĂȘme s’il convenait de leur donner des noms plus doux ; l’ñge lĂ©gal de dĂ©part en retraite et le nombre d’annuitĂ©s de cotisation allaient encore augmenter pour satisfaire les agences de notation ; les taux de la TVA augmenteraient, eux-aussi, car si Sarkozy disait s’opposer Ă  une augmentation gĂ©nĂ©ralisĂ©e » de la TVA, il s’était surtout empressĂ© de ne pas se prononcer sur une augmentation des taux de TVA entre 5,5 % et 19,6 % Sarkozy n’est pas prĂ©sident de la Ve RĂ©publique depuis 4 ans, la droite n’est pas au pouvoir depuis 2002, Sarkozy n’a jamais Ă©tĂ© ministre de l’IntĂ©rieur ou de l’Economie, des Finances et de l’Industrie de Chirac. Il ne porte aucune responsabilitĂ© dans la crise financiĂšre, Ă©conomique, sociale et politique actuelle. La crise est, d’ailleurs, pour lui une figure Ă  Ă©clipse avec laquelle il a jouĂ© constamment lors de son intervention tĂ©lĂ©visĂ©e. La crise disparaissait quand son existence l’aurait amenĂ© Ă  reconnaitre que l’augmentation de la dette publique française entre 2008 et 2011 n’avait pas d’autre origine que le transfert des dettes privĂ©es celles des banques en particulier vers la dette publique pour tenter de sauver les banques et les actionnaires en faisant payer la facture de la crise au salariat. Il prĂ©fĂ©rait rĂ©pĂ©ter inlassablement la mĂȘme antienne si la dette publique augmente, c’est parce que l’État vit au dessus de ses moyens ». Ce qui n’expliquait en rien comment la dette publique avait fait un bond de 35 % en 4 ans. Il prĂ©fĂ©rait oublier au passage que c’était justement l’État qui fixait le montant de ses propres moyens et qu’en baissant les impĂŽts des riches et des sociĂ©tĂ©s, c’est la droite qui avait vidĂ© les caisses publiques. Il prĂ©fĂ©rait oublier qu’alors qu’il venait de proclamer que les caisses Ă©taient vides », la droite avait quand mĂȘme rĂ©ussi Ă  trouver quelques centaines de milliards d’euros pour sauver les banques de la faillite, sans exiger d’elles la moindre contrepartie, prĂ©server les profits grĂące Ă  la prime Ă  la casse » et autres plans d’aide Ă  un patronat qui ne se gĂȘnait pas pour licencier Ă  tour de bras. La crise rĂ©apparaissait quand cela arrangeait Sarkozy et qu’il cherchait Ă  l’utiliser pour tenter de se dĂ©douaner de toute responsabilitĂ© dans le naufrage actuel Ce n’est pas moi, c’est la crise ! ». Comme si cette crise n’était pas celle de son monde, de son systĂšme, de ses amis du Fouquet’s, d’une Ă©conomie bĂątie sur un ocĂ©an de dettes qu’il a encouragĂ©, d’une bulle immobiliĂšre qu’il a largement contribuer Ă  gonfler, d’une finance dĂ©rĂ©glementĂ©e qu’il n’a jamais essayĂ© de rĂ©glementer mĂȘme aprĂšs la crise de 2007-2008 et ses promesses creuses de moralisation du capitalisme ». Comme si cette crise n’était pas celle de la rupture » vers un nĂ©olibĂ©ralisme encore plus dur dont se rĂ©clamait le candidat Sarkozy en 2007. Comme si cette crise n’était pas celle du Parti populaire europĂ©en dont l’UMP est l’un des fleurons qui dirige aujourd’hui deux gouvernements sur trois de l’Union europĂ©enne. Si l’Union europĂ©enne est en crise, c’est la faute de Chirac qui a fait entrer la GrĂšce dans l’Union europĂ©enne en 2001. Si la France est en crise, c’est la faute de Mitterrand et de sa retraite Ă  60 ans, de Lionel Jospin et de ses 35 heures. Sarkozy lui n’y est pour rien depuis 30 ans, il est dans l’opposition.....
Unecommande se fait en trois temps: commencez par demande exactement ce que vous voulez; ensuite l’Univers vous donne exactement ce que vous avez demandĂ©; enfin vous acceptez ou vous refusez ce que vous avez demandĂ©.. Quand vous avez commandĂ© il est inutile de passer son temps Ă  se dire que ce que vous avez demandĂ© n’est pas encore lĂ , tout comme
Quiconque ouvre la porte de la spiritualitĂ© se trouve automatiquement sur le chemin des questions existentielles. Certains y sont depuis bien plus longtemps et nous offrent alors des rĂ©ponses souvent prĂ©cieuses. Les anciens, les sages, les gurus et les maĂźtres ont de tout temps existĂ© et nous sont d’une grande aide. Par nous » j’entends l’individu mais aussi l’humanitĂ©. Ne dit-on pas Quand l’élĂšve est prĂȘt, le maĂźtre arrive » ? Il est facile dĂšs lors d’adopter chaque parole du maĂźtre pour vraie, de l’accepter sans rĂ©sistance. Mais, bizarrement, le disciple finit toujours par partir vers d’autres horizons, parfois mĂȘme le coeur amer de dĂ©ceptions vis Ă  vis de ce maĂźtre qu’il aura tant chĂ©ri. La raison est simple l’élĂšve en quĂȘte de Connaissances est tout simplement en quĂȘte de lui-mĂȘme. En chacun de nous rĂ©side la CrĂ©ation, la Connaissance universelle, et donc une Ă©ternelle sagesse. Ce que nous cherchons en rĂ©alitĂ©, Ă  travers nos maĂźtres, est l’accĂšs Ă  ce que nous sommes dĂ©jĂ . C’est pourquoi nous n’obtiendrons jamais entiĂšre satisfaction tant que nous ne comprenons pas que le maĂźtre est dedans. Une fois le principe Je suis un maĂźtre » intĂ©grĂ©, nous Ă©couterons encore ces maĂźtres de maniĂšre attentive notamment Ă  un autre niveau. Il s’agira, entre autres, d’un dialogue Ă©nergĂ©tique, d’échanges de vibrations aux frĂ©quences ultra Ă©levĂ©es, lĂ  oĂč les mots deviennent inutiles. Parce que l’élĂšve et le maĂźtre ont compris qu’ils sont pareils, qu’ils appartiennent l’un Ă  l’autre et qu’aucun n’est indĂ©pendant. Le maĂźtre est alors lĂ  pour jouer en conscience Ă  la co-crĂ©ation de deux Ăąmes oĂč les rĂŽles n’existent plus. En matiĂšre de spiritualitĂ©, pour rĂ©sumer, tu es un maĂźtre absolu. Il y a autant de maĂźtres sur Terre que d’idĂ©es et toutes les vĂ©ritĂ©s sont acceptables, du moment qu’elles te servent. Bouddha disait d’ailleurs La vĂ©ritĂ© c’est ce qui est utile ». En tant que CrĂ©ateur tu es libre de crĂ©er n’importe quelle rĂ©alitĂ©. Libre de jouer avec la vie, ses illusions et ses maĂźtres qui sont tous une facette de ce que tu es dĂ©jĂ . Alors, cher maĂźtre, pose-toi juste la question de ce que tu aimerais crĂ©er
 lĂ  maintenant ? À dĂ©couvrir aussi
Cinnaest un chef-d'Ɠuvre et il colle au plus juste Avec le macronisme, en marche autoritaire. « Je suis maĂźtre de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'ĂȘtre. Ô siĂšcle ! Ô Annonce Votre navigateur ne supporte pas la balise HTML5 video. PRIÈRE DE GRATITUDE À L’UNIVERS Cher Univers, MERCI pour tous les bienfaits prĂ©sents dans ma vie ‱ Le lieu dans lequel je vis, Le toit que j’ai sur la tĂȘte. ‱ La nourriture prĂ©sente chaque jour dans mon assiette. ‱ Pour mes vĂȘtements, pour ma voiture ou les moyens de locomotion Ă  ma disposition. ‱ Pour mon corps et tous mes organes qui font leur travail Ă  la perfection, ou du mieux qu’ils le peuvent, oeuvrant sans mĂȘme que j’ai Ă  y penser et cela malgrĂ© ce que je peux parfois leur infliger. ‱ Pour mes yeux qui me permettent de voir. Annonce ‱ Pour mes oreilles qui me permettent d’entendre. ‱ Pour mes poumons qui me permettent de respirer. ‱ Pour mon cƓur qui bat seconde aprĂšs seconde. ‱ Pour mes jambes qui me portent et qui me permettent de me dĂ©placer et de faire tout ce que je fais chaque jour. ‱ Pour ces personnes merveilleuses qui m’entourent, pour tous les moments de rire et de joies et de partage. ‱ Pour mon emploi, ma place au sein de la sociĂ©tĂ©, dans la vie associative ou autre et pour les opportunitĂ©s qui me sont offertes. ‱ Pour l’argent qui vient vers moi. ‱ Pour toutes les belles choses que tu m’apportes constamment et ce depuis que je suis arrivĂ©e sur cette Terre. ‱MERCI pour la peur qui m’a invitĂ©e Ă  chercher un chemin pour trouver la paix et qui m’a poussĂ© petit Ă  petit Ă  remettre en question ma façon de penser et de considĂ©rer la vie. Annonce ‱MERCI pour tous les drames auxquels j’ai assistĂ© et qui m’ont invitĂ©e Ă  relativiser, Ă  me rendre compte que ce, contre quoi je pestais dans mon quotidien, n’était finalement pas si grave que cela. ‱MERCI pour chaque petit morceau de mon expĂ©rience de vie les bons comme les moins bons car chacun Ă  sa façon m’a permis de prendre conscience de la perfection de la vie. ‱ET MERCI A L’UNIVERS d’avoir Ă©tĂ© et d’ĂȘtre Ă  chaque instant, Ă  mes cĂŽtĂ©s, m’apportant toujours ce dont j’ai besoin, au moment oĂč j’en ai besoin. ‱MERCI de placer et davoir toujours placĂ© Ă  cĂŽtĂ© de moi qui il fallait dans le visible, comme dans l’invisible pour que je sois capable de surmonter n’importe quelle difficultĂ©. ‱MERCI pour chaque petite parcelle de ce que je vis car je comprends, Ă  prĂ©sent, que chaque piĂšce du puzzle est exactement Ă  la bonne place pour me permettre de continuer Ă  apprendre et Ă  Ă©voluer selon le plan dĂ©fini par mon Ăąme. ‱Et MERCI aussi pour toutes ces Ă©preuves, pour tous les obstacles qui se dressent sur mon chemin car chacun d’eux me permet de continuer Ă  apprendre, de mieux me connaĂźtre, et d’avoir l’occasion ainsi d’exprimer Qui Je Suis vĂ©ritablement. ‱MERCI pour tous ceux qui m’ont blessĂ©e car Ă  travers eux je me suis rendue compte qu’ils ne disaient pas la vĂ©ritĂ© Ă  mon sujet, et j’ai commencĂ© Ă  prendre conscience de ma vĂ©ritable valeur personnelle. Annonce ‱MERCI pour ceux qui m’ont rejetĂ©e car Ă  travers eux j’ai pu voir mes blessures que je portais encore en mon cƓur et que je pouvais maintenant commencer Ă  rĂ©parer. ‱MERCI pour les portes qui sont restĂ©es fermĂ©es car Ă  travers elles j’ai eu l’opportunitĂ© de me dĂ©passer, de creuser plus en profondeur pour trouver un nouveau chemin, une nouvelle voix, et ainsi aller beaucoup plus loin que je n’aurai osĂ© le faire si tout avait tout de suite fonctionnĂ©. ‱MERCI pour la fatigue ou la maladie qui m’ont invitĂ© Ă  prendre conscience de ma vulnĂ©rabilitĂ© et du fait que moi aussi j’avais le droit de me reposer. ‱MERCI pour les difficultĂ©s financiĂšres qui m’ont invitĂ© Ă  revisiter la façon de gĂ©rer mon argent et m’ont aussi permis de me rendre compte que malgrĂ© tout j’avais toujours l’essentiel. MERCI – MERCI – MERCI ‱Texte de Laure ZANELLA‱My soul by Kim chi Annonce Soyonsamis, Cinna, c’est moi qui t’en convie : Comme Ă  mon ennemi je t’ai donnĂ© la vie, Et malgrĂ© la fureur de ton lĂąche destin, Je te la donne encor comme Ă  mon assassin. Commençons un Cinna, de Pierre Corneille 1606-1684, d'oĂč provient cette phrase, est une tragĂ©die Ă  sujet romain qui finit bien. Le sujet en est la clĂ©mence d'Auguste sous-titre de la piĂšce qui, s'appliquant aux conjurĂ©s Cinna, Emilie, Maxime, provoque un revirement de la situation et convertit ceux-ci Ă  la cause impĂ©riale. ComposĂ©e en 1641 et jouĂ©e en 1642 au Théùtre du Marais, cette piĂšce a pour ambition d'explorer la complexitĂ© humaine d'un thĂšme mainte fois discutĂ© dans les traitĂ©s de philosophie politique de l'Ă©poque le thĂšme du tyrannicide. Le prince, face aux conspirateurs, doit-il chĂątier les coupables selon la stricte justice que rĂ©clame la raison d'Etat ou, au contraire, doit-il renoncer Ă  son devoir en faisant preuve de gĂ©nĂ©rosité»? vis de la communautĂ© Ă  laquelle il se rattache et qu'il prĂ©tend Horace, parce qu'il affronte ses beaux-frĂšres et sa soeur Camille qu'il tue, est amenĂ© Ă  rompre les liens dusang, d'amour, d'amitiĂ© Ă©tablis avec ses proches et, du mĂȘme coup, contestant son appartenance antĂ©rieure Ă  lacommunautĂ© familiale qui est la sienne, en vient Ă  se situer dĂ©libĂ©rĂ©ment hors de l'ordre commun» acte II, scĂšne3, v. 436.Rodrigue, auparavant dans Le Cid ne craignait pas d'enfreindre l'ordre Ă©tabli en prenant l'initiative d'un duel,pratique prohibĂ©e par la volontĂ© royale, ou encore en repoussant les Mores sans mĂȘme prendre l'avis du de l'honneur familial, il n'hĂ©sitait pas Ă  sacrifier, finalement, son amitiĂ© pour le Comte, mĂȘme s'il pensaitdevoir renoncer Ă  est remarquable que ce soit prĂ©cisĂ©ment cette dĂ©mesure qui vaut au hĂ©ros l'Ă©loge du roi, pour autant, il est vrai,que le succĂšs qui en rĂ©sulte soit employĂ© Ă  dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts supĂ©rieurs de l'Etat. Ainsi, Don Fernand, dans LeCid, le dĂ©clare Tous ceux que ce devoir Ă  mon service engageNe s'en acquittent pas avec mĂȘme courage;Et lorsque la valeur ne va point dans l'excĂšs,Elle ne produit point de si rares succĂšs. »acte IV, scĂšne 3, v. 237-240 Horace se verra confier par le roi Tulle le mĂȘme rĂŽle de soutien de l'Etat que Don Fernand avait dĂ©volu Ă  RodrigueDe pareils serviteurs sont les forces des rois, Et de pareils aussi sont au-dessus des lois. »acte V, scĂšne 3, v. 1753-1754 En vertu de ce statut d'exception, le hĂ©ros, reconnu comme gĂ©nĂ©reux», s'affranchit de la juridiction commune. Etsi, comme Horace, il lui arrive occasionnellement de dĂ©gĂ©nĂ©rer» par le meurtre de Camille, c'est-Ă -dire de cesserd'ĂȘtre gĂ©nĂ©reux», il est rĂ©tabli dans ses droits grĂące Ă  la raison d'Etat, comme l'explique le roi Tulle Ta vertu met ta gloire au-dessus de ton crime; Sa chaleur gĂ©nĂ©reuse a produit ton forfait; D'une cause si belle ilfaut souffrir d'effet. »acte V, scĂšne 3, v. 1760-1762 Auguste n'est pas seulement un roi-justicier, comme le sont Fernand et Tulle, il est un hĂ©ros devenu roi, ou, plutĂŽt,empereur. Ce roi-hĂ©ros a su conquĂ©rir jusqu'alors son pouvoir, comme il le rappelle, au pĂ©ril de sa vie, ce qui signifiequ'il a su mettre en pratique la seule rĂšgle de conduite qui s'impose le Meurs ou tue», commandement premier del'Ă©thique hĂ©roĂŻque, Ă  en croire Don DiĂšgue, dans Le l'occurrence, Auguste s'y rĂ©fĂšre tout perdre ou mourir», acte IV, scĂšne 2, v. 1176 Ă  savoir perdre lesconspirateurs en les faisant mourir, ou alors se perdre soi-mĂȘme en mourant. En effet, la conspiration est un crimede lĂšse-majestĂ©, un acte qui relĂšve de la raison d'Etat et donc passible de la mort. Or Auguste, au terme d'uneviolente crise intime, s'affranchit entiĂšrement de cette alternative hĂ©roĂŻque mourir ou tuer en dĂ©cidant de fairegrĂące aux conjurĂ©s. Il abolit » le crime; l'abolition, plus qu'un acquittement ou une amnistie, annule, effacetotalement de la mĂ©moire, le souvenir du forfait. Auguste veut oublier», ce sera le dernier mot qu'il prononce dansla piĂšce Et que vos conjurĂ©s entendent publier Qu'Auguste a tout appris et veut tout oublier. »acte V, scĂšne 3, v. 1779-1780 Agissant de la sorte, il se prĂ©vaut d'obtenir une derniĂšre victoire» alors que, se soustrayant Ă  son devoirde souverain punir au nom de la raison d'Etat, il paraĂźt faire preuve de faiblesse. Mesure sans prĂ©cĂ©dent, qu'onpourrait, aussi bien, comme le pensait NapolĂ©on, attribuer au calcul politique. ConsidĂ©rant que, quand elle n'estpoint appuyĂ©e par la politique», la clĂ©mence est une si pauvre petite vertu», NapolĂ©on prĂ©cise ...je compris que cette action n'Ă©tait que la feinte d'un tyran, et j'ai approuvĂ© comme calcul ce qui me semblaitpuĂ©ril comme sentiment. »MĂ©moires de Mme de RĂ©musat Mais s'il en Ă©tait ainsi, cette mesure de clĂ©mence serait inopĂ©rante sur Emilie et ses comparses qui, tous, sontgagnĂ©s, par une espĂšce de contagion de la gĂ©nĂ©rosité», au sacrifice consenti par clĂ©mence exprime la volontĂ© d'Auguste de proscrire la vengeance, Ă©rigĂ©e jusqu'alors en principe de gouvernement. Au cours de la scĂšne prĂ©cĂ©dente acte V, scĂšne 2. Emilie pouvait encore rĂ©pliquer Ă  Auguste, qui lui faisaitgrief de son ingratitude, que lui-mĂȘme ne s'Ă©tait acquittĂ© des bienfaits de Toranius, son pĂšre adoptif, qu'enl'assassinant. Fille de Toranius, Emilie a donc suivi l'exemple d'Auguste, selon une parfaite rĂ©ciprocitĂ© mimĂ©tique . »
668Likes, 151 Comments. TikTok video from Morgane Jean (@m.jart): "un gros merci Ă  ceux qui veulent bien m'encourager, je suis ouverte aux commandes. je lance un appel Ă  l'univers en mĂȘme temps avec ce vidĂ©o, Ă©tant trĂšs solitaire je n'ai pas beaucoup d'amis, voir pas du tout et je pense que bien que ca privienne de moi inconsciement, j'aimerais beaucoup partager avec vous, qui
MaĂźtre de l’univers, il voulait l’ĂȘtre, il le fut. Ne venait-il pas, secondĂ© par Angela Merkel, comme il nous l’annonça, de sauver l’euro, l’Europe et le monde ? Ne sera-t-il pas intronisĂ©, comme il nous l’affirma, en juste rĂ©compense de ses rudes batailles, lors du G20 qu’il prĂ©sidera les 3 et 4 Novembre Ă  Cannes ?MaĂźtre de lui-mĂȘme, il voulait l’ĂȘtre, il le fut. Fini les!a-t-il dit cette fois. Et pourtant la partie n’était pas gagnĂ©e d’avance, face aux questions que lui posait un duo, composĂ© d’un faux mĂ©chant et d’un vrai servile, qui avait rĂ©ussi Ă  faire perdre leur calme Ă  plus d’un tĂ©lĂ©spectateur. OubliĂ©s les, la soirĂ©e au Fouquet’s, les sĂ©jours sur le yacht de BollorĂ©, le doublement de son salaire de PrĂ©sident, le luxueux avion prĂ©sidentiel le bureau derriĂšre lequel Nicolas Sarkozy Ă©tait assis ce soir lĂ  provenait, sans nul doute, de la plus proche l’en croire, Nicolas n’était pas en campagne puisqu’il ne serait pas s’il l’était candidat avant janvier ou fĂ©vrier. Il Ă©tait lĂ  uniquement pour rendre des comptes de son travail » au Français, aprĂšs le sommet de l’Euro. Mais quels comptes pouvaient-ils bien rendre sans avoir de mandat prĂ©cis du Parlement français comme celui qu’Angela Merkel tenait du Bundestag ? De quoi pouvait-il bien rendre compte aux Ă©lecteurs s’il n’avait d’autre mandat que celui qu’il tenait de lui-mĂȘme et des grandes banques françaises ?Un dĂ©bat politique sur le rĂŽle du Fonds europĂ©en de stabilitĂ© financiĂšre, sur celui de la BCE, sur la recapitalisation des banques, sur le montant de la dette grecque que les banques devaient effacer, faisait rage en Allemagne depuis des mois. L’absence de tout dĂ©bat sur ce thĂšme en France, a permis Ă  Sarkozy de rester extrĂȘmement Ă©vasif sur le contenu rĂ©el du plan adoptĂ© par le sommet de l’Euro et, au total, de ne pas rendre le moindre compte au peuple français, tout en affirmant le contraire. Le sommet de l’euro n’était plus qu’un prĂ©texte pour vanter les mĂ©rites du candidat des mots qui cherchaient Ă  masquer ses rĂ©elles intentions, Nicolas Sarkozy a avancĂ© quelques bribes de son futur programme plans de rigueur allaient continuer mĂȘme s’il convenait de leur donner des noms plus doux ; l’ñge lĂ©gal de dĂ©part en retraite et le nombre d’annuitĂ©s de cotisation allaient encore augmenter pour satisfaire les agences de notation ; les taux de la TVA augmenteraient, eux-aussi, car si Sarkozy disait s’opposer Ă  une augmentationde la TVA, il s’était surtout empressĂ© de ne pas se prononcer sur une augmentation des taux de TVA entre 5,5 % et 19,6 %.Sarkozy n’est pas prĂ©sident de la VĂšme RĂ©publique depuis 4 ans, la droite n’est pas au pouvoir depuis 2002, Sarkozy n’a jamais Ă©tĂ© ministre de l’IntĂ©rieur ou de l’Economie, des Finances et de l’Industrie de Chirac. Il ne porte aucune responsabilitĂ© dans la crise financiĂšre, Ă©conomique, sociale et politique crise est, d’ailleurs, pour lui une figure Ă  Ă©clipse avec laquelle il a jouĂ© constamment lors de son intervention crise disparaissait quand son existence l’aurait amenĂ© Ă  reconnaĂźtre que l’augmentation de la dette publique française entre 2008 et 2011 n’avait pas d’autre origine que le transfert des dettes privĂ©es celles des banques en particulier vers la dette publique. Un transfert qui n’avait pour but que de tenter de sauver les banques et les actionnaires en faisant payer la facture de la crise au prĂ©fĂ©rait rĂ©pĂ©ter inlassablement la mĂȘme antienne si la dette publique augmente, c’est augmente c’est parce que l’Etat vit. Ce qui n’expliquait en rien comment la dette publique avait pu faire un bond de 35 % en 4 ans. Il prĂ©fĂ©rait oublier au passage que c’était justement l’Etat qui fixait le montant de ses propres moyens et qu’en baissant les impĂŽts des riches et des sociĂ©tĂ©s, c’est la droite qui avait vidĂ© les caisses publiques. Il prĂ©fĂ©rait oublier qu’alors qu’il venait de proclamer que les, la droite avait quand mĂȘme rĂ©ussi Ă  trouver quelques centaines de milliards d’euros pour sauver les banques de la faillite, sans exiger d’elles la moindre contrepartie, prĂ©server les profits grĂące Ă  laet autres plans d’aide Ă  un patronat qui ne se gĂȘnait pas pour licencier Ă  tour de crise rĂ©apparaissait quand cela arrangeait Sarkozy et qu’il cherchait Ă  l’utiliser pour tenter de se dĂ©douaner de toute responsabilitĂ© dans le naufrage actuel .Comme si cette crise n’était pas celle de son monde, de son systĂšme, de ses amis du Fouquet’s, d’une Ă©conomie bĂątie sur un ocĂ©an de dettes qu’il a encouragĂ©e, d’une bulle immobiliĂšre qu’il a largement contribuer Ă  gonfler, d’une finance dĂ©rĂ©glementĂ©e qu’il n’a jamais essayĂ© de rĂ©glementer mĂȘme aprĂšs la crise de 2007-2008 et ses promesses creuses si cette crise n’était pas celle de lavers un nĂ©olibĂ©ralisme encore plus dur dont se rĂ©clamait le candidat Sarkozy en si cette crise n’était pas celle du Parti populaire europĂ©en dont l’UMP est l’un des fleurons qui dirige aujourd’hui deux gouvernements sur trois de l’Union l’Union europĂ©enne est en crise, c’est la faute de Chirac qui a fait entrer la GrĂšce dans l’Union europĂ©enne en 2001. Si la France est en crise, c’est la faute de Mitterrand et de sa retraite Ă  60 ans, de Lionel Jospin et de ses 35 heures. Sarkozy lui n’y est pour rien depuis 30 ans, il est dans l’opposition.

Jesuis maĂźtre de moi comme de l'univers, Nous dit maĂźtre Corneille avec d'Auguste vers. Est-ce Ă  mettre en exergue ou bien tout Ă  la fin ? Car mettre ou ne pas mettre est dĂ©bat cornĂ©lien. En ces temps trĂšs techniques oĂč le mettre-Ă©talon N'est plus que longueur d'onde issue du gaz krypton, Il faut mettre aux poubelles un platine

403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID PYUfW_OH6j3xLfAcAIPqbYUDkPi5pmzl9p4H7VOsLQTYR2OimhH40Q==

Certainsgardent les critĂšres prĂ©cĂ©dents, comme limiter l’ñge de 18 Ă  24 ans, quand d’autres nous suivent. Moi je leur fais confiance, ils sont complĂštement autonomes. Pour modifier ce
Pieds nus comme un Hobbit, Ă  cheval comme un Elfe ou Ă  dos de bĂ©lier comme un Nain, on emboĂźterait volontiers le pas de Vincent FerrĂ©, cet enseignant-chercheur, professeur de littĂ©rature comparĂ©e Ă  l'universitĂ© Paris-Est-CrĂ©teil UPEC, pour un voyage du cĂŽtĂ© de chez Tolkien, le cĂ©lĂšbre auteur du Seigneur des anneaux et Bilbo le de celui qui reste l'une des figures littĂ©raires les plus importantes du XXe siĂšcle, Vincent FerrĂ© a grandement participĂ© Ă  la crĂ©ation de la superbe et unique exposition Tolkien, voyage en Terre du Milieu » en ce moment Ă  la BNF*Ă  Paris. Mais avec lui, John Ronald Reuel Tolkien se dĂ©voile Ă  tous grĂące Ă  ses prĂ©sentations et confĂ©rences dans les mĂ©diathĂšques ou librairies, comme ce samedi Ă  Fontenay-sous-Bois**.Exposition Tolkien, voyage en Terre du Milieu » Ă  la BNF. DR Tobias M. Eckrich DR. M. EckrichDes Ă©tudiants viennent de loin suivre ses coursEt le MaĂźtre de l'anneau » franchit mĂȘme les portes de l'universitĂ©. Dans la salle 323 de la facultĂ© de lettres de CrĂ©teil, chaque jeudi, un petit groupe d'Ă©tudiants se rassemble autour de cet enseignant de 45 ans qui porte en lui tout le monde mystĂ©rieux et fascinant de Tolkien dont il leur ouvre volontiers les portes. Je suis venu dans cette fac parce que je savais que Vincent FerrĂ© donnait un cours sur mon auteur prĂ©fĂ©rĂ© », explique Bastien Genot, Ă©tudiant en lettres modernes. Originaire de NĂźmes, ce grand gaillard barbu se qualifie de bon gros geek », soit de trĂšs grand fan de l'auteur du Seigneur des anneaux. Vincent FerrĂ© m'a acceptĂ© comme auditeur libre. J'y apprends beaucoup de Tolkien du point de vue universitaire, littĂ©raire, mais aussi sur la vision que l'on peut avoir aujourd'hui du Moyen Âge Ă  travers son Ɠuvre ».CrĂ©teil, ce jeudi. Vincent FerrĂ© Ă  gauche, avec Bastien Genot, Ă©tudiant et fan de Tolkien. LP/Corinne NĂšves DR. M. EckrichSi le jeune homme de 22 ans semble avoir fait sienne l'une des citations de Tolkien Tous ceux qui errent ne sont pas perdus
 », il semble cependant s'ĂȘtre trouvĂ© dans ce cours. Vincent FerrĂ© est un excellent prof. On sent qu'il a un Ă©norme bagage culturel, universitaire et il est trĂšs accessible. Il n'est jamais dans le jugement mais dans une grande ouverture d'esprit. » Quant Ă  l'exposition, il avoue l'attendre depuis deux ans ! ». MĂȘme si les Ă©tudiants du master ne sont pas tous fans de Tolkien, ils reconnaissent volontiers que Vincent FerrĂ© fait partie de ces enseignants passionnĂ©s qui savent ĂȘtre passionnants, et qui leur donnent les codes nĂ©cessaires pour bĂątir des ponts entre les Rennes, Caen, et Villetaneuse, Vincent FerrĂ© enseigne depuis 7 ans Ă  l'UPEC. J'ai choisi de venir ici car c'est une universitĂ© Ă  caractĂšre pluri disciplinaire. Je me sens bien dans ce site, en banlieue, dans un milieu riche et stimulant », affirme en souriant l'enfant de Mayenne Mayenne, une terre qui fait penser au monde des Hobbits, rurale et boisĂ©e ». Tolkien provoque de puissantes Ă©motions chez les lecteurs »Dessins de John Ronald Reuel Tolkien. Photographies de l’exposition de la BNF Tolkien, voyage en Terre du Milieu » par Tobias M. Eckrich DR. M. EckrichC'est donc Ă  CrĂ©teil qu'il aborde, avec les premiĂšres annĂ©es, Proust dont il est spĂ©cialiste, Rimbaud et autres auteurs contemporains. Et Tolkien qu'il a lui mĂȘme Ă©tudiĂ© jeune, ce qui a donnĂ© lieu Ă  un premier livre Tolkien, sur les rivages de la Terre du milieu » paru chez Christian Bourgois en 2001, tout en consacrant sa thĂšse
 Ă  Proust. Comme dans Proust, l'Ɠuvre magistrale de Tolkien provoque de puissantes Ă©motions chez les lecteurs. Pour un enseignant comme moi, il ouvre des fenĂȘtres sur un passĂ© littĂ©raire vers lequel les Ă©tudiants ne se tourneraient pas spontanĂ©ment », accompagner encore plus ses Ă©tudiants de l'UPEC, Vincent FerrĂ© leur rĂ©serve des places aux confĂ©rences donnĂ©es Ă  la BNF autour de l'expo Tolkien. Je suis un chercheur soucieux de partager le rĂ©sultat de sa recherche », affirme celui qui a Ă©tudiĂ© Tolkien, Ă©crit sur Tolkien, traduit Tolkien. Il a travaillĂ© Ă  la traduction du premier film de Peter Jackson ou avec les illustrateurs en amont de la trilogie. Et quand on lui demande Ă  qui il s'identifie le mieux dans le monde de Tolkien, il rĂ©pond Faramir, le frĂšre de Boromir. Pas un guerrier, mais qui lutte pour prĂ©server la vie de la nature ». Un homme, pas un magicien ni un Hobbit.*Exposition jusqu'au 16 fĂ©vrier 2020. Du mardi au dimanche, de 10 heures Ă  19 heures. Nocturne le jeudi jusqu'Ă  21 heures. quai François-Mauriac, Paris XIIIe. Tarifs 9 et 11 €.**Ce samedi, Ă  18 heures. Librairie la Flibuste, 3, rue Jean-Jacques-Rousseau, Ă  Fontenay-sous-Bois. Gratuit. TĂ©l. Ce dimanche, Ă  13 heures, Ă  l'UniversitĂ© PanthĂ©on-Sorbonne, confĂ©rence Tolkien pourquoi le merveilleux ? ». Gratuit.
\n je suis maitre de moi comme de l univers
e7LPt.
  • e2297vowqo.pages.dev/892
  • e2297vowqo.pages.dev/851
  • e2297vowqo.pages.dev/681
  • e2297vowqo.pages.dev/253
  • e2297vowqo.pages.dev/673
  • e2297vowqo.pages.dev/949
  • e2297vowqo.pages.dev/672
  • e2297vowqo.pages.dev/98
  • e2297vowqo.pages.dev/171
  • e2297vowqo.pages.dev/906
  • e2297vowqo.pages.dev/496
  • e2297vowqo.pages.dev/132
  • e2297vowqo.pages.dev/688
  • e2297vowqo.pages.dev/55
  • e2297vowqo.pages.dev/793
  • je suis maitre de moi comme de l univers