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servietteshygiéniques lavables en coton bio Jack cho and co, mode éco-responsable, fabrication lyonnaise, mode éthique, confort et douceur garanti, économique et écologique . Connexion Créer un compte Contactez-nous. Appelez-nous au : 0123-456-789. Rechercher. 0 0 Mon panier. Aucun produit À définir Livraison 0,00 € Total. Commander. Produit ajouté avec succès à votre panier
Cela vous a déjà traversé l’esprit d’en finir avec les serviettes hygiéniques conventionnelles à jeter ? Pour les troquer contre des serviettes hygiéniques lavables par exemple ? Drôle d’idée me direz-vous ! Et bien non ! Revenir à une manière naturelle et soucieuse de l’environnement, cela n’a rien d’archaïque et de dépassé. Bien au contraire. On a évoqué la cup, en remplacement des tampons jetables la dernière fois. Aujourd’hui nous parlons donc des serviettes hygiéniques lavables, en tissu BIO, faites mains, made in France. Rien que ça ! Dans mon cheminement sur comment moins et mieux consommer, je me suis demandé comment je pourrais bien faire pour remplacer ces serviettes hygiéniques jetables qui nous gâchent la vie, de par leurs compositions douteuses et des nombreux déchets qu’elles engendrent. J’ai d’abord testé une serviette hygiénique lavable, achetée sur internet, qui était très agréable à porter. Mais qui ne remplissait absolument pas les conditions nécessaires elle ne tenait pas en place ! Ce fut une grosse déception ! Mais comme il ne faut jamais rester sur un échec, je me suis obstinée et j’ai continué de chercher pour tomber sur THE marque DANS MA CULOTTE. Dans ma culotte Dans ma culotte » est une entreprise française, soucieuse de l’environnement, créée par deux femmes, qui ont donc su comprendre nos besoins, et s’adapter aux problèmes écologiques actuels. J’ai donc pu tester après une première commande, un de leur modèle de serviette hygiénique à boutons pressions. Une révolution ! Elles tiennent parfaitement en place, elles sont discrètes et leurs motifs et coloris sont tous plus fous les uns que les autres. C’était exactement ce que je cherchais et ce dont j’avais besoin, moi qui coure toujours partout. De plus, elles sont très agréables à porter et leur qualité d’absorption est optimale. C’est un sans-faute. Pour leur transport après usage, c’est très simple vous pouvez vous procurer sur leur site leur petit pochon de transport en les repliant sur elle-même grâce au bouton pression, ou bien utiliser une petite pochette standard qui traîne sûrement chez vous. Pour entretenir vos serviettes, rien de plus simple, je les prélave avant avec de l’eau tiède et du savon de Marseille à l’huile d’olive le vert et je les fais ensuite tremper quelques minutes avec du percarbonate de soude avant de les mettre en machine. Le résultat est bluffant, et plus aucune tâche n’est présente. En ce qui concerne le prix, une serviette hygiénique lavable coûte 17 euros sur leur site. C’est un coût à l’achat, nous n’allons pas le nier, mais pour une serviette qui aura une durée de vie de plusieurs années le calcul est tout de même vite fait ! Je vous laisse aller jeter un œil sur leur site. En tout cas, nous tenons là un vrai bijou pour nos périodes D. Quant à moi j’ai déjà repassé commande… A bientôt. Achetezen direct sur ma page L'Etincelle bougies - Bougie parfumée citron vert - Cire de soja - Citron vert - 0.2 - 0,170 - Bougie parfumée au citron vert de 170g pour vous apporter un peu deEn rédigeant cet article, je n’aurais jamais pensé vous parler un jour de protection périodique lavable sur le blog. Et pourtant me voici aujourd’hui à partager avec vous mon expérience après 4 mois d’utilisation. Tout est parti d’une vidéo de Coline que j’ai visionné en février 2018 que je vous invite à voir >> ici << sur les serviettes hygiéniques lavables. J’ai trouvé cette vidéo particulièrement intéressante et surtout elle m’a amené à une réflexion profonde. Je crois qu’à ce moment précis, je n’étais pas prête. Je trouvais l’idée super géniale et elle est toujours restée dans un petit coin de ma tête depuis. Chaque mois, j’y pensais Tiens si… Et puis, c’était tellement plus simple d’aller acheter son paquet de serviettes hygiéniques à 2€50 au supermarché du coin. Puis ma réflexion a fait son petit bout de chemin, oui je reconnais plus d’un an de réflexion, j’ai été un peu longue à la détente. Mais la démarche dans laquelle je me situe aujourd’hui m’a aidé à passer ce cap beaucoup plus facilement et sereinement. Changer sa façon de consommer en voulant créer moins de déchets demande à avoir un minimum d’attention pour ce que l’on achète. N’achetez jamais les yeux fermés, apprenez à lire entre les lignes et à déchiffrer les étiquettes, voilà les premiers conseils que je peux vous donner si vous entreprenez ce changement. Il m’arrive encore aujourd’hui de faire des erreurs tant mon automatisme me joue des tours et de m’en rendre compte trop tard. Je savais que les serviettes hygiéniques jetables n’étaient pas ce qui avait de meilleur pour notre santé. On y retrouve des substances toxiques aux effets cancérigènes et perturbateurs endocriniens. Agents chlorés pour blanchir les serviettes, pesticides dans les produits naturels comme le coton et pétrochimie. D’un point de vue environnemental, les déchets qu’engendrent en moyenne 300 serviettes jetées par femme et par an sont tout bonnement catastrophiques. Surtout lorsque l’on sait aujourd’hui qu’on peut finalement y remédier très facilement. Certes, le changement a un coût. Mais qu’est ce qui est le plus coûteux ? Une serviette hygiénique jetable qui peut engendrer des problèmes de santé et pollue notre environnement ou une serviette lavable qui n’a aucun impact sur notre santé ? Ce changement, je suis ravie de l’avoir entrepris aujourd’hui. Je pensais même qu’il serait plus difficile que cela à mettre en place et une fois de plus je me dis pourquoi je ne l’ai pas fait avant ? Je sais que vous êtes nombreuses à vouloir aller vers des démarches positives et environnementales. Nous échangeons beaucoup sur instagram et le partage que je fais de mon expérience ici, c’est pour vous que je le fais. Car je me dis que finalement cet article encouragera certaines d’entre vous à se lancer ou même à y réfléchir. Chacune aura sa propre expérience quant à leur utilisation et il va de soi que je suis ici pour vous exposer la mienne avec la plus grande sincérité. Je veux juste partager cette expérience qui pour moi est un geste fondamental pour notre santé et notre environnement. Je me suis donc tournée vers les serviettes hygiéniques jetables. J’ai passé le cap cet été, j’ai eu le temps de regarder ce qui se faisait sur le marché et de trouver des protections qui correspondraient à mes exigences, autant d’un point de vue éthique qu’au niveau des composants et de la qualité du produit. Lors de ma première utilisation, mes aprioris se sont très vite envolés. Ils étaient divers comme les éventuelles fuites, l’absorption du flux serait-elle suffisante, puis la partie nettoyage allait-elle remettre en question mon ambition première ? Avant de vous lancer, mon premier conseil est de bien faire attention à ce que vous achetez. Si vous décidez d’investir dans des serviettes lavables, mieux vaut le faire bien. Car à ce jour, on trouve de tout sur internet. Voici mes conseils pour vous aider au mieux à les choisir. MES CONSEILS POUR BIEN LA CHOISIR ? 1/ Regarder la composition, c’est sans aucun doute un des points les plus importants pour votre santé. 2/ Choisir des serviettes sans nano-particules, c’est à dire qu’elles ne contiennent aucun produit toxique. 3/ Elle doit porter la certification OEKO-TEX STANDARD 100. C’est un label international de contrôle et de certification qui vous certifie l’exclusion de substances toxiques et qui peuvent avoir un risque pour votre santé. 4/ Privilégiez le coton 100% écologique et la certification GOTS. 5/ Privilégiez le Made in France, ce n’est pas tellement plus cher. 6/ Optez davantage pour des protections de couleurs sombres, elles me paraissent plus faciles à nettoyer et durables dans le temps après ces 4 mois d’utilisation. CE QUE J’AI AIME – Les serviettes lavables sont utilisables pendant 3 ans en moyenne, tout dépend aussi de la longueur de votre cycle. – Elles sont douces et confortables, je n’ai ressenti aucune gêne particulière dans la journée. – Le zéro déchet était l’une de mes motivations premières. – La qualité du produit et les finitions soignées. – La facilité d’entretien, très facile à mettre en place finalement. – Aucune sensation désagréable ou d’humidité, cela absorbe aussi bien qu’une serviette hygiénique classique. – Il peut arriver parfois que la serviette parte vers l’arrière vu qu’il n’y a pas d’adhésif au dos de la serviette, mais ce n’est pas plus gênant que ça. QU’EST CE QUE LA CERTIFICATION GOTS ? La certification GOTS Global Organic Textile Standard est composé de fibres biologiques certifiées et dont les critères de transformation doivent respecter l’environnement. Il existe 2 certifications dont le textile biologique qui impose 95% de fibres issues de l’agriculture biologique et 5% de fibres synthétiques ou artificielles et le textile à base de fibres biologiques composé au minimum de 70% de fibres issues de l’agriculture biologique avec 10% de fibres synthétiques. C’est une garantie fiable pour le consommateur qui lui assure l’origine des textiles qu’il achète, de la récolte des matières premières en passant par la fabrication écologique et socialement responsable. GOTS impose par exemple une réduction de la consommation en eau et en énergie lors de la production. DE COMBIEN DE SERVIETTES HYGENIQUES AI-JE BESOIN ? Tout dépendra de votre flux, j’ai un cycle de 4 jours en moyenne et j’ai acheté 4 serviettes hygiéniques lavables. Je voulais tester avant d’en acheter davantage car c’est quand même un investissement et je voulais être certaine qu’elles me conviendraient. Pour le moment, j’ai réussi à tourner avec les 4 en faisant un roulement de 2 par jour. Mais 3/4 de plus ne serait pas un luxe je vous avoue, car cela me demande une petite organisation au niveau du séchage. Dans Ma Culotte propose 3 versions de serviettes hygiéniques lavables dont le protège slip, la serviette de jour et la serviette de nuit. J’ai lu pas mal de commentaires qui recommandaient la serviette de jour même pour la nuit, conseil que j’ai suivi et qui me paraît largement suffisant. J’aimerais également tester une culotte menstruelle avant d’investir davantage dans l’un des 2. N’hésitez pas à me dire si vous souhaitez un retour sur cet autre produit. Je mettrais cet article à jour si besoin. COMMENT LES NETTOYER ? C’est très facile d’entretien et on prend l’habitude très rapidement ! Après chaque utilisation, je fais trempée la serviette 1 h dans de l’eau froide, attention jamais d’eau chaude cela fixe le sang sur le tissu. A l’aide d’un savon détachant bio, je les pré-lave avant de les mettre en machine à 60°. Lors de mon cycle, je fais uniquement du nettoyage à la main car je ne vais pas faire tourner une machine à 60° uniquement pour cela. Une fois mon cycle terminé, je les lave en machine avec le linge de maison type serviette ou housse de couette en ayant bien évidement fait un pré-lavage avant avec mon savon détachant. Si certaines tâches sont un peu plus difficiles à enlever notamment sur les tissus plus clairs, vous pouvez verser un peu de bicarbonate de soude dans l’eau de trempage, cela fonctionne très bien aussi. A ce jour, mes serviettes sont propres et je suis à 100% satisfaite de mon achat. Alors envie de vous lancer ? Photos Céline Marks – Tous droits réservés
ServietteHygiénique Lavable Caractéristiques : 100% COTON - Fibre de bambou et PUL Tissus et tailles au choix T1 (protège slip) : 19 cm T2 (Normal) : 23.5 cm T2 + (1 épaisseur supplémentaire) : 23.5 cm T3 (Nuit) : 30 cm Entretien : Après usage, rincer la SHL à l’eau claire est au savon de
Le Monde Afrique La société KmerPad produit depuis 2014 des protections périodiques lavables 100 % made in Cameroun », moins coûteuses que des jetables. Lorsqu’elle a ses règles, Tanous, 13 ans, découpe de vieux vêtements jetés à l’ombre de sa maison à Lomié, dans l’est du Cameroun, qu’elle dépose dans sa culotte. Si elle est au champ, elle utilise des touffes d’herbes fraîches et des morceaux de feuilles de bananiers, comme le lui a appris sa mère. Elle les change de temps en temps », mais le sang finit toujours par salir ses vêtements. Les tampons et serviettes hygiéniques ? Tanous, pieds nus et vêtue d’une salopette en jeans tâchée de terre, fronce les sourcils et demande De quoi s’agit-il ? Je ne connais pas ça. » Lire aussi Les écolières burkinabées apprennent à ne plus avoir honte de leurs règles Selon l’ONG Plan International, en Afrique, une fille sur dix ne va pas à l’école pendant ses menstrues. Tous les mois, la chaise de Tanous reste désespérément vide durant quatre jours. Même quand il y a composition, murmure la fillette, élève en classe de cours élémentaire de deuxième année, honteuse. Si je vais à l’école, le sang peut salir mes habits et on va se moquer de moi. » Comme elle, par ignorance ou manque d’argent pour acheter des serviettes hygiéniques, de nombreuses jeunes Camerounaises désertent les classes durant leurs règles. Coton bio Face à cette situation, Olivia Mvondo Boum II et des amis ont fondé, en 2011, le groupement d’initiative commune GIC KmerPad, qui fabrique et commercialise des serviettes lavables et réutilisables. Au début, l’équipe s’est rapprochée de pays tels que l’Ouganda et la Tanzanie, plus avancés dans ce domaine, pour glaner des conseils. Les cofondateurs ont ensuite interrogé mille femmes âgées de 15 à 45 ans à Yaoundé pour savoir, entre autres, si elles seraient prêtes à utiliser les serviettes lavables et à quel prix. Trente d’entre elles ont testé, une année durant, ces serviettes venues d’ailleurs. A la fin, elles étaient pour la plupart satisfaites de ce moyen de protection, notamment du fait de son caractère économique. Car bien qu’on l’achète un peu plus cher, on l’utilise pendant un an et plus, contrairement aux serviettes jetables qu’on doit renouveler tous les mois », indique Olivia Mvondo Boum II, qui nous reçoit dans les locaux de KmerPad, dans le quartier Ahala, à la sortie de Yaoundé. Convaincus, les membres du GIC passent à la phase expérimentale voyage d’étude, achat de serviettes lavables en France, au Canada et en Ouganda, recherche de la matière première pour en produire localement… Le tout sur fonds propres, jusqu’à ce que, fin 2012, KmerPad reçoive un financement du gouvernement français. Lire aussi Et si l’on trouvait un autre travail pour les exciseuses africaines ? Le premier défi est de dénicher une matière biologique économique et disponible au Cameroun. On a tablé sur le coton biologique 100 % camerounais. On a essayé de respecter des normes d’épaisseur, de confort, de discrétion et d’attraction. On voulait des serviettes faciles à laver et à transporter », explique Armand Anaba, responsable opérationnel de KmerPad. Début 2013, les premiers échantillons sont testés. Les retours ? Certaines serviettes sont trop grosses et d’autres n’absorbent pas assez le flux. Nous avons résolu le problème de taille. S’agissant de l’absorption, nous avons fabriqué des inserts lavables qui sont des bandes de tissu, comme des serviettes, sauf qu’il n’y a pas de bande imperméable à l’intérieur », poursuit Armand Anaba. En 2014, KmerPad commercialise les premiers produits sous la marque FAM. Chaque kit est constitué de trois serviettes équipées de petits boutons permettant de les accrocher au slip, de trois inserts et d’un sachet de transport imperméable. Il coûte 3 000 francs CFA 4,57 euros. Des mois d’hésitation Aujourd’hui, nous produisons entre 40 et 50 kits par jour, sourit Armand Anaba. Entre 30 000 et 40 000 serviettes ont été fabriquées depuis 2014. Elles sont utilisables pendant deux ans. Hormis les boutons et les étiquettes, tout est fabriqué au Cameroun. » Dans l’atelier situé juste au-dessus de la salle de réunion, des femmes, cheveux couverts, découpent et cousent. D’autres nettoient les fils et repassent. Ensuite, tout est assemblé pour être conditionné. Presque toutes ces femmes utilisent ces serviettes lorsqu’elles ont leurs règles. C’est économique et ça n’irrite pas », lancent-elles, souriantes. Lire aussi Au Burkina Faso, de jeunes sourds et entendants étudient ensemble C’est ce dernier critère qui a séduit, il y a deux ans, Yolande Menyeme. Avant, cette étudiante en droit privé à l’université de Yaoundé II se protégeait avec des serviettes hygiéniques jetables. J’avais des démangeaisons. Je pensais ne jamais trouver de serviettes qui me conviennent. Mais un jour, au cours d’une foire en 2015, j’ai découvert ces serviettes lavables et j’ai acheté le kit, témoigne-t-elle. Avant, j’achetais tous les mois des serviettes à 600 francs CFA. En deux ans, j’ai économisé 11 400 francs CFA. » Près d’elle, Vanessa Zobo, sa meilleure amie, acquiesce. Après des mois d’hésitation, elle aussi a fini par tenter l’aventure ». Résultat ? C’est vraiment moins cher, mais ça donne un peu de travail », dit-elle. Car après utilisation, les serviettes FAM doivent être trempées dans de l’eau propre et froide, puis lavées et séchées. Nous recommandons surtout de les sécher au soleil ou dans des endroits extrêmement ventilés et de les repasser à basse température », précise Olivia Mvondo Boum II. Rose, vert et rouge Pour séduire la clientèle, les fondateurs misent sur différentes couleurs de serviettes, avec une préférence pour le rose, le vert et le rouge. Notre but est d’encourager plus de filles à les utiliser et à ne plus manquer les cours. Lors de nos ventes, nous en profitons aussi pour les conseiller, car il faut démythifier les règles », souligne Olivia Mvondo Boum II, qui dit avoir besoin de 200 millions de francs CFA pour développer encore plus les activités de KamerPad. Quelque 75 % des serviettes vendues jusqu’ici ont été achetées par des organisations internationales telles qu’ONU Femmes et Plan Cameroun, qui les distribuent aux réfugiées et aux Camerounaises vulnérables. Les autres sont disponibles dans les supermarchés. Je peux vendre quatre kits par semaine, assure Pélagie Atsama, 29 ans, vendeuse FAM dans un supermarché. Les clientes préfèrent toujours les jetables, mais je leur explique les bienfaits de nos serviettes, qui sont bios et ne polluent pas l’environnement. » Un atout de plus. Josiane Kouagheucontributrice Le Monde Afrique, Douala Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. zsZdp.