ChaiseinstallĂ©e sur un Ă©lĂ©phant en Asie Solution Cette page vous aidera Ă  trouver toutes les solution de CodyCross Ă  tous les niveaux. À travers les astuces et les solutions que vous trouverez sur ce site, vous pourrez transmettre chaque indice de mots croisĂ©s.
Une chaise Ă  porteurs Ă©tait une cabine munie de brancards et portĂ©e Ă  bras d'hommes, utilisĂ©e pour se dĂ©placer individuellement. À la diffĂ©rence des litiĂšres des Romains ou des hommes du Moyen Âge oĂč le passager Ă©tait couchĂ©, elle offre un siĂšge qui permet de voyager en position assise et limite le nombre de porteurs. Moyen de transport urbain maniable et peu encombrant, la chaise Ă  porteurs fut trĂšs utilisĂ©e par les personnes de qualitĂ© » dans l'Europe du XVIe au XVIIIe siĂšcle. Sur d'autres continents, elle se prĂ©sente sous des aspects quelque peu diffĂ©rents ; en Asie, en particulier, la chaise Ă  porteurs peut revĂȘtir de nombreuses formes, dont la plus caractĂ©ristique est sans doute le palanquin. Histoire et origine Dans l'Égypte pharaonique, et dans la Chine de la dynastie Han, le souverain et les divinitĂ©s Ă©taient transportĂ©s en public Ă  bras d'hommes, souvent en processions, pendant des fĂȘtes religieuses ou des cĂ©rĂ©monies officielles. En Inde, l'existence de palanquins est mentionnĂ©e dĂšs 250 av. Dans la Rome antique, une litiĂšre, appelĂ©e lectica, Ă©tait souvent utilisĂ©e pour transporter la famille impĂ©riale, ainsi que de grands dignitaires ou d'autres personnages fortunĂ©s, lorsqu'ils n'Ă©taient pas Ă  cheval. Cette habitude se maintint longtemps, semble-t-il, car le TroisiĂšme concile de Braga, en l'an 675, trouva bon d'ordonner que les Ă©vĂȘques, lorsqu'ils transportaient en procession les reliques des martyrs pour les porter Ă  l'Ă©glise, devaient eux-mĂȘmes marcher pour s'y rendre, sans pouvoir prĂ©tendre au confort d'une litiĂšre, portĂ©e par des diacres vĂȘtus de blanc. Mais la chaise Ă  porteurs commune dans l'Europe des XVIIe et XVIIIe siĂšcles a, semble-t-il, une autre navigateurs et les conquistadors portugais et espagnols dĂ©couvrirent des litiĂšres de diffĂ©rents types, non seulement en Inde, mais aussi au Mexique et au PĂ©rou oĂč la roue n'existait pas. Ce type de vĂ©hicule fut alors importĂ© en Espagne, et se rĂ©pandit bientĂŽt en France et en Angleterre oĂč ils furent appelĂ©s sedan, selon une Ă©tymologie latine[1]. En Europe En Grande-Bretagne Chaise Ă  porteurs italienne Apparition et dĂ©veloppement de la chaise Ă  porteurs En Angleterre, dans la premiĂšre moitiĂ© du XVIe siĂšcle, le roi Henri VIII se dĂ©plaçait en chaise Ă  porteurs ; vers la fin de sa vie, il fallait quatre solides porteurs pour le transporter. Trevor Fawcett note que les voyageurs anglais Fynes Moryson en 1594 et John Evelyn en 1644 - 1645 remarquĂšrent que les seggioli de Naples et de GĂȘnes, qui Ă©taient des chaises Ă  porteurs que l'on pouvait louer, Ă©taient suspendues Ă  des perches et portĂ©es sur les Ă©paules des porteurs, Ă  la diffĂ©rence de ce qui se faisait en Angleterre et en France. À partir du milieu du XVIIe siĂšcle, les visiteurs prenant les eaux Ă  Bath Ă©taient transportĂ©s dans une chaise fermĂ©e de rideaux de serge, tout particuliĂšrement s'ils venaient de prendre un bain chaud et Ă©taient ramenĂ©s Ă  leur lit pour y transpirer. Les rideaux les protĂ©geaient ainsi d'un rafraichissement brutal qui aurait pu compromettre leur santĂ©. Il ne s'agissait point lĂ  cependant des chaises Ă  porteurs proprement dites, dĂ©crites comme destinĂ©es Ă  transporter les personnes de qualitĂ© en visite, ou malades, ou encore, atteintes d'infirmitĂ© » Celia Fiennes. Aux XVIIe et XVIIIe siĂšcles, les chaises Ă  porteurs se trouvaient dans le hall d'entrĂ©e des belles demeures urbaines, de sorte qu'une dame de qualitĂ© pouvait y entrer et atteindre sa destination sans avoir Ă  jamais poser son pied dĂ©licatement chaussĂ© dans la boue de la rue. Un bel exemple classique de ce genre de chaise est la chaise Ă  porteurs conçue pour la reine Charlotte, conservĂ©e au palais de Buckingham, ou celle de la duchesse de Lorraine Élisabeth-Charlotte, conservĂ©e au Petit Palais Ă  Paris. Les chaises Ă  porteurs de location DĂšs le milieu du XVIIe siĂšcle, les chaises Ă  porteurs de location Ă©taient devenues un moyen de transport commun. À Londres, les chaises » purent se louer dĂšs 1634 ; chacune se voyait attribuer un numĂ©ro, et les porteurs devaient obtenir une licence, car l'exploitation des chaises de Londres Ă©tait le monopole d'un courtisan de Charles Ier. Les chaises Ă  porteurs pouvaient passer par des rues trop Ă©troites pour un carrosse, et visaient Ă  allĂ©ger la densitĂ© de la circulation dans les rues de la ville, ce qui est un bel exemple prĂ©coce des problĂšmes d'encombrement de la circulation. Un systĂšme analogue fut plus tard mis en place en Écosse. En 1738, un systĂšme de tarification fut instaurĂ© pour les chaises Ă  porteurs Ă©cossaises, et la rĂ©glementation qui s'appliquait aux chaises Ă  porteurs de Bath n'est pas sans rappeler celle qui rĂ©git aujourd'hui les taxis anglais. Un trajet Ă  l'intĂ©rieur de la ville coĂ»tait alors six pence, et la location pour la journĂ©e revenait Ă  quatre shillings. Au dispensaire royal d'Écosse se trouvait mĂȘme une chaise Ă  porteurs-ambulance ». Les porteurs se dĂ©plaçaient Ă  bonne allure. À Bath, ils avaient la prioritĂ©, et les piĂ©tons qui entendaient derriĂšre eux leur cri de By your leave » Avec votre permission ! » savaient qu'ils devaient s'aplatir contre les murs ou les grilles pour faire place aux porteurs d'une chaise. Ceux-ci Ă©taient d'ailleurs souvent la cause de dĂ©sastreux accidents, de chaises versĂ©es », ou de vitrines brisĂ©es. En France Chaise Ă  porteurs française Apparition en France Le Moyen Âge voit apparaitre les premiers textes de loi relatifs Ă  la voirie. Mais, jusqu'au XIIIe siĂšcle, les ruelles des villes ne comptent guĂšre que des piĂ©tons ou des cavaliers, en accord avec leur Ă©troitesse. En revanche, au XIIIe siĂšcle, les nobles commencent Ă  utiliser des chars, ce qui amĂšne Philippe-le-Bel 1285-1314 Ă  en limiter l'usage[2]. Probablement importĂ©e d'Angleterre aux alentours de 1640, la chaise Ă  porteurs apparaĂźt tout d'abord en tant que service public, comme Ă©tant le vĂ©hicule le plus adaptĂ© aux courts trajets en ville. C'est un siĂšge fermĂ© et couvert portĂ© par deux hommes, permettant de protĂ©ger le passager ou la passagĂšre, non seulement des intempĂ©ries, mais Ă©galement des dĂ©chets qui jonchent les rues ainsi que de la boue. Elle se compose d'une caisse en bois et de deux bras appelĂ©s bĂątons de chaise, d'oĂč l'expression mener une vie de bĂąton de chaise »[3] permettant son transport. Une portiĂšre permet de s'y glisser[2]. On entrait dans les maisons avec ces chaises dont on retirait les bĂątons de chaise pour ne pas encombrer l'espace, la caisse Ă©tant placĂ©e dans les grandes antichambres[4]. Les portes de la chaise Ă  porteurs pouvaient, comme les carrosses, ĂȘtre ornĂ©es des armoiries du propriĂ©taire doubles armoiries lorsqu'elles Ă©taient possĂ©dĂ©es par la dame, faisant ainsi de la chaise un symbole de rang social. L'usage des chaises Ă  porteurs disparaĂźt en France avec la RĂ©volution[5]. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Emploi dans les stations thermales À la fin du XIXe siĂšcle et au dĂ©but du XXe siĂšcle, Ă  Bourbon-l'Archambault dans l'Allier, les curistes qui ne pouvaient pas marcher Ă©taient conduits aux Ă©tablissements thermaux et aux sources en chaise Ă  porteurs et ramenĂ©s Ă  leur hĂŽtel pareillement. Ce moyen de transport Ă  bras d'homme Ă©tait usitĂ© Ă©galement dans les Ă©tablissements thermaux de l'Allier NĂ©ris-les-Bains, du Puy-de-DĂŽme La Bourboule, Royat, Le Mont-Dore, de la Savoie Aix-les-Bains, de SaĂŽne-et-Loire Bourbon-Lancy, de Haute-Marne Bourbonne-les-Bains, des Vosges PlombiĂšres-les-Bains, des Landes Dax, ainsi que l'attestent des cartes postales anciennes. La vinaigrette Une intĂ©ressante invention est la vinaigrette, aussi appelĂ©e brouette. InventĂ©e au dĂ©but du XVIIe, il s'agit d'un vĂ©hicule mixte, ayant l'aspect gĂ©nĂ©ral d'une chaise Ă  porteurs, mais montĂ©e sur roues et dotĂ©e de ressorts. Un homme suffisait Ă  la tirer, placĂ© entre les brancards, mĂȘme si bien souvent un autre membre de la famille femme ou enfant poussait la voiture par derriĂšre. UtilisĂ©e surtout dans le Nord de la France, elle constituait un service public, qui perdura dans quelques villes jusqu'au dĂ©but du XXe siĂšcle[6]. En Orient L'Orient, qui a contribuĂ© par son exemple Ă  la naissance des chaises Ă  porteurs europĂ©ennes, est riche de trĂšs nombreuses variĂ©tĂ©s de chaises Ă  porteurs, palanquins, et autres litiĂšres. Un palanquin est un siĂšge ou parfois une litiĂšre installĂ© sur des bras amovibles ou non et portĂ© par des hommes dans les pays orientaux. Il peut parfois ĂȘtre installĂ© sur le dos d'animaux comme le chameau ou l'Ă©lĂ©phant. On parle alors d'un howdah, qui nĂ©cessite un animal puissant pour en porter la charge, d'autant que les howdah sont souvent occupĂ©s par plusieurs personnes. À la diffĂ©rence de la chaise Ă  porteurs europĂ©enne, dont les brancards sont situĂ©s assez bas, et qui est donc gĂ©nĂ©ralement portĂ©e Ă  bout de bras, les palanquins sont en rĂšgle gĂ©nĂ©rale portĂ©s au moyen de perches ou de poutres placĂ©es sur les Ă©paules des porteurs. Un exemple de palanquin Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Aux AmĂ©riques La silla de l'AmĂ©rique latine Une solution rustique, mais adaptĂ©e au pays, Ă©tait utilisĂ©e dans une partie de l'AmĂ©rique latine aux XVIIIe et XIXe siĂšcles. Simplement dĂ©nommĂ©e silla chaise » en espagnol, elle consistait en une simple chaise de bois Ă©quipĂ©e d'une sangle. Le voyageur s'installait sur la chaise, que l'on plaçait alors sur le dos d'un unique porteur, qui portait la charge grĂące Ă  la sangle qui s'appuyait haut sur son front[8]. L'occupant du siĂšge regardait donc vers l'arriĂšre pendant toute la durĂ©e du voyage. Les voyageurs faisant appel Ă  des sillas employaient en gĂ©nĂ©ral un certain nombre de porteurs, qui se relayaient. Ce systĂšme fut vraisemblablement mis au point parce que la rĂ©gion comptait beaucoup de chemins sommaires, impraticables pour une chaise Ă  porteurs telle qu'elle existait en Europe Ă  la mĂȘme Ă©poque. Le concept de la silla est d'ailleurs proche de la hotte du porteur nĂ©palais qui existe encore aujourd'hui, et qui utilise Ă©galement une sangle passĂ©e haut sur le front. Voyage en silla, au Chiapas, aux alentours de 1840 Femme se faisant transporter en chaise Ă  porteurs par ses esclaves, Ă  SĂŁo Paulo, BrĂ©sil, en 1860. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. En Afrique Le filanzane de Madagascar À Madagascar, le moyen de transport des voyageurs Ă©tait le filanzane, siĂšge Ă©troit muni de deux longs brancards. Deux Ă©quipes de quatre porteurs Ă©taient affectĂ©es Ă  chaque filanzane. Elles se relayaient tous les 200 ou 300 mĂštres, se repassant leur passager au vol avec une habiletĂ© amusante. Les porteurs rompaient le pas, ceux de l'avant levant le pied quand ceux de l'arriĂšre le posaient Ă  terre. La cadence adoptĂ©e produisait un lĂ©ger tangage auquel on s'habituait vite[9]. Filanzane de Madagascar. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Notes et rĂ©fĂ©rences ↑ T. Atkinson Jenkins, Origin of the Word Sedan, Hispanic Review, vol. 1, no 3 juillet 1933, pages 240-242. ↑ a et b PrĂ©cisions historiques donnĂ©es par le musĂ©e Henri BarrĂ©. ↑ Expression Mener une vie de bĂąton de chaise ». ↑ BĂ©atrix Saule et Jean-Louis Libourel, Roulez carrosses ! Le chĂąteau de Versailles Ă  Arras, Skira, 2012, 256 p. ISBN 978-2-08-127817-2. ↑ Lydie Blaizot, Les chaises Ă  porteurs », sur Gloubik Sciences, 7 janvier 2022 consultĂ© le 7 janvier 2022 ↑ Site du chĂąteau de CompiĂšgne la vinaigrette ↑ L'Univers illustrĂ©, 17 mars 1877 ↑ Note La sangle Ă©tait placĂ©e haut sur le front de maniĂšre que le poids de la charge s'exerce bien dans l'axe de la colonne vertĂ©brale ↑ Page sur le filanzane, Encyclopedia of Madagascar and Malagasy Dictionary, de Jean-Marie de La BeaujardiĂšre. Voir aussi Articles connexes LitiĂšre Palanquin Kago Howdah Rickshaw Bibliographie Portail des transports
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 Nous sortons pour nous restaurer, c’est notre premier choc ! Les vaches dans les poubelles, des rats grouillent dans leurs pattes
 les odeurs ! Et cerise sur le gĂąteau, le bruit ! DĂšs le matin, nous quittons l’hĂŽtel
 pour un autre, aussi minable ! Nous dĂ©cidons de nous organiser un peu mieux et passons quelques heures Ă  trouver un hĂŽtel convenable. Nous avons l’impression d’ĂȘtre dans une fourmiliĂšre humaine, abrutis par le bruit des klaxons
 le trafic est dense ! La rue nous rĂ©serve plein de surprises les vaches, les chĂšvres, les chiens, les chats, les pauvres, les mendiants, des familles entiĂšres qui dorment et vivent sur les trottoirs
 et tout çà au milieu des Ă©choppes de toutes sortes et des dĂ©tritus. Voici donc Bombay avec ses 17 millions d’habitants ! Du coup, le 9 novembre, nous nous installons au Crystal HĂŽtel, pour quelques nuits. La mise Ă  jour du blog de l’Iran nous prend une journĂ©e. 10 novembre Un peu de repos bien mĂ©ritĂ©, escapade sur Elephanta Island. On pensait y trouver le calme
 çà grouille de monde peut-ĂȘtre parce que c’est dimanche et surprise, il y a des singes. Nous y avons visitĂ© des grottes avec des Shiva immenses sculptĂ©s dans la roche. Les boutiques de souvenirs sont nombreuses pire qu’au Mont St Michel!, l’embarquement est folklorique çà passe d’un bateau Ă  l’autre et le dĂ©barquement se fait dans la bousculade. 11 novembre mĂȘme pas fĂ©riĂ© ici ! aprĂšs avoir rĂ©servĂ©s nos billets de train pour Aurangabad passeports obligatoires, nous allons voir le Crawford Market. Et lĂ , c’est inoubliable ! Une cohue indescriptible dans un fond sonore infernal
 12 novembre l’aprĂšs-midi nous visitons la mosquĂ©e Haji Ali çà nous manquait ou quoi?, bien diffĂ©rente des mosquĂ©es d’Iran. Nous poursuivons par la visite d’un temple et dĂ©couvrons ses rituels il faut entrer pieds nus, les femmes rentrent d’un cĂŽtĂ©, les hommes de l’autre, avec des offrandes dans les mains fleurs, fruits, gĂąteaux, tissus
. Et les photos sont interdites dommage. Les filles ressortent avec leur premier point rouge sur le front.. 13 novembre Visite du bidonville de Bombay Dharavi, le plus grand d’Asie, par l’Association Reality tours. Nous avons Ă©tĂ© surpris par l’organisation interne. De petites industries rĂ©cupĂ©ration et recyclage de plastiques et de ferrailles, travail du cuir, du textile et fabrication de gĂąteaux
 existent, avec des conditions de travail et de vie dĂ©plorables. Nous avons empruntĂ©s des passages trĂšs Ă©troits, avec une rigole au milieu, conduisant Ă  des habitations trĂšs sommaires. Nous y avons rencontrĂ© beaucoup d’enfants, sourires aux lĂšvres, malgrĂ© leur environnement. Nous pensons avoir vu la partie clean » du bidonville. Nous sommes plus choquĂ©s par la misĂšre des rues qu’ici. D’aprĂšs le guide, ce bidonville est appelĂ© Ă  disparaĂźtre dans quelques annĂ©es au profit de buildings
 Le soir, nous allons Ă  Victoria Station prendre le train pour Aurangabad Ă  380 km. Jolie gare, mais bourrĂ©e de monde, comme d’hab ! Nous avons droit aux couchettes, 6 d’un cĂŽtĂ© du compartiment, et 2 de l’autre. La nuit fut agitĂ©e passages de vendeurs ambulants, du contrĂŽleur, des gens qui vont, qui viennent, qui parlent, qui mangent, qui tĂ©lĂ©phonent
. ArrivĂ©s Ă  5 h 00 du mat au lieu de 4 h 00, pas frais mais entiers
 14 novembre aprĂšs avoir un peu rĂ©cupĂ©rĂ© Ă  l’hĂŽtel, nous visitons Aurangabad en rickshaw. Nous commençons par une caserne de pompiers. Le boss est sĂ©rieux, le personnel au garde Ă  vous. On termine par l’inspection des camions
 dommage que les Ă©changes soient limitĂ©s par le langage. Ensuite, nous continuons par le mini taj mahal Bibi-ka-Maqbara, le moulin Ă  eau Panchakki et terminons par le market. 15 novembre nous partons en taxi pour la journĂ©e, avec Tom un jeune anglais qui parle français, et 4 indiens qui parlent hindi. Nous dĂ©butons par la forteresse de Daulatabad c’est trĂšs grand et trĂšs haut – bonjour les genoux!. Il y a des singes lĂ  aussi, et des petits Ă©cureuils Ă  rayures. Forteresse de Daulatabad Avant le lunch, nous nous arrĂȘtons dans un temple Ghrishneswar, lieu de pĂ©lerinage. On fait la queue pieds nus çà va assez vite, les hommes doivent entrer torse nu tiens, une nouveautĂ©, et les filles ressortent avec un point rouge sur le front le 2Ăšme !. L’aprĂšs-midi est consacrĂ©e aux grottes d’Ellora. Il y en a 34, nous ne visiterons que les plus belles. Surtout une, le temple de Kailasa, demeure de Shiva. C’est la plus grande structure monolythique du monde entiĂšrement creusĂ©e dans la roche. C’est vraiment grandiose !!! De toute beautĂ©. Aux grottes d’Ellora Le 16 novembre, aprĂšs avoir fait un peu de shopping, retour sur Bombay par le train, mĂȘme chose qu’à l’aller
 en plus agitĂ© ! Nous passons 4 jours Ă  Bombay ballades, recherche d’assurance pour les camping-cars infructueuse, visite de Bollywood Robert et Anne-Marie, 
 Sans nouvelles des camping-cars, nous dĂ©cidons de prendre le train pour Navi Bombay, afin de rencontrer le contact qui nous a Ă©tĂ© donnĂ© en Iran. Et lĂ , surprise, surprise ! Il s’avĂšre que ce n’est pas cette agence de shipping qui s’occupe du transfert de nos camping-cars. Cependant, on nous renvoit sur la bonne agence, qui se trouve Ă  Bombay ! Et, cerise sur le gĂąteau, nous apprenons que nos camping-cars sont toujours en Iran ! Le cargo est parti sans eux, et on ne sait pas trop pourquoi
 on apprendra plus tard qu’ils ont Ă©tĂ© passĂ©s aux rayons X ?, pour voir s’il n’y avait pas de drogue Ă  l’intĂ©rieur
 .Du coup, il faut attendre le prochain cargo, et d’aprĂšs notre contact iranien, pas avant fin novembre ! Et cet imprĂ©vu ne nous amuse guĂšre
 Il faut revoir le programme. A Navi Bombay nous rencontrons un couple d’indiens qui nous invitent chez eux pour le dĂźner. Ils nous ont emmenĂ©s chez eux en moto Ă  3 sur l’engin. Le Monsieur est Pasteur, et nous avons droit Ă  la priĂšre avant le repas. Pour rejoindre Bombay, le train du dimanche soir est archi comble. A tel point, que nous ratons le 1er train qui se prĂ©sente
 et le 2Ăšme, il faut pousser pour pouvoir le prendre , il faut le vivre pour le croire !!! Le lundi 25 novembre est consacrĂ© Ă  la recherche d’un circuit organisĂ© dans le KĂ©rala. C’est trĂšs rapide puisque nous prenons l’avion le mercredi 27 novembre pour Cochin. LE KERALA Nous sommes accueillis par Tchadi, notre chauffeur pour la semaine. Le climat est encore plus chaud qu’à Bombay et trĂšs humide. Le paysage est surprenant, de l’eau partout ! C’est vert, c’est tropical, c’est magnifique. L’aprĂšs-midi sera consacrĂ©e Ă  la visite de Cochin, l’église St François dans laquelle Vasco de Gama a Ă©tĂ© enterrĂ© au dĂ©but, le palais nĂ©erlandais, les filets de pĂȘche chinois, la synagogue, la mer
 Le 28 novembre, nous nous rendons Ă  Munnar, dans les terres. çà nous donne un aperçu des routes de montagnes indiennes il nous a fallu 4 heures, pour faire 150 km en voiture
. En cours de route, nous nous arrĂȘtons faire une ballade Ă  dos d’élĂ©phant. Eh bien c’est haut ! et en plus, c’est large un dos d’élĂ©phant Le soir, nous assistons Ă  un spectacle d’art martial de Kalarippayattu, Ă  l’origine de tous les arts martiaux. C’est du beau spectacle, çà nous a plu Ă  tous. Ce sont de belles performances de souplesse,
 un peu comme nos Robert ! Le 29 novembre, nous dĂ©butons la journĂ©e par le parc national d’Eravikulam. Nous y rencontrons tigres, Ă©lĂ©phants, tahrs, chiens et chats sauvages, 
 mais seulement sur images. Nous ne verrons que des tahrs espĂšce de chamois. Notre circuit se dĂ©roule au coeur des plantations de thĂ©, ce qui nous offre un paysage curieux, mais de toute beautĂ©. Nous visitons le musĂ©e du thĂ©, les explications en anglais sont ma foi bien difficiles Ă  comprendre, mais nous sommes pris en main par un employĂ© bien patient. Le lendemain, nous faisons route vers Thekkadi. En chemin, nous nous arrĂȘtons dans un jardin d’épices et plantes mĂ©dicinales mais dommage, peu d’épices
. Nous y voyons quand mĂȘme une fleur de cardamone. L’aprĂšs-midi, nous nous offrons une ballade sur le lac dans la rĂ©serve naturelle de Periyar. Nous y observons la faune
 mais de loin Ă©lĂ©phant, antilopes, singes, bisons et de nombreux oiseaux. Mais ce qui nous a plu le plus dans notre circuit, c’est notre mini croisiĂšre dans un houseboat » sur les backwaters d’Alleppey. Nous avons embarquĂ© tous les 4 en fin de matinĂ©e, accueillis avec colliers de fleurs de jasmin et jus de noix de coco. Un bateau rien que pour nous, avec 3 personnels. La journĂ©e a Ă©tĂ© rythmĂ©e par le dĂ©jeuner, le dĂźner et la lente navigation sur les canaux. Nous avons passĂ© notre temps Ă  contempler riziĂšres, maisons isolĂ©es, oiseaux et fleurs
 En soirĂ©e, nous nous arrĂȘtons prĂšs d’une petite maison sous les cocotiers et en profitons pour goĂ»ter une dĂ©licieuse boisson locale issue de la branche du cocotier Toddy c’est INFAME !!!! Mais que la nuit a Ă©tĂ© tranquille ! Le bruit des klaxons ne nous a pas manquĂ© ! Mais Ă  7 h 30 du mat’, dĂ©marrage ! Puis retour sur la terre ferme aprĂšs un bon petit dĂ©jeuner Le 2 dĂ©cembre, nous arrivons Ă  Kovalan, petite station balnĂ©aire. Il y fait trĂšs chaud. Le lendemain, nous visitons Trivandrum, son zoo, ses plages. Au zoo, animaux classiques tigres, lĂ©opards, lions, guĂ©pards, oiseaux, ours, crocodiles
 mais ce qui nous a impressionnĂ© le plus, c’est la dimension des bats dans les arbres au-dessus de nos tĂȘtes ! Jamais nous n’en avions vu d’aussi grandes ! La fin de journĂ©e se termine Ă  la plage, oĂč les Robert se font un plaisir d’aider les pĂȘcheurs Ă  pousser leurs bateaux Ă  la mer Le lendemain matin, nous assistons Ă  une pĂȘche au filet depuis la plage. Et bien, c’est vraiment Ă  voir ! Les filets, disposĂ©s en arc de cercle, sont reliĂ©s Ă  la plage par des cordes sur lesquelles tirent les pĂȘcheurs. Ils sont nombreux et la manoeuvre est scandĂ©e par leurs voix. Cette pĂȘche dure plusieurs heures. A Kovalan, nous profitons des plaisirs de la baignade, en piscine et en mer. Et alors, lĂ , on n’ose mĂȘme pas vous le dire, mais elle est super BONNE, malgrĂ© ses grosses vagues. Le 5 dĂ©cembre, nous apprenons que nos campings-cars sont enfin partis d’Iran et devraient arriver vers le 11 ou 12 dĂ©cembre. Nous dĂ©cidons de repartir faire un petit circuit dans le Tamil Nadu LE TAMIL NADU Le 6 dĂ©cembre, nous quittons Kovalan, avec un nouveau chauffeur, Sady, vers le cap Camarin Kanyakumari, le bout de l’Inde ! En chemin, nous faisons un tour de bateau dans une mangrove, puis visitons le palace Padmanabhapuram. C’est le palace en bois le mieux conservĂ© au monde. Ne vous fiez pas Ă  la photo, il est magnifique, trĂšs grand, nous y entrons pieds nus
 mais non autorisĂ©s Ă  prendre de photos Ă  l’intĂ©rieur. Nous finissons la journĂ©e par un temple, trĂšs ancien, Sucheendram. Un guide nous prend en main et nous donne plein d’explications sur Vishnu, Shiva, Brahma
 Nous avons mĂȘme droit Ă  une dĂ©monstration de musique sur les colonnes en pierre ! Toujours pas de photos intĂ©rieures. Deux Ă©normes chars Ă©taient devant le temple en prĂ©vision de la prochaine fĂȘte religieuse. Le lendemain, avant de quitter Kunyakumari, nous prenons le bateau pour Vivekananda Rock 1 heure d’attente pour 5 mn de traversĂ©e
 Il s’agit d’un rocher sur lequel a Ă©tĂ© construit un mĂ©morial et un centre de mĂ©ditation. Sur le second rocher, non accessible, se trouve le mĂ©morial de Gandhi. Allez maintenant en route pour Madurai ! 270 km, sur les routes indiennes, vous n’imaginez mĂȘme pas ! Entre les motos, rickshaws, voitures, camions, bus, vaches, chiens, chĂšvres, singes, dindons, piĂ©tons
 il faut se frayer un chemin ! Heureusement, notre chauffeur Sady est vigilant
 mais nerveux. Bonjour les coups de frein, de volant, d’accĂ©lĂ©rateur, et de klaxon tout le temps. Ah, la route, çà fatigue ! Mais nous avons le courage, en fin de journĂ©e, de visiter le temple de Madurai Sri Meenakshi. Avant d’y entrer, les Robert sont obligĂ©s de s’habiller Ă  l’indienne ils passent un dhoti qui leur sied trĂšs bien. Le temple est trĂšs grand, on y entre par 4 gopuras de presque 50 mĂštres de haut, et recouvertes de sculptures trĂšs colorĂ©es et extravagantes ». C’est magnifique. A l’intĂ©rieur, il y a une vĂ©ritable ferme, de vaches sacrĂ©es une cinquantaine!. Tous les espaces religieux ne sont pas accessibles aux non hindous. Avant de sortir, Robert celui d’Anne-Marie fait un don Ă  un Ă©lĂ©phant qui le remercie en lui assĂ©nant un coup de trompe sur la tĂȘte. EspĂ©rons que çà va lui porter chance. Le lendemain, avant de quitter Madurai, un petit saut au palais de Tirumalai Nayak. Il a certainement dĂ» ĂȘtre magnifique, mais il n’en reste pas grand chose. L’aprĂšs-midi, nous arrivons Ă  Trichy. AprĂšs avoir dĂ©posĂ© nos bagages Ă  l’hĂŽtel, nous allons voir l’immense temple de Ranganatha swani, dĂ©diĂ© Ă  Vishnu, sur l’üle de Shrirangan. Il est encore plus grand que celui de Madurai, il comporte 7 enceintes, mais nous n’en visitons que 4 partiellement. Il faut ĂȘtre hindou pour pĂ©nĂ©trer dans les 3 enceintes centrales, la derniĂšre Ă©tant surmontĂ©e d’un dĂŽme recouvert de feuilles d’or. Puis, Anne-Marie et Robert celui de HĂ©lĂšne font l’ascension du fort du rocher Rock Fort et au bout de 200 marches environ, ils arrivent au temple dĂ©diĂ© Ă  Ganesh. Ils ont une vue magnifique sur toute la ville et les alentours. Robert l’autre se repose car il a mal Ă  un orteil suite Ă  un coup dans un tabouret la veille 
 et HĂ©lĂšne reste avec lui. 9 dĂ©cembre encore 270 km, dans les mĂȘmes conditions que l’avant-veille, pour rejoindre PondichĂ©ry. L’aprĂšs-midi, visite d’un centre mĂ©dical Robert a une fracture du petit orteil, et Anne-Marie fait une allergie aux piqĂ»res de moustiques ! Ah la la, quelle Ă©quipe ! Le lendemain, nous visitons PondichĂ©ry. Nous pensions y trouver un petit coin de France, et sommes déçus ! Il ne reste que les noms de rues en français, du cĂŽtĂ© du consulat, et les kĂ©pis des policiers. De plus, PondichĂ©ry est bien connu pour ses bars et ventes d’alcool. Un reste de France ?? Nous nous promenons le long de la mer, trĂšs agitĂ©e, et nous arrĂȘtons Ă  l’église Notre-Dame des Anges. La messe y est encore dite en français chaque dimanche. Mais pas de chance, nous sommes mardi
 Du coup, nous allons nous recueillir dans l’ashram de Sri Aurobindo et de la MĂšre », sa compagne, lieu de retraite pour personnes en quĂȘte de spiritualitĂ©. Et non loin de lĂ  se trouve Auroville, citĂ© internationale se voulant universelle sans religion, sans nationalitĂ©, sans hiĂ©rarchie sociale imaginĂ©e par Sri Aurobindo et mise en chantier par la MĂšre » en 1968. Dans l’enceinte d’Auroville, on peut voir un arbre centenaire, de 50 m de diamĂštre un banian et non loin de lĂ  le matrimandir, sphĂšre gĂ©ante recouverte de feuilles d’or, lieu de mĂ©ditation ouvert aux initiĂ©s. D’ailleurs, on se demande si nous n’allons pas revendre nos campings-cars, afin d’aller passer notre retraite au sein de cette communautĂ©, pour y trouver la paix intĂ©rieure... En entrant Ă  l’hĂŽtel, bonne nouvelle, nous apprenons que les campings-cars sont arrivĂ©s en Inde. Et nous ne sommes mĂȘme pas lĂ  pour les rĂ©ceptionner ! Zut alors ! Il nous faut patienter encore 2 jours, le temps de rejoindre Chennai et de prendre l’avion pour Bombay, le 12 au matin. LE MAHARASHTRA Jeudi 12 dĂ©cembre Nous revoici Ă  Bombay, dĂšs 7 h du mat’
 avec nos sacs Ă  dos. 1Ăšre chose direction le bureau de M. Amol, de la SALZ LOGISTICS, notre transitaire. Nous y passons 3 heures, pas trĂšs agrĂ©ables car d’entrĂ©e il nous annonce un coĂ»t de 12 000 €. Ensuite, il nous indique les conditions pour la rĂ©cupĂ©ration des camping-cars, dĂ©douanement, dĂ©chargement, sans compter qu’il nous annonce des dĂ©lais fluctuants, et payants. AprĂšs discussion, le coĂ»t tombe Ă  2 700 € pour les 2 campings-cars, ce qui nous parait encore excessif. Nous nous quittons en prenant rendez-vous pour le lendemain, pour nous rendre au port. Vendredi 13 dĂ©cembre Nous partons au port, plein d’espoir. 1er arrĂȘt aux douanes HĂ©lĂšne et Robert sont obligĂ©s d’attendre dans la voiture, et il fait chaud
. AprĂšs 3 heures d’attente, on ne sait pas trop pourquoi
 un douanier se promĂšne pourtant avec nos dossiers, il va, il vient
 on attend soit-disant une signature
, on va voir nos campings-cars ! Ils sont sur un camion. Ah quel plaisir de les retrouver. Mais on ne pourra pas repartir avec, et demain c’est samedi, les douanes sont fermĂ©es. Donc, il faut attendre lundi ! Retour Ă  l’hĂŽtel, bien déçus et avec encore beaucoup d’interrogations pour la suite
 surtout qu’il a fallu verser la moitiĂ© de la rançon » en cash
 Lundi 16 dĂ©cembre De retour au port, avec nos sacs Ă  dos. Nous retrouvons les bureaux de la douane un bien grand mot, un canapĂ© crasseux oĂč on hĂ©site Ă  s’asseoir et attendons encore, et encore. On nous dit 10 mn, 15 mn
 on nous amĂšne quand mĂȘme Ă  manger un sandwich indien mais dans la voiture. Finalement nous attendrons la journĂ©e entiĂšre. Il manque encore une signature l’officier des douanes est dĂ©bordĂ© et tout seul
 normalement, ils sont trois. On passe voir les campings-cars, qui ne sont plus sur le camion, mais encore sur le flat-rack. Nous constatons qu’ils ont Ă©tĂ© abĂźmĂ©s au dĂ©chargement. Retour Ă  l’hĂŽtel, avec nos sacs Ă  dos
 Le moral est au plus bas ! Notre transitaire nous donne rendez-vous pour le lendemain matin. Mardi 17 dĂ©cembre De retour au port, avec nos sacs Ă  dos, mais Ă  12 heures cette fois, M. Amol Ă©tait en retard. 1er arrĂȘt aux douanes on commence Ă  connaĂźtre, toujours le mĂȘme canapĂ© et on attend les 2 derniĂšres signatures. Bon, ça y est. Le paiement maintenant, en cash, dans la voiture, sans les filles ! Comme dans les films de gangsters
 Maintenant, nous pouvons enfin aller chercher nos campings-cars et lĂ , surprise, personne n’a la moindre idĂ©e du comment on va les descendre du flat-rack !!!!! Beaucoup de monde autour, beaucoup de chefs, beaucoup de discussions, et seulement 2 solutions, dont une de sangler les campings-cars pour les soulever avec une grue. Pas d’accord les Robert ! Ils font un premier essai avec des plans inclinĂ©s mĂ©talliques, trops courts, on essaye, çà ne marche pas, le laika remonte. Nouvelle idĂ©e un plan inclinĂ©, pas assez haut, qu’il faut remonter avec des bastaings, et relevĂ© avec un gros trans-palette. Et lĂ  youpee, çà marche ! Et avec tout çà, il est dĂ©jĂ  18 heures et nous quittons enfin le port, aprĂšs une derniĂšre signature et la rĂ©cupĂ©ration de nos papiers. Nous resterons dormir Ă  proximitĂ©, au milieu des camions
 dans la poussiĂšre. Ah quel bonheur d’ĂȘtre chez soi. Mais les premiers jours sont consacrĂ©s au nettoyage intĂ©rieur et extĂ©rieur, Ă  la rĂ©paration du marche-pied du Laika. Nous nous adaptons tant bien que mal aux conditions de circulation, et au manque de signalisation. A tel point que dĂšs la sortie de Bombay, on se plante ! Ce qui nous oblige Ă  prendre une route trĂšs mauvaise pour rejoindre Daman 30 km en 2 heures. DAMAN A Daman le 20 dĂ©cembre, ancien territoire portugais en bord de mer, nous visitons la citadelle, le port et la plage de sable soir, avec ses poissons et crevettes Ă  sĂ©cher. Mais ce qui nous surprend le plus, ce sont d’innombrables shops de vente d’alcool Ă  des prix trĂšs bas du rhum Ă  moins de 2 € la bouteille, et c’est bien pire qu’à Pondichery. Pour ĂȘtre tranquille, nous prĂ©fĂ©rons nous installer pour la nuit sur un parking d’hĂŽtel gardĂ©. LE GUJERAT Le 22 dĂ©cembre nous sommes Ă  Vadodara et visitons un superbe palais de Maharaja Lakshmi Vilas. Il s’agit de l’édifice le plus coĂ»teux jamais construit par un particulier au 19Ăšme siĂšcle. Quel bonheur d’avoir un audio-guide en français ! Nous n’en visiterons qu’une petite partie, il est toujours habitĂ© par les descendants du maharaja Le lendemain, au lever, nous dĂ©couvrons que nous avons accueillis, malgrĂ© nous, un clandestin
 et çà ne nous fait pas partons pour Champaner-Pavagadh citadelle, mosquĂ©es et montagne sacrĂ©e. Nous faisons un peu les fainĂ©ants et prenons le tĂ©lĂ©cabine oh, çà nous rappelle les sports d’hiver mais il reste encore quelques marches pour atteindre le petit temple. Beaucoup de monde, beaucoup de marchands
 En plus, nous pensions avoir une vue imprenable, mais tout est embrumĂ©, comme d’hab Nous arrivons Ă  Ahmadabad le 24 dĂ©cembre. Nous passons l’aprĂšs-midi Ă  trouver un emplacement. Finalement, nous finissons dans la cour des pompiers. Et quelle cour, et quelle triste caserne
 mais que de monde encore autour des campings-cars ! Bon, il faut penser au rĂ©veillon. On a du champagne au frais et du foie gras, importĂ©s de france. Pas de repas de NoĂ«l ici
 çà sera un repas indien, comme d’hab, mais non’veg. quand mĂȘme ! Nous aurions aimĂ© nous rendre Ă  la messe de minuit, mais nous n’avons pas trouvĂ© d’église
 Le jour de NoĂ«l, bonjour les rĂ©jouissances. Anne-Marie et Robert ne se sont pas lavĂ©s
 devinez pourquoi. Et nous avons vidĂ© la soute, Ă  la recherche du clandestin. Nous allons quand mĂȘme visiter Ahmadabad on commence par le lac ou soit-disant il y a un festival de cerf-volants. Il n’y a rien, nous n’y allons sans doute pas Ă  la bonne heure
 mais seule consolation, c’est propre par rapport au reste. Nous trouvons la citadelle aprĂšs bien des efforts, et sommes trĂšs déçus, rien Ă  voir. Nous nous rendons ensuite au musĂ©e du textile Ă  ne pas manquer pas de chance, il est fermĂ© ! Trop bien le NoĂ«l ! En plus, la ville est bruyante, la circulation y est impossible
 nous n’y restons pas une minute plus ! Ce qui est faux, car il nous faut trouver la sortie et çà nous prendra bien plus d’une heure
 Le 26 dĂ©cembre il nous faut absolument trouver du gaz Anne-Marie et Robert veulent se laver. En arrivant Ă  Mahesana, nous nous en occupons et y passerons quand mĂȘme la journĂ©e. Ils sont compliquĂ©s ces indiens, mais le problĂšme de langage n’arrange rien ils parlent peu anglais ici, par rapport au sud. Le lendemain, nous faisons route vers Patan. En chemin, nous nous arrĂȘtons au temple du soleil Ă  Modhera. Ce temple est complĂštement diffĂ©rent de ce que nous avons dĂ©jĂ  vu. Il y a un grand bassin en contrebas oĂč les indiens viennent prier en s’aspergeant d’eau Nous allons voir le tissage de la soie chez un artisan. On se rend compte que cette technique reprĂ©sente d’innombrables heures de travail, entre la coloration du fil et le tissage minutieux. Dans cette maison, ils sont tisserands de pĂšre en fils. Le soir, en revenant de l’apero chez Anne-Marie et Robert, nous allons enfin pouvoir faire connaissance avec notre intrus, bel et bien pris au piĂšge. Un joli petit rat ! Ouf
 nous allons enfin pouvoir dormir tranquilles LE RAJASTHAN Le 28 dĂ©cembre Nous faisons un petit dĂ©tour pour nous rendre au Mont Abu. En montant, dans les lacets, nous faisons une halte, et sans le vouloir, Anne Marie et Robertdonnent Ă  boire aux singes ! C’est trop drĂŽle
 Le site est pittoresque, des palmiers dans la montagne, des rochers, dommage qu’il soit un peu gĂąchĂ© par les dĂ©tritus de toutes sortes le long du cours d’eau. Nous visitons un ensemble de temples, dont l’un est remarquable par la finesse de ses sculptures en marbre. A son entrĂ©e, nous admirons d’imposantes statues d’élĂ©phants en marbre Ă©galement. Nous projetons de nous rendre au lac Nakhi Talab, et peut-ĂȘtre d’y rester pour la nuit, loin du bruit de la ville
 mais surprise, l’endroit est noir de monde, de voitures garĂ©es anarchiquement, nous ne pouvons ni y accĂ©der, ni nous stationner. Tant pis, on repart, un peu déçus. Le 29 et le 30 dĂ©cembre, nous sommes Ă  Udaipur. En entrant dans la ville, ce qui nous frappe en premier, c’est la propretĂ© des rues ! SurnommĂ©e la Venise de l’Orient, elle est construite autour d’un lac artificiel, le lac Pichola, dans lequel se reflĂštent les collines environnantes, et les somptueux palais. Quelques uns sont d’ailleurs carrĂ©ment au milieu du lac, sur de petits Ăźlots ! L’aprĂšs-midi, nous visitons le city palace, mais seulement une partie, la plus ancienne. Le reste est occupĂ©e par un hĂŽtel et par la famille du Maharana. Nous avons pris plaisir Ă  dĂ©ambuler dans les couloirs Ă©troits et escaliers dĂ©bouchant tantĂŽt sur de petites piĂšces, tantĂŽt sur des patios. C’est de toute beautĂ©. Le 31, nous sommes Ă  Chittorgarh, pour le rĂ©veillon du nouvel an. Nous visitons d’abord la forteresse qui domine la ville, et que nous n’avons pu apercevoir de loin Ă  cause de la brume. Un guide indien, parlant français, nous accompagne car le site est immense palais en ruine, temples, tour de la victoire, tour de la renommĂ©e
 Nous apprenons beaucoup de choses, mais qu’en retiendrons nous ? Maintenant, place aux prĂ©paratifs du rĂ©veillon. L’apĂ©ro, c’est dans le rapido vin blanc indien + foie gras du Perrier. Pour le resto, on y va en touk-touk Robert en profites pour perdre sa jolie paire de lunettes ! et il fait froid, comme une St Sylvestre en France, mais sans gueuleton
 Pour vous mettre l’eau Ă  la bouche, nous avons mangĂ© soupe de tomate, chicken-rice spicy » comme d’hab !, accompagnĂ© quand mĂȘme d’un merlot colombien. Et Ă  minuit et demi, tout le monde est au lit ! Youhou, bonne annee !!! Le lendemain, nous avions prĂ©vu de visiter le palace Umaid Bhawan, rĂ©sidence de l’actuel Maharaja de Jodhpur, dont une partie est transformĂ©e en hĂŽtel de luxe. Nous sommes refoulĂ©s Ă  l’entrĂ©e, le Maharaja organise une garden party », et pas de chance nous ne retrouvons pas nos invitations
 Nous allons donc visiter le cĂ©notaphe de Jaswant Thada, un mausolĂ©e de marbre blanc. Ensuite, nous nous rendons au marchĂ© aux Ă©pices, prĂšs de la tour de l’horloge. Le 5 janvier, nous reprenons la route dans un brouillard trĂšs dense
 c’est l’enfer ! Les indiens roulent comme d’habitude, Ă  contre-sens, pas Ă©clairĂ©s
 si bien qu’à un moment donnĂ©, nous sommes stoppĂ©s il s’agit d’un carambolage de camions principalement, sur un bon kilomĂštre. On ne compte pas le nombre de camions accidentĂ©s, dont certains avec la cabine complĂštement dĂ©foncĂ©e. Et on ne vous parle pas du balisage
 il n’existe pas ! Il nous faudra au moins une heure pour sortir de ce bouchon ». Nous arrivons malgrĂ© tout Ă  Jaipur, la citĂ© rose. Nous avons bien du mal Ă  trouver un emplacement, quand nous tombons sur Raja. Il nous installe dans une impasse, prĂšs de chez lui, et nous dit organiser une party, avec 150 personnes
 et nous y invite. Il vient nous chercher Ă  19 heures il faut d’abord aller acheter des biĂšres surtout pour lui, biĂšres que l’on boit tous les 4 dans son touk-touk, et lui et ses potes Ă  cĂŽtĂ©. Il fait froid, la biĂšre descend mal pour nous
 on se demande pourquoi on ne va pas Ă  la soirĂ©e. Au bout d’une heure, on le suit chez lui. Et lĂ , surprise ! Les 150 personnes sont en fait un village » oĂč vit Raja et sa famille. Nous nous retrouvons dans une minuscule piĂšce, Ă  6, Ă  attendre le repas. Celui-ci fut mĂ©morable quelques os de mouton dans de la sauce bien Ă©picĂ©e, et une seule cuisse de poulet, Ă  partager, dans de la sauce Ă©galement, tout cela accompagnĂ© de chapatis
 Le lendemain, Raja veut nous faire visiter sa ville en touk-touk c’est son job. Mais nous prĂ©fĂ©rons visiter par nous-mĂȘmes. Anne-Marie et Robert visitent le city palace. Tous les bĂątiment sont roses, comme dans la ville. Une partie est encore habitĂ©e par la famille royale de Jaipur. La partie que nous visitons est tranformĂ©e en musĂ©e collection d’habits et de tissus, collection d’armes
 ainsi que de jolies piĂšces finement dĂ©corĂ©es. Nous avons visitĂ©, tous les 4, l’observatoire astronomique, le Jantar Mantar il possĂšde le cadran solaire le plus grand du monde. Pour le reste, nous n’y avons pas compris grand chose, trop compliquĂ© ! Et le Hawa Mahal, le palais des vents, avec sa superbe façade ajourĂ©e. Le 7 janvier fort d’Amber. L’arrivĂ©e est magnifique, avec le lac, les remparts sur des kilomĂštres, et les forts. A l’entrĂ©e, des centaines d’élĂ©phants attendent de monter les visiteurs au fort
 mais nous prĂ©fĂ©rons monter Ă  pied. L’intĂ©rieur du fort est sans intĂ©rĂȘt particulier c’est un vrai labyrinthe, Ă  part une magnifique piĂšce toute en mosaĂŻque de miroirs. Le 8 janvier , nous une grande ballade dans le National Park Keoladeo de y voyons sangliers, chacals, antilopes,iguane et de nombreux oiseaux dont une grande colonie de marabouts. UTTAR PRADESH et MADHYA PRADESH Le lendemain, nous faisons un arrĂȘt tout prĂȘt de Fatehpur Sikri, dans un bien curieux village, oĂč l’on tisse des matĂ©riaux de rĂ©cupĂ©ration lambeaux de cuir, de tissus, de corde. Les tissus et les cordes sont teints sur place. A Fatehpur Sikri, nous dĂ©couvrons la ville fantĂŽme » de jolis bĂątiments en pierre rouge construits au XVIĂšme siĂšcle et qui n’ont servis que 14 ans ! Nous sommes guidĂ©s par un indien parlant anglais, et on vous assure qu’on a tout compris, ha, ha
 En tout cas, le roi avait 3 femmes et chaque femme avait sa maison la plus grande pour sa femme hindou, et 2 plus petites pour la femme musulmane et la femme catholique
 Le 10, nous arrivons Ă  Agra, dans le brouillard. Nous attendrons le lendemain pour visiter le Taj Mahal, et par chance, il fait beau ! Nous le verrons donc sous le soleil. Et c’est vrai que c’est beau ! Le rĂȘve d’Anne-Marie est rĂ©alisé  Mais il y a un monde fou aussi !! Nous prenons le temps de dĂ©ambuler dans les jardins et Ă  l’intĂ©rieur du mausolĂ©e. Le 14 janvier, nous faisons route vers Orchha et quelle route ! Depuis la veille, c’est la galĂšre, et nous arrĂȘtons Ă  Datia et visitons un ancien palais abandonnĂ© le Govind palace. Il a sĂ»rement du ĂȘtre magnifique Ă  une Ă©poque
 On s’est promenĂ© dans les diffĂ©rents Ă©tages, et avons eu quelques difficultĂ©s pour retrouver la sortie
 Nous arrivons Ă  Khajuraho le 16 janvier et passons l’aprĂšs-midi Ă  visiter les temples, dont certains possĂšdent des sculptures extĂ©rieures Ă©rotiques
 Les temples sont trĂšs bien entretenus, au milieu d’un jardin. On se dĂ©chausse, temple aprĂšs temple
 Le 17 janvier, l’orage nous rĂ©veille et nous prenons la route sous la pluie. La poussiĂšre a fait place aux trous d’eau et Ă  la boue
 la route est de plus en plus mauvaise
 et comme nous avons du louper la bonne, nous nous retrouvons sur des chemins de terre, en cul de sac dans un village perdu
 sous le regard ahuri des habitants que cela amuse
 mais nous beaucoup moins, on se demande si on va rĂ©ussir Ă  sortir de ce merdier
.. Les campings-cars changent de couleur au fur et Ă  mesure de la route, ils rosissent
 Le 18 janvier, encore de l’orage ce matin il ne fait pourtant que 15 °, et nous continuons sur une route toujours aussi mauvaise dĂ©foncĂ©e avec des trous d’eau. Le 19 janvier, la route s’amĂ©liore enfin. Nous dĂ©cidons de redonner leur couleur initiale Ă  nos campings-cars. Le rose ne plait pas aux garçons les Robert s’activent au lavage ! Et nous arrivons Ă  BĂ©narĂšs Varanasi, sur les bords du Gange, tout propres, mais nous retrouvons la route boueuse et dĂ©foncĂ©e, nos campings-cars ne seront pas beaux longtemps. BĂ©narĂšs c’est la ville sacrĂ©e pour les hindous chaque hindou se doit d’y aller au moins une fois dans sa vie. Le soir, nous nous rendons en rickshaw pour assister Ă  une cĂ©rĂ©monie sur les bords du Gange, au cours de laquelle des brahmanes font le spectacle » chants, musiques, encens, fleurs, bougies
 Des gens dĂ©posent de petites lampes Ă  huile sur le fleuve nous aussi et des tas de gens assistent au spectacle dans des barques. C’est un rituel bien curieux, mais nous sommes contents d’y avoir assistĂ© et participĂ© Robert et Anne-Marie Ă©taient bien placĂ©s et ont Ă©tĂ© sollicitĂ©s pour tirer les cloches » pendant toute la cĂ©rĂ©monie
presqu’une heure, dur, dur
 Le lendemain, Ă  5 h du mat’, les 2 rickshaws sont lĂ  pour nous emmener Ă  nouveau sur les bords du Gange, et nous dĂ©ambulons le long des ghats, avant le lever du soleil. Nous assistons au bain rituel des hindous. Il ne fait pourtant pas chaud 11° et ils se baignent, se lavent, prient dans l’eau. Certains ghats sont rĂ©servĂ©s aux crĂ©mations. Nous verrons dans l’un la prĂ©paration d’un bĂ»cher », avec le corps. On nous apprend qu’il faut 200 kilos de bois pour une crĂ©mation, bois qu’il faut acheter sur place, cher, et que certaines personnes pauvres n’en ont pas les moyens. Ceux-ci seront mis directement dans le Gange. Avant de retourner Ă  nos campings-cars, nos rickshaws nous mĂšnent dans une entreprise de tissage de soie et de cachemire. Nous sommes impressionnĂ©s par la programmation des machines, que ce soit machines manuelles ou machines Ă©lectriques. En effet, le programme se fait Ă  l’aide de cartes perforĂ©es. Les 21 et 22 janvier, la route vers Gorakhpur est plus que mauvaise, nous ferons 170 km en 2 jours, entre 5 et 15 km/heure ! Les Robert en ont ras la casquette. HĂ©lĂšne et Anne-Marie ont largement le temps d’admirer le paysage
 pas bien terrible pourtant de grandes Ă©tendues de cultures, et de nombreux villages. Et Pour couronner le tout, le 21, un abruti de chauffeur de bus a arrachĂ© le rĂ©tro droit du laĂŻka, en le doublant Ă  fond la caisse, en ville. Il s’en est suivi un gros bouchon, un spectacle de rue qui a attirĂ© une foule d’indiens, la police avec bien du retard, un reporter de la presse locale
 et aprĂšs de grosses engueulades franco-anglo-hindi, nous repartons avec le rĂ©tro scotchĂ©. Et le 22, nous serons pris dans un mĂ©ga embouteillage Ă  Mau. Vous ne pouvez pas imaginer le bordel que c’est mĂȘme s’il n’y a pas de place pour passer, les voitures viennent s’engouffrer quand mĂȘme en double file, ainsi que les motos, rickshaws, vĂ©los, piĂ©tons
 et en plus il y a des tas de cailloux qui rĂ©trĂ©cissent la route ! 1 mÂČ, la jeep s’y met, 2 mÂČ le bus y va ! Du coup, çà coince partout, les voilĂ  Ă  contre-sens, en double file, en travers, accrochĂ©s les uns aux autres par les pare-chocs
 et nous au milieu de tout çà, Ă  attendre de pouvoir avancer, et en espĂ©rant que personne ne nous accroche
 BIHAR Le 23, c’est bien notre veine, une manifestation politique nous bloque Ă  Gorakpur, pendant 1 h 30. Le 24 janvier, nous faisons un petit arrĂȘt Ă  Kushinagar, l’endroit ou Boudha a Ă©tĂ© incinĂ©rĂ© il paraĂźt que ses cendres sont Ă  l’intĂ©rieur de la coupole fermĂ©e
. Le 25 janvier, nous arrivons enfin Ă  la frontiĂšre nĂ©palaise, aprĂšs une route trĂšs mauvaise sur la fin 4 heures pour faire 40 km!. Il fait nuit. Heureusement, tout se passe rapidement, aussi bien cĂŽtĂ© indien que cĂŽtĂ© nĂ©palais. Nous obtenons les 4 visas nĂ©palais en œ heure, et pourtant sans Ă©lectricitĂ© ; nous remplissons les papiers Ă  la pile Ă©lectrique. Pour finir, nous dormons sur le parking de l’immigration bien gardĂ©s!. Nos impressions sur l’Inde Il y a tellement de choses Ă  dire
 on va essayer d’ĂȘtre brefs ! Il y a du monde tout le temps et partout Ă  pied, Ă  vĂ©lo, Ă  moto, en rickshaw, dans et sur les bus, dans et sur les camions
 Les indiens sont des gens trĂšs envahissants, trĂšs curieux ils laissent la trace de leurs nez sur les vitres, et bruyants. Ils sont toujours trĂšs surpris d’apprendre que nous ne sommes que 2 par camping-car ils se mettent bien Ă  25 dans un touk-touk!. Ils ouvrent les portes des campings-cars sans demander et vont jusqu’à entrer
 La circulation, parlons-en ! Il faut le vivre pour le croire. Une attention de chaque seconde, des yeux partout, il n’y a aucune rĂšgle. C’est la loi du plus fort ! De toute façon, ils passent
 et attention Ă  la carrosserie nous ramenons quelques souvenirs avec nous. Et pour corser le tout, il faut Ă©viter les nombreuses vaches, les nombreux chiens, les chĂšvres, et autres animaux, 
 les chars Ă  bƓufs, les marchands ambulants Ă  pied avec leurs charrettes
 Nous avons rencontrĂ© sur certaines routes des conditions de circulation trĂšs difficiles travaux d’ouvrage d’art abandonnĂ©s depuis longtemps des centaines de ponts inachevĂ©s!, portions de routes non terminĂ©es, routes existantes non entretenues et dĂ©gradĂ©es par les poids lourds. En Inde, tout est compliquĂ©, mais tout est possible. Quand on demande notre route Ă  une personne, il y en a bientĂŽt 10 Ă  s’agglutiner autour de nous, si ce n’est pas plus, pour finir par discuter entre eux, parce qu’ils ne sont pas d’accord. Et nous, on attend ! Car dans certains Ă©tats, la signalisation est quasi inexistante, et s’il y en a, c’est Ă©crit en hindi. Se promener Ă  pied dans les villes, c’est infernal tellement le bruit perçant des klaxons est incessant. Et en plus çà n’a rien d’attirant, Ă  cause des dĂ©chets, des bouses de vache et des odeurs
 Bien que chaque Ă©tat soit diffĂ©rent, l’Inde a de gros efforts Ă  faire en matiĂšre d’environnement dĂ©chets, pollution
. Nous y avons croisĂ© beaucoup de misĂšre aux abords des villes notamment, dans des abris de fortune et sur les trottoirs. MalgrĂ© tout çà, nous avons vu de trĂšs belles choses, les nombreux forts et palais, le Taj Mahal, les temples en marbre ciselĂ©, et sommes loin d’avoir tout vu. Nous avons beaucoup apprĂ©ciĂ© le KĂ©rala Sud, le West Bengal, l’Assam, le Nagaland et le Manipur nord-est, pour la beautĂ© de leurs paysages. Nourriture trĂšs Ă©picĂ©e. Ah, nos pauvres estomacs ont souffert ! exceptĂ© Robert. Nous avons essentiellement mangĂ© vĂ©gĂ©tarien, car mĂȘme lorsqu’on avait du chicken », les morceaux Ă©taient tellement minuscules qu’on n’avait mĂȘme pas l’impression d’en manger
 On pense qu’en Inde un poulet doit nourrir 30 personnes. Quelques chiffres 1 € = 83 roupies indiennes 3 mois en Inde km parcourus 4 180 1Ăšre partie – 1 400 2Ăšme partie CoĂ»t moyen du gazoil 0,71 CoĂ»t moyen du gaz 15 € la bouteille CoĂ»t moyen d’un repas au resto 1,80 € DĂ©calage horaire avec la France 4 h 30 CoĂ»t d’une assurance voiture 1/3 pour 3 mois 56,87 € TableInstallĂ©e Perpendiculairement À Un Bureau; Agence SpĂ©cialisĂ©e De L'onu, InstallĂ©e À Paris; Chaise InstallĂ©e Sur Un ÉlĂ©phant En Asie; Bien Installee Pour Diner; Le Ministre Blanquer Ne L'a Installee Que Dans Ses Discours; Installee Dans Ses Quartiers; Maison De Joaillerie InstallĂ©e Place VendĂŽme; Antenne Circulaire InstallĂ©e PubliĂ© le 03/08/2018 Ă  0902 , mis Ă  jour Ă  0922 Yogesh a Ă  peine eu le temps de rĂ©aliser l'imminence du danger que cet employĂ© d'une plantation de cafĂ© du sud de l'Inde est mort Ă©crasĂ© par un Ă©lĂ©phant sauvage, affolĂ© par l'explosion des pĂ©tards destinĂ©s Ă  le faire fuir. "Tout s'est passĂ© si vite. L'Ă©lĂ©phant a soudain surgi des buissons, l'a piĂ©tinĂ© et a disparu", raconte Ă  l'AFP son petit frĂšre Girish, un homme maigre et barbu coiffĂ© d'une casquette, en reconstituant les Ă©vĂ©nements de cette fatale journĂ©e de dĂ©cembre 2017. MariĂ©e et pĂšre de deux enfants, la victime de 48 ans de l'Etat mĂ©ridional du Karnataka a rejoint les rangs des dizaines d'Indiens tuĂ©s chaque annĂ©e par des pachydermes dans la une population de 1,25 milliard de personnes, qui continue de croĂźtre, l'emprise de l'homme en Inde s'Ă©tend de plus en plus sur des zones naturelles oĂč les Ă©lĂ©phants rĂ©gnaient jusqu'ici en maĂźtres. Un empiĂštement qui provoque des dommages collatĂ©raux pour les deux les Ă©lĂ©phants aussi payent un lourd tribut 700 d'entre eux ont pĂ©ri au contact de l'homme au cours des huit derniĂšres annĂ©es dans ce pays d'Asie du Sud. Certains ont Ă©tĂ© tuĂ©s par des barriĂšres Ă©lectriques, empoisonnĂ©s ou abattus. D'autres sont morts dans des collisions avec des vĂ©hicules traversant leurs routes cette guerre dĂ©nuĂ©e de sens, le Karnataka, foyer de plus de Ă©lĂ©phants, soit 20% de la population de cet animal en Inde, est situĂ© sur la ligne de front."À l'heure actuelle, 30 Ă  40 personnes sont tuĂ©es chaque annĂ©e" par des Ă©lĂ©phants dans cet Etat, souligne C. Jayaram, un haut responsable de la gestion de la faune sauvage du Karnataka. Pression dĂ©mographique Les autoritĂ©s indiennes, Ă  l'instar de la plupart des intervenants dans cette situation complexe, restent perplexes quant Ă  la marche Ă  suivre."C'est trĂšs difficile d'Ă©chapper Ă  la pression dĂ©mographique ou du dĂ©veloppement", confie Ă  l'AFP un membre de haut rang de l'administration sous le couvert de l'anonymat. "En l'absence de solution, nous allons tous devoir apprendre Ă  vivre avec la rĂ©alitĂ© de ces altercations".Au Karnataka, les gardes-forestiers capturent les pachydermes problĂ©matiques, toujours plus nombreux, et les parquent dans le camp de Bhaskar, un employĂ© de l'Ă©tablissement, assimile l'endroit Ă  "une prison", il s'agit en rĂ©alitĂ© davantage un centre de rééducation pour Ă©lĂ©phants - qui n'ont cependant pas vocation Ă  en sortir."Nous prĂ©parons l'enclos avant qu'ils ne soient capturĂ©s, nous rĂ©pandons du foin et partons avant leur arrivĂ©e", explique-t-il. "AprĂšs une pĂ©riode de repos, nous commençons Ă  les dresser et Ă  les dompter".L'un des pensionnaires, Surya, n'est d'ailleurs autre que le tueur de Yogesh, ainsi que d'un autre homme. Le puissant animal, aux dĂ©fenses bien visibles, a une patte enchaĂźnĂ©e, pour le dissuader de tenter de prendre la 28 Ă©lĂ©phants conservĂ©s dans ce camp permettent aussi d'attirer des touristes, qui s'amusent de pouvoir caresser les imposantes bĂȘtes et se faire asperger d'eau par elles. "Nulle part oĂč aller" Cependant, tant les responsables locaux que les dĂ©fenseurs de l'environnement reconnaissent que ces captures ne sont qu'une solution d' seule mĂ©thode efficace pour empĂȘcher les rencontres fortuites entre hommes et Ă©lĂ©phants, d'aprĂšs Vinod Krishnan, de l'ONG Nature Conservation Foundation, est une diffusion plus efficace de l'information."Tout a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© essayĂ© sans succĂšs. Cela inclut des tranchĂ©es, des barriĂšres normales ou Ă©lectriques fonctionnant Ă  l'Ă©nergie solaire et mĂȘme des pĂ©tards", dit-il."Comme vous pouvez le voir, aucune barriĂšre physique ne peut les arrĂȘter", lĂąche-t-il, montrant les dĂ©bris d'une clĂŽture censĂ©e protĂ©ger une plantation de avec la population locale, son organisation a mis au point un systĂšme permettant aux villageois de signaler la localisation d'un pachyderme, pour mieux l'Ă©viter "nous avons installĂ© des panneaux le long des routes-clĂ©s des Ă©lĂ©phants et Ă©mis des alertes par SMS sur la prĂ©sence d'Ă©lĂ©phants, rĂ©duisant significativement les risques de rencontres".Ces mesures sont dĂ©sormais possibles grĂące Ă  la multiplication des smartphones en Inde ces derniĂšres annĂ©es, portĂ©e par la baisse des prix des appareils et des tarifs d'internet mobile parmi les moins Ă©levĂ©s de la de six mois aprĂšs avoir perdu son frĂšre, Girish continue de voir des troupeaux d'Ă©lĂ©phants Ă  proximitĂ© de la plantation sur laquelle il travaille."Rien n'a changĂ©", constate-t-il avec abattement. "Les habitants ne peuvent que les chasser jusqu'Ă  ce qu'ils reviennent car, comme nous, ils n'ont nulle part oĂč aller."
Entre35 et 40.000, c'est le nombre d'éléphants sauvages qui resteraient en Asie, selon les estimations. Un chiffre auquel il faudrait ajouter les
Toujours observĂ©, longtemps ignorĂ© ! Ces quelques mots rĂ©sument Ă  eux seuls l'histoire d'un os prĂ©sent dans toutes les pattes d'Ă©lĂ©phant. Il correspondrait Ă  un sixiĂšme doigt dont le rĂŽle au sein de la patte serait complĂ©mentaire Ă  celui des 5 autres. AprĂšs le panda, les taupes et quelques grenouilles, les Ă©lĂ©phants peuvent donc ĂȘtre ajoutĂ©s Ă  la liste des animaux pour qui 5 doigts ne suffisent pas. Ces pattes d'Ă©lĂ©phant cachent une morphologie complexe se caractĂ©risant, par exemple, par la prĂ©sence d'un sixiĂšme doigt opposĂ© aux autres et dĂ©rivĂ© d'un os sĂ©samoĂŻde. © William Scot, Wikipedia Cela vous intĂ©ressera aussiLes Ă©lĂ©phants possĂšdent les plus grandes pattes au monde. Devant leurs apparences massives et robustes, il est souvent surprenant d'imaginer qu'ils marchent sur leurs doigts, comme les chiens ou les chats. Les 5 doigts de la patte sont orientĂ©s vers l'avant et reposent, avec le talon, sur un coussin graisseux donnant l'impression que le pied est plat. C'est Ă  l'intĂ©rieur de cette structure, jouant le rĂŽle d'un amortisseur, que se trouve un Ă©lĂ©ment osseux comparable Ă  un sixiĂšme doigt. Il est connu depuis plus de trois siĂšcles, mais personne ne s'y Ă©tait intĂ©ressĂ© jusqu'Ă  Hutchinson et son Ă©quipe du Royal Vetenary College de Londres ont dĂ©cidĂ© de clarifier la situation en Ă©tudiant cet os. Leurs rĂ©sultats ont Ă©tĂ© publiĂ©s dans la revue Science. L'anatomie et la fonction de cette structure ont Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©es grĂące Ă  la tomographie assistĂ©e par ordinateur CT scan. À l'inverse des 5 vrais doigts, cet Ă©lĂ©ment osseux, mesurant 5 Ă  10 cm, est orientĂ© vers l'arriĂšre. Il soutient donc la partie postĂ©rieure des pattes. Il limiterait l'Ă©crasement du coussin adipeux lorsque l'animal pose le pied Ă  terre. Rappelons qu'un Ă©lĂ©phant est capable de marcher jusqu'Ă  une vitesse de 20 km/h il ne sait ni courir ni galoper et qu'il peut peser jusqu'Ă  6,3 tonnes pour un Ă©lĂ©phant d’Afrique Loxodonta africana.Mais d’oĂč vient ce sixiĂšme doigt ?AprĂšs avoir dĂ©crit cet os, John Hutchinson a cherchĂ© Ă  en dĂ©couvrir l'origine. Il est arrivĂ© Ă  ses fins en rĂ©alisant des dissections et Ă©tudiant la structure mĂȘme de l'os. Le sixiĂšme doigt serait en fait un os sĂ©samoĂŻde modifiĂ©. Ce type de structure est le plus souvent observĂ© dans des articulations telles que la cheville ou dans des tendons. Des changements de fonction d'un os sĂ©samoĂŻde ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© observĂ©s par le passĂ© puisque ce phĂ©nomĂšne a donnĂ© naissance au sixiĂšme doigt des pandas. Ce doigt surnumĂ©raire est opposable aux 5 autres et permet aux pandas d'attraper le bambou seuls les primates ont de vrais pouces opposables. Il y a nĂ©anmoins une diffĂ©rence importante entre les deux espĂšces l'Ă©lĂ©phant possĂšde 6 doigts Ă  chacune des quatre pattes tandis que seuls les membres antĂ©rieurs du panda ont cet appendice sixiĂšme doigt des Ă©lĂ©phants serait apparu il y a 40 millions d'annĂ©es, lorsque la taille et la masse de ces grands mammifĂšres sont devenues trop importantes. C'est Ă  cette pĂ©riode qu'ils auraient commencĂ© Ă  marcher sur les doigts afin d'acquĂ©rir une posture permettant de mieux supporter leur poids. Ce changement aurait causĂ© la transformation d'un os sĂ©samoĂŻde en un Ă©lĂ©ment de soutien de la patte. Durant la croissance de l'Ă©lĂ©phanteau, l'ossification du sixiĂšme doigt n'a pas lieu au mĂȘme moment. Elle survient lorsque l'animal grandit et prend du poids tandis que les autres doigts apparaissent dĂšs le dĂ©but du dĂ©couverte illustre parfaitement comment une structure peut Ă©voluer pour acquĂ©rir une nouvelle par ce que vous venez de lire ? CettevidĂ©o dĂ©crit une femme sur un Ă©lĂ©phant Jardin Donnez une touche d''ambiance exotique Ă  votre habitat, nous vous proposons de nombreux modĂšles de dĂ©coration comme des objets dĂ©co en teck, de vĂ©ritable pierre naturelle en forme d''escargot ou encore des totems authentiques libre cours Ă  vos envies et optez pour l''exotisme Ă  porter de main. Coquillage, vase racine teck, escarg...Donnez une touche d''ambiance exotique Ă  votre habitat, nous vous proposons de nombreux modĂšles de dĂ©coration comme des objets dĂ©co en teck, de vĂ©ritable pierre naturelle en forme d''escargot ou encore des totems authentiques libre cours Ă  vos envies et optez pour l''exotisme Ă  porter de main. Coquillage, vase racine teck, escargot, lampe galet de riviĂšre, boule de teck, statue Ă©lĂ©phant, arbre Ă  chat en teck, banc en teck, console en racine de teck, et des sculpture en bois pour une ambiance unique. DĂ©tailsJardin Il y a 46 Statue et bouddhaVous trouverez la sĂ©rĂ©nitĂ© parmi nos nombreuses Statues Ă  l'ambiance exotique bouddha, ganesh, dog, Ă©lĂ©phant ... Elles peuvent aussi bien s'installer Ă  l'intĂ©rieur pour une dĂ©coration originale et relaxante ou Ă  l'extĂšrieur pour sublimer votre trouverez votre choix parmi des statues en pierre de lave verte d'IndonĂ©sie, vĂ©ritable pierre naturelle, ou alors des statues intĂ©gralement en ciment de diffĂ©rentes statues en pierre de lave verte de Bouddha sont rĂ©alisĂ©es sur l'Ăźle de Bali par des artisans qui utilisent les mĂ©thodes ancestrales de sculpture indonĂ©sienne. La pierre de lave comporte des "taches" de couleurs variĂ©es qui ne sont autre que des cailloux amalgamĂ©s Ă  la lave en fusion et rĂ©vĂ©lĂ©s lors de la taille de la statue. C'est ce qui donne une partie de son unicitĂ© Ă  chaque sculpture. La pierre de lave ne craint ni les intempĂ©ries ni le gel, c''est le matĂ©riau parfait pour votre statue en pierre d''extĂ©rieur, idĂ©al pour dĂ©corer votre jardin ou plonger votre espace piscine dans une ambiance votre sagesse et votre Ă©veil avec nos nombreuses statues. Fontaine Ă  dĂ©bordementVous trouverez la sĂ©rĂ©nitĂ© parmi nos nombreuses fontaines Ă  l''ambiance peuvent aussi bien s''installer Ă  l''intĂ©rieur pour une dĂ©coration relaxante et contemporaine, ou dans votre jardin. Toutes nos fontaines sont fabriquĂ©es en ciment, fibrociment ou en terrazo pour leur soliditĂ© et leur durabilitĂ© dans le murmure apaisant de l'eau qui s'Ă©coule aide Ă  crĂ©er une ambiance relaxante et dĂ©stressante et donne une ambiance zen. Objets dĂ©co Luminaire Parement mural en... RĂ©sultats 25 - 46 sur 46. 44,76 € 49,76 € Achat pour 36 cartons minimum 1 palette Promo ! Parement forte Ă©paisseur pierre Ardoise... 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Statuette Dieu Ganesh ciment noir... Cette statuette du Dieu Ganesh apportera une touche d'harmonie Ă  votre jardin. Long de 45 cm de couleur noir. dimension H30 cm / L20 cm / P15 cmLIVRAISON OFFERTE À partir de 150€ d'achat 60,00 € 80,00 € Disponible Statuette Elephant sacrĂ© debout ciment... Cette statuette d'un Ă©lĂ©phant sacrĂ© en position debout apportera une touche d'harmonie Ă  votre jardin. Long de 45 cm de couleur noir. dimension H30 cm / L45 cm / l17 cmLIVRAISON OFFERTE À partir de 150€ d'achat 60,00 € 80,00 € Disponible Statuette Elephant sacrĂ© assis ciment noir... Cette statuette d'un Ă©lĂ©phant sacrĂ© en position assise apportera une touche d'harmonie Ă  votre jardin. Hauteur de 30 cm de couleur noir. dimension H30 cm / L37 cm / l25 cmLIVRAISON OFFERTE À partir de 150€ d'achat 60,00 € 80,00 € Disponible 83,00 € 128,00 € Disponible Promo ! 83,00 € 128,00 € Disponible Promo ! 83,00 € 128,00 € Disponible Promo ! 83,00 € 128,00 € Disponible Promo ! 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Dimension H 130 cm / L 150 cm / l 75 cm 810,00 € 910,00 € Disponible RĂ©sultats 25 - 46 sur 46. LecondamnĂ© Ă©tait installĂ© sur une chaise et le garrot lui Ă©tait passĂ© autour du cou. Le bourreau actionnait alors une vis qui passait dans un poteau ayant pour rĂŽle de maintenir le garrot. Le collier se resserrait plus ou moins vite selon le dĂ©sir ou non de faire mourir vite le condamnĂ©, il Ă©tait serrĂ© jusqu’à ce qu’il comprime le larynx et cause la mort par asphyxie. CondamnĂ© La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre P CodyCross Solution ✅ pour CHAISE INSTALLÉE SUR UN ÉLÉPHANT EN ASIE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "CHAISE INSTALLÉE SUR UN ÉLÉPHANT EN ASIE" CodyCross Sports Groupe 145 Grille 2 10 1 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Sports Solution 145 Groupe 2 Similaires
ChaiseInstallĂ©e Sur Un ÉlĂ©phant En Asie; État D'une Femme Qui Est Éprise De Quelqu'un; Philosophie PrĂŽnant La Recherche Du Plaisir; Fille Insolente ; Film Avec Charlotte Gainsbourg; Similaires. Personne Etudiant La Langue De L Empire Romain; Cet Empire Fut Aussi L'empire Romain D'orient; Cet Empire Fut Aussi L Empire Romain D Orient ; SpĂ©cialiste De La Langue
Un safari au Sri Lanka, pour aller voir des Ă©lĂ©phants un rĂȘve pour beaucoup, non ? C’était en tout cas l’un des miens et je n’ai pas Ă©tĂ© déçue ! C’était mon tout premier safari et j’ai vĂ©cu un vrai moment d’émotion lorsque j’ai pu voir ces Ă©normes pachydermes en libertĂ© pour la premiĂšre fois. Ils sont tellement majestueux ! Ces animaux dĂ©gagent une force tranquille et paisible j’ai adorĂ© passer du temps Ă  les admirer. Je suis allĂ©e deux fois dans le Parc national de Kaudulla qui peut s’écrire aussi Kawdulla, un parc aisĂ©ment accessible depuis Polonnaruwa grande ville la plus proche, Minneriya, Sigiriya, Habarana ou Dambulla. Une fois au mois de fĂ©vrier saison humide, mais j’ai eu du beau temps ! lors de mon premier voyage au Sri Lanka et une fois au mois d’aoĂ»t saison sĂšche, lorsque je suis retournĂ©e au Sri Lanka suite Ă  mon coup de cƓur pour le pays quelques mois auparavant ! Et comme j’y retournais avec mon mari qui n’était pas lĂ  lors du premier voyage et que notre itinĂ©raire nous conduisait dans ce coin-lĂ  pour diffĂ©rentes raisons mĂ©tĂ©o Ă  cette saison et variĂ©tĂ© des choses Ă  faire, puisque situĂ© en plein dans le triangle culturel!
 HĂ© bien je suis retournĂ©e Ă  Kaudulla et ai Ă©tĂ© une nouvelle fois Ă©merveillĂ©e ! Je vous raconte? OĂč voir des Ă©lĂ©phants au Sri Lanka? Dans les Parcs nationaux!Minneriya national park ou Kaudulla national park ?Safari dans le Parc national de KaudullaQuelle saison pour un safari Ă  Kaudulla ?Quelle est la meilleure heure pour voir les Ă©lĂ©phants ?Vous prĂ©parez votre voyage au Sri Lanka? OĂč voir des Ă©lĂ©phants au Sri Lanka? Dans les Parcs nationaux! Petit rappel prĂ©alable car je sais que tout le monde n’en a pas forcĂ©ment conscience ne faites jamais de balades Ă  dos d’élĂ©phants ! Cela peut sembler tentant comme ça et l’on vous le proposera certainement au Sri Lanka ou ailleurs encore que je l’aie peu vu au Sri Lanka, les mentalitĂ©s changent peu Ă  peu !. Les Ă©lĂ©phants sont dressĂ©s dans des conditions assez horribles des mĂ©thodes trĂšs violentes sont utilisĂ©es et les Ă©lĂ©phants finissent mutilĂ©s et dressĂ©s » car simplement rĂ©signĂ©s Ă  leur triste sort. DĂ©cider de faire un tour Ă  dos d’élĂ©phant, c’est encourager ce genre de pratiques
 Et ne vous dites pas non plus oh mais de toutes façons le mal est fait pour cet Ă©lĂ©phant lĂ , alors je peux bien monter dessus quand mĂȘme » oui, j’ai dĂ©jĂ  entendu ce raisonnement ! vous contribuez dans tous les cas Ă  crĂ©er une demande pour ce type d’activitĂ©s, demande que les locaux voudront satisfaire en continuant Ă  dresser violemment les Ă©lĂ©phants
 Si vous avez envie de voir des Ă©lĂ©phants et vous avez bien raison, car c’est un bel animal !, allez les observer dans leur environnement naturel ! C’est plutĂŽt ce genre d’initiative qu’il faut soutenir, non ? Le Sri Lanka compte de trĂšs nombreux parcs nationaux rĂ©partis sur toute l’üle. Je suis pour ma part allĂ©e dans celui de Kaudulla, dont je vais vous parler, mais il y a aussi par exemple le parc d’Udawalawe dans le sud de l’üle, qui est trĂšs connu. On peut aussi bien sĂ»r s’interroger sur le fait d’avoir plein de jeeps autour des Ă©lĂ©phants plusieurs heures par jour n’est ce pas gĂȘnant Ă©galement ? De mon cĂŽtĂ©, je pense que c’est un bon compromis Ă  condition que les voitures respectent les rĂšgles de distance, etc. D’aprĂšs ce que j’ai vu, c’est globalement le cas mĂȘme si certains ont des comportements limite mais ce n’est vraiment pas la majoritĂ© et il y a des contrĂŽles. Il me semble que le tourisme et les rĂ©serves sont plutĂŽt une belle chance pour sauver ces animaux de la disparition en crĂ©ant une certaine Ă©conomie autour d’eux tout en les respectant ce qui est le cas dans les parcs nationaux et non lorsque l’on grimpe dessus !, on s’assure ainsi de la prĂ©servation de l’espĂšce
 De plus, les tarifs d’entrĂ©e semblent peut-ĂȘtre chers, mais si cela peut aider Ă  conserver le parc et Ă  avoir davantage de personnel qui veille au respect des rĂšgles, je suis ravie de donner cet argent ! Vous cherchez une agence pour organiser votre voyage? Je peux vous conseiller la plateforme Evaneos, qui met en relation des particuliers et des agences locales dans diffĂ©rents pays. Un super systĂšme car les agences sont rigoureusement sĂ©lectionnĂ©es et le prix payĂ© va en grande majoritĂ© Ă  l'agence locale on bĂ©nĂ©ficie ainsi de l'expĂ©rience d'un habitant et on fait vivre l'Ă©conomie du pays! Evaneos permet de construire votre itinĂ©raire sur mesure. Un Ă©change avec l'agent local permet de lui expliquer votre style de voyage, ce que vous aimez faire, voir, etc. J'ai pu tester les services d'Evaneos lors d'un voyage au SĂ©nĂ©gal et en ai Ă©tĂ© trĂšs satisfaite! Demandez un devis gratuit ici pour le Sri Lanka Si vous faites une demande de devis via ce lien, je recevrai une petite commission mais vous ne paierez pas plus cher. Merci d'avance, cela m'aide Ă  continuer ce blog! 🙂 Minneriya national park ou Kaudulla national park ? Le parc national de Minneriya est largement plus connu que celui de Kaudulla. Pourtant, ils sont situĂ©s exactement dans le mĂȘme coin. Ces deux parcs nationaux sont en fait tellement proches qu’ils sont reliĂ©s et que les animaux passent ainsi aisĂ©ment de l’un Ă  l’autre. Le parc national de Kaudulla a en effet Ă©tĂ© créé pour servir de passage entre le parc national de Minneriya, celui de Wasgomuwa au sud et de Somawathiya Ă  l’est. Ainsi, les Ă©lĂ©phants se dĂ©placent Ă  leur guise dans tous ces diffĂ©rents espaces ! J’ai vu que certains guides indiquaient les meilleurs mois pour aller Ă  l’un ou l’autre, mais c’est une information peu pertinente d’aprĂšs mon expĂ©rience et ce que j’ai pu entendre des locaux. Les Ă©lĂ©phants peuvent ĂȘtre dans l’un ou l’autre des parcs aux diffĂ©rentes saisons ou les deux, ils ne sont pas forcĂ©ment tous au mĂȘme endroit ! et le mieux est d’écouter ce que les locaux vous diront une fois sur place. A certaines pĂ©riodes, ils vous conseilleront plutĂŽt l’un ou l’autre car ils savent oĂč sont les Ă©lĂ©phants fiez-vous Ă  ce qu’ils disent et ne vous inquiĂ©tez pas, c’est aussi dans leur intĂ©rĂȘt que vous voyiez des Ă©lĂ©phants et repartiez satisfait ! D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, le parc national de Kaudulla est moins connu et a donc moins de visiteurs on y est nettement plus au calme, d’aprĂšs ce que des locaux ont pu me dire les deux fois oĂč j’étais dans le coin. C’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai visitĂ© deux fois Kaudulla et non Minneriya. D’une part, parce qu’il y avait apparemment davantage d’élĂ©phants Ă  Kaudulla lorsque j’y Ă©tais en fĂ©vrier puis en aoĂ»t, durant la saison humide et la saison sĂšche, donc, mais aussi parce que Minneriya m’a Ă©tĂ© fortement dĂ©conseillĂ©e du fait de la foule. En plus, l’entrĂ©e dans le parc est beaucoup moins chĂšre Ă  Kaudulla je n’ai pas le chiffre exact mais plus ou moins du simple au double. Cela fait pas mal de bonnes raisons d’opter pour Kaudulla, non ? Safari dans le Parc national de Kaudulla Je vous le disais plus haut, j’ai fait deux safaris Ă  Kaudulla au mois de fĂ©vrier et au mois d’aoĂ»t. Dans les deux cas, j’en suis repartie enchantĂ©e du spectacle auquel j’avais eu la chance d’assister ! Il est facile de trouver une jeep et un chauffeur pour vous emmener faire un safari. Votre hĂŽtel en proposera certainement, mais aussi des gens que vous rencontrerez dans le coin, etc
 Pas besoin de vous prendre la tĂȘte en avance, vous trouverez mĂȘme au dernier moment ! Il suffira de comparer un peu les prix mĂȘme s’il n’y a pas forcĂ©ment d’écarts Ă©normes. Le prix total se divise entre le ticket d’entrĂ©e dans le parc prix d’environ 25 dollars par personne et le prix de la jeep dans les 30€, sachant qu’on peut ĂȘtre entre 2 et 6 par jeep, 6 risquant d’ĂȘtre assez peu confortable mais 4 Ă©tant bien. Comptez une demi-journĂ©e pour aller faire un safari. Entre le moment oĂč vous partez de votre hĂŽtel pour faire le trajet on vous propose toujours de venir vous chercher Ă  l’hĂŽtel, ce qui est bien pratique, celui oĂč vous entrez sur le chemin du parc, la queue pour acheter les billets oĂč vous allez vous demander ce que vous faites lĂ  vu le nombre de jeeps au mĂštre carrĂ©, mais je vous rassure cela va mieux aprĂšs !, les 2h environ d’observation des animaux et le retour, cela prend un peu de temps mais cela vaut largement le coup. Une fois entrĂ© dans le parc national de Kaudulla, l’aventure commence ! On sillonne les chemins, tantĂŽt assis, tantĂŽt installĂ© debout Ă  l’arriĂšre de la jeep les chauffeurs ouvrent les bĂąches de toit, chahutĂ©s par les orniĂšres rencontrĂ©es en cours de route. PlutĂŽt amusant, sauf bien sĂ»r si vous avez des problĂšmes de dos ! Le parc en lui-mĂȘme est superbe d’immenses plaines, de grandes Ă©tendues d’eau, de la forĂȘt
 Il y a en tout 6 900 hectares ! De quoi faire un bel habitat pour les nombreux habitants de Kaudulla. Il n’y a en effet pas que des Ă©lĂ©phants, mais aussi d’autres mammifĂšres, des reptiles et de trĂšs nombreux oiseaux. En plus des Ă©lĂ©phants, j’ai pu voir beaucoup de buffles sauvages et d’oiseaux n’y connaissant rien, je ne peux pas vous dire quelles espĂšces en revanche !. Les chauffeurs de jeep connaissent bien les coins oĂč sont les troupeaux d’élĂ©phants et vous mĂšnent Ă  diffĂ©rents endroits. A chaque fois, on s’arrĂȘte et on coupe le moteur, ce qui fait du bien surtout lorsque par miracle tout le monde le coupe en mĂȘme temps ! et on
 profite du spectacle ! Des Ă©lĂ©phants qui mangent en coupant l’herbe avec leur trompe, certains qui jouent, d’autres qui marchent paisiblement, des mĂšres avec leurs petits
 C’est juste gĂ©nial Ă  observer ! Il faut souvent repartir un peu trop vite, car il faut laisser la place pour les suivants, mais on a tout de mĂȘme vraiment le temps de regarder ces impressionnants pachydermes. Le safari dans le parc dure environ 2h, qui passent bien vite en compagnie des Ă©lĂ©phants ! Plus qu’à rentrer et trier les trop nombreuses photos d’élĂ©phants que vous aurez prises 😉 Petit conseil d’ailleurs en parlant de photo, pensez Ă  emporter un zoom si vous pouvez! Quelle saison pour un safari Ă  Kaudulla ? La meilleure saison est normalement la saison sĂšche, qui s’étend dans cette rĂ©gion du Sri Lanka de mars Ă  octobre. Parmi ces mois, les mois d’étĂ© juillet-aoĂ»t-septembre sont rĂ©putĂ©s ĂȘtre les meilleurs pour observer les Ă©lĂ©phants car c’est Ă  cette pĂ©riode qu’a lieu le Grand rassemblement » les Ă©lĂ©phants se rĂ©unissent autour des immenses points d’eau se trouvant dans les parcs nationaux. Ce grand rassemblement aurait lieu plutĂŽt vers aoĂ»t Ă  Minneriya et septembre Ă  Kaudulla, d’aprĂšs ce que j’ai pu lire. Dans les faits, lorsque j’étais dans le coin en aoĂ»t, les Ă©lĂ©phants Ă©taient dans les deux ! J’ai en effet peut-ĂȘtre vu davantage d’élĂ©phants au mois d’aoĂ»t, mais n’ai vraiment pas Ă©tĂ© frustrĂ©e non plus en fĂ©vrier il y en avait dĂ©jĂ  plein Ă  observer, et trĂšs honnĂȘtement ce n’est pas la quantitĂ© qui compte. Ce n’est pas parce qu’on voit plus d’élĂ©phants qu’on est plus heureux, c’est plutĂŽt le fait d’avoir le temps de les observer qui vous donne un sourire jusqu’aux oreilles ! De plus, il y avait nettement plus de monde en aoĂ»t, ce qui a rendu l’expĂ©rience moins sereine. En fĂ©vrier, il y avait sans doute une vingtaine de jeeps en mĂȘme temps, en aoĂ»t c’était plutĂŽt une cinquantaine. Ceci entraĂźne beaucoup de bruit et des comportements des chauffeurs un peu moins respectueux Ă  mon avis chacun cherche Ă  Ă©pater son client c’est un peu la course au pourboire et Ă  avoir une meilleure place que le voisin, ce qui conduit parfois Ă  s’approcher trop prĂšs des animaux. Je parle d’expĂ©rience, notre chauffeur nous a une ou deux fois fait un peu honte, et ce n’était pas Ă©vident de lui expliquer que notre but n’était pas de griller la prioritĂ© Ă  tout le monde ni de nous approcher au plus prĂšs. Point positif, le personnel du parc national veille et ne se gĂȘne pas pour rappeler les rĂšgles aux chauffeurs et prendre leur numĂ©ro de plaque. C’est juste dommage qu’ils ne soient pas plus nombreux. Les Ă©lĂ©phants se chargent aussi de remettre les idĂ©es en place Ă  tout le monde ils ne semblent franchement pas perturbĂ©s par la prĂ©sence de ces voitures et humains si ceux-ci restent Ă  une distance raisonnable, mais savent bien faire comprendre lorsque les jeeps sont trop prĂšs, surtout s’il s’agit d’une mĂšre avec un petit ! Et lĂ , c’est un peu panique Ă  bord mais au moins aprĂšs, tout le monde reste Ă  sa place 😉 Quelle est la meilleure heure pour voir les Ă©lĂ©phants ? Comme souvent pour observer les animaux, les meilleures heures semblent ĂȘtre le matin et en milieu/fin d’aprĂšs-midi Ă  partir de 15h en gros. Vers midi, les animaux ont tendance Ă  essayer de trouver de l’ombre pour Ă©chapper aux grosses chaleurs. De mon cĂŽtĂ©, j’y suis allĂ©e Ă  chaque fois dans l’aprĂšs-midi et c’était parfait ! YtOl1f.
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