Dansl’interprétation des rêves en Islam, les enfants et les bébés peuvent indiquer beaucoup de choses à la fois négatives et positives.Par ailleurs, le fait qu’on rêve d’un petit garçon ou d’une petite fille offre des sens différents, une fille indiquant généralement de bonnes choses.Mais le sens le plus général et le plus basique d’un bébé dans un rêve est l
Les règles sont toujours présentes, le ventre ne grossit pas et il n’y a pas ou peu de prise de poids. Jusqu’à un certain moment et plus rarement, jusqu’au terme de la grossesse, les symptômes caractéristiques de la grossesse – nausées, fatigue, mal de dos – sont absents. Par ailleurs, Comment savoir si l’on est dans le déni ? Une personne qui est dans le déni a tendance à être sur la défensive en permanence et à se braquer dès lors quon lui fait remarquer quelle semble fuir une conversation ou une situation qui la dérange. Elle va nier l’existence du problème tu racontes n’importe quoi, tout va très bien ! néanmoins Comment savoir si on fait un déni de grossesse test de grossesse ? Mais, aussi incroyable que cela puisse paraitre, le déni se caractérise par l’absence de signes de grossesse. Pas de prise de poids ou peu 2 à 3 kg, pas de ventre. La silhouette reste la même. Parfois même, la femme a minci ! Comment ne pas confondre règles et grossesse ? Si vous avez un cycle menstruel bien réglé, le retard voire l’absence totale de règles, est bien souvent annonciateur d’une grossesse. Dans certains cas, des tiraillements dans le bas du ventre apparaissent en même temps. Les femmes avec des cycles plus irréguliers ne peuvent pas se fier à ces deux signes de grossesse. Sinon, Qui a eu des règles abondantes en début de grossesse ? En cas de grossesse, des saignements abondants peuvent être dus à une fausse couche, une grossesse môlaire, une grossesse extra-utérine ou un décollement de l’œuf. Il faut alors consulter très rapidement. Quand on est dans le déni ?Comment parler à quelqu’un qui est dans le déni ?Comment parler à une personne dans le déni ?Quand on fait un déni de grossesse Est-ce que le test est positif ?Quand on fait un déni de grossesse le test est négatif ?Est-ce que quand on fait un déni de grossesse le test est négatif ?Comment je peux savoir si je suis enceinte avant mes règles ?Quels sont les premiers signes de grossesse avant les règles ?Pourquoi j’ai l’impression d’être enceinte ?Est-ce possible d’avoir ses règles et d’être enceinte ?Est-ce possible d’avoir ses règles en début de grossesse ?Est-il possible d’avoir ses règles pendant une grossesse ?Comment Appelle-t-on une personne qui n’accepte pas la vérité ?Comment fonctionne le déni ?Qu’est-ce que le clivage en psychologie ?Pourquoi certaines personnes sont dans le déni ?Comment sortir du refoulement ?Est-il possible de faire un déni de grossesse en y pensant ?Qui a déjà eu un test négatif mais enceinte ?Aller plus loin Quand on est dans le déni ? Le déni désigne un refus de reconnaître la réalité d’une perception traumatisante. Il s’agit d’un mécanisme de défense inconscient qui constitue une protection nécessaire devant la réalité si angoissante qu’elle peut provoquer un effondrement psychique. Comment parler à quelqu’un qui est dans le déni ? Sortir du déni est une affaire délicate. Elle exige de la volonté et de l’ouverture d’esprit mais surtout de faire preuve d’humilité, de beaucoup d’humilité. La capacité de voir et d’accepter une vérité sur soi peut être si bouleversante lorsque l’Ego, toutes griffes dehors se tient prêt. Comment parler à une personne dans le déni ? L’aidant doit pouvoir faire la part entre le non-dit la personne a intégré l’information mais ne souhaite pas en parler, et la dénégation. Pour cela, la relation avec la personne malade doit être suffisamment empathique, ou être sous tendue d’une disponibilité d’esprit suffisante. Quand on fait un déni de grossesse Est-ce que le test est positif ? Deux types de dénis peuvent survenir chez les femmes touchées par ce trouble. Le premier est le déni partiel, ce qui signifie que la grossesse est détectée avant terme. Cette découverte survient souvent par surprise en découvrant un test de grossesse positif ou en l’entendant de la bouche d’un spécialiste. Quand on fait un déni de grossesse le test est négatif ? Vous pouvez obtenir un résultat négatif avec votre test de grossesse pour deux raisons Vous n’êtes pas enceinte, ou vous êtes enceinte mais vous avez effectué le test trop tôt le test de grossesse que vous avez choisi n’a pas réussi à détecter l’hormone hCG hormone de la grossesse » dans votre corps. Est-ce que quand on fait un déni de grossesse le test est négatif ? Test de grossesse qu’est-ce qu’un faux négatif ? Bien qu’un test de grossesse urinaire possède une grande fiabilité, il arrive que celui-ci indique un résultat négatif alors que l’on est enceinte, qu’une grossesse est bel et bien en route. Comment je peux savoir si je suis enceinte avant mes règles ? Le seul moyen de savoir si vous êtes enceinte , c’ est de faire un test de grossesse le test urinaire peut être effectué à partir de la date à laquelle vous devriez avoir vos règles ; le test urinaire de détection précoce peut être effectué jusqu’à 6 jours avant la date à laquelle vous devriez avoir vos règles ; Quels sont les premiers signes de grossesse avant les règles ? Absence de règles . Si votre cycle menstruel est régulier, l’absence de règles est souvent le premier signe physique. … Modifications de vos seins. … Fatigue. … Nausées/nausées matinales. … Hyperémèse gravidique. … Envie d’uriner plus fréquente. … Sautes d’humeur. … Troubles du goût envies et sensibilité aux odeurs. Pourquoi j’ai l’impression d’être enceinte ? Souvent, une femme a un rêve de grossesse, un désir qui provient de l’inconscient qui lui fait ressentir qu’elle est enceinte. L’intuition ne tombe jamais du ciel, elle provient du psychique. De nombreux facteurs peuvent jouer. Est-ce possible d’avoir ses règles et d’être enceinte ? Enceinte malgré les règles C’est possible ! En début de grossesse, de légers saignements peuvent se produire, ce qui donne l’impression que vous êtes enceinte malgré les règles. Cependant, ce saignement est plus faible, plus irrégulier et ne dure pas aussi longtemps que les règles. Est-ce possible d’avoir ses règles en début de grossesse ? Elles arrivent plus souvent au premier mois de grossesse, mais elles peuvent aussi revenir pendant quelques mois encore. Donc, les règles pendant la grossesse, ce n’est pas impossible! Même si vous pensiez en avoir fini avec elles, il est donc possible que vos règles réapparaissent en début de grossesse. Est-il possible d’avoir ses règles pendant une grossesse ? Quand on est enceinte, on ne peut pas avoir de règles. En effet, la grossesse arrête les règles. Mais pendant une grossesse, on peut avoir des saignements. Dans ce cas, il faut consulter un médecin car ce n’est pas normal. Comment Appelle-t-on une personne qui n’accepte pas la vérité ? En psychologie comportementale, le dénialisme denialism est le choix de nier un fait ou un consensus sans justification rationnelle. Le terme adéquat est dénégation » ; mais le terme de déni » est plus souvent employé, par abus de langage et par anglicisme. Comment fonctionne le déni ? C’est ce que l’on appelle le déni un mécanisme de défense consistant à nier l’existence d’un événement ou d’une situation perçus comme trop menaçants pour le psychisme. Ce comportement sert donc à se protéger, mais aussi, souvent, à rassurer son entourage. Qu’est-ce que le clivage en psychologie ? Le clivage c’est le premier mécanisme de défense psychotique, ou primaire. Le clivage concerne soit l’Objet, soit le Moi. Dans le clivage, l’Objet est séparé en 2 parties, bonnes ou mauvaises, ayant des destins indépendants bon et mauvais Objet. Pourquoi certaines personnes sont dans le déni ? Le déni est une réponse aux conflits et aux stress en refusant de reconnaître certains aspects douloureux de la réalité externe ou de l’expérience subjective qui seraient évidents pour les autres » DSM-IV. Cette définition recouvre la réalité psychique et la réalité externe. Comment sortir du refoulement ? Le refoulement est difficile d’accès, le traitement peut être médicamenteux mais c’est surtout la psychanalyse qui peut aider; la méthode psychanalytique essaie de lever ce refoulement » explique le Pr Landman. Exemple de cas une femme qui ne sortait plus de chez elle. Est-il possible de faire un déni de grossesse en y pensant ? La réponse de l’expert Vous ne pouvez pas faire un déni de grossesse ! Le déni, c’est ne pas penser à une grossesse alors qu’on est enceinte. Qui a déjà eu un test négatif mais enceinte ? Faux négatif dû à un taux de bêta-HGC naturellement bas. Vous pouvez également avoir quelques jours de retard et avoir un taux de bêta-HGC très bas. Vous êtes enceinte, mais le test ne détectera pas l’hormone de grossesse. Ceci est dû au fait que les niveaux de bêta HCG peuvent varier d’une femme à l’autre. Aller plus loin Référence 1 Référence 2 Référence 3 Référence 4 Reference 5
Ledéni de grossesse est le comportement inconscient de négation du fait d'être enceinte que présentent certaines femmes par méconnaissance de leur grossesse, les changements liés à la grossesse étant biologiquement réduits ou incorrectement perçus. Une grossesse niée évolue à l'insu de la femme qui peut ne pas sentir qu'elle est enceinte, ou alors ne pas faire de lien entre Émergence du tableau clinique1Les cas cliniques de déni de grossesse sont observés et connus depuis longtemps, bien que n’étant pas nommés ainsi. Dans la littérature française, Naima Grangaud 2002 a réalisé un historique concernant l’apparition de cette entité, complété ensuite par Laurence Carlier 2009 [4]. 2Dès 1681, le Dr. François Mauriceau gynécologue postule que la ?méconnaissance?» d’une grossesse peut exister et être induite par des saignements menstruels persistant au cours de celle-ci. Les toutes premières descriptions de grossesses non reconnues comme telles sont rapportées par Estienne Esquirol en 1838, chez des patientes présentant des troubles psychiques. Cet auteur expose le cas d’une jeune femme ayant accouché dans les latrines et tué son enfant de plusieurs coups de ciseaux. L’absence de réaction de regret et le refus de s’alimenter de la jeune femme questionnent particulièrement cet auteur qui parlera d’un accès de délire au décours de l’accouchement. 3Son élève Louis-Victor Marcé mentionne, vingt ans plus tard, dans son Traité de la folie des femmes enceintes, des nouvelles accouchées et des nourrices, les grossesses ?ignorées?», en les distinguant des grossesses dissimulées. Cependant, ces cas cliniques sont à l’époque associés à une pathologie mentale en particulier dans le cas des psychoses à caractère hallucinatoire et ne sont pas davantage étudiés. Marcé distingue néanmoins les grossesses dissimulées, car socialement réprouvées, des grossesses ignorées associées à la pathologie. 4Le Dechambre dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, en 1865, consacre plusieurs chapitres à la question des ?grossesses méconnues?». Il admet que des grossesses puissent être ignorées des médecins mais non des femmes elles-mêmes. Il s’agit pour lui plutôt d’une dissimulation de grossesse. En arrière plan, on note la question de la responsabilité des femmes infanticides, qui à cette époque risquent la peine capitale. Auguste-Ambroise Tardieu médecin légiste criminologue, en 1874, rapporte lui aussi des situations similaires de grossesses méconnues, avec le même point de vue, c’est-à-dire une remise en cause du discours de ces femmes. 5La même année, une étude de cas est pourtant publiée par Isham. Il propose l’hypothèse suivante? ?Il n’est peut-être pas rare qu’une grossesse se développe jusqu’à l’accouchement chez un sujet qui n’en a pas conscience.?» Il est donc le premier à postuler la possible non-conscience de la femme au sujet de sa propre grossesse. 6Proposée par Gould en 1898, arrive dans la littérature l’appellation de ?grossesses inconscientes?», dans une tentative de dégager une entité clinique spécifique. Il se réfère à une étude portant sur 12 cas et conclut en termes épidémiologiques qu’il s’agit de ?femmes primipares ou multipares, jeunes ou d’âge mûr, la plupart mariées et exemptes de pathologie mentale identifiée, qui n’ont pas conscience de leur grossesse et prennent leur accouchement pour des crises de coliques?». 7En 1900, Paul Brouardel médecin légiste développe dans l’un de ses livres un chapitre qui s’intitule? ?Une femme peut-elle être enceinte à son insu???» Il reconnaîtra que l’ignorance d’une grossesse est envisageable dans ?certaines conditions?» mais ne développera pas davantage la question. 8Enfin, Hélène Deutsch, dans son ouvrage sur la psychologie des femmes 1949, cite des cas de femmes qui ?nient leur grossesse en toute bonne foi?» et chez lesquelles ?la maternité biologique ne mène pas à l’esprit maternel ». Toutefois, elle non plus n’approfondira pas ses clinique du déni de grossesse9L’entité clinique du déni de grossesse voit le jour dans la littérature psychiatrique tardivement, dans les années 1970 Bécache, 1976. En suivant l’évolution chronologique des réflexions autour de cette entité clinique, le premier article paraissant sous cette dénomination rapporte l’étude de cas d’une femme souffrant de schizophrénie. C’est dans la littérature française, dans un premier temps Bécache, 1976, que déni de grossesse et psychose apparaissent liés, ainsi que le suggèrent les publications anglo-saxonnes de la même époque Slayton, 1981. En opposition à cette hypothèse, dans les années 80, certains auteurs Berns, 1982?; Finnegan, 1982?; Milstein, 1983 rapportent des études de cas où le déni de grossesse semble être un événement isolé de tout autre antécédent psychiatrique ou psychopathologique, ce qui conduit certains à parler de trouble de l’adaptation Brezinka, 1994?; Spielvogel, 1995. Un parallèle est proposé entre cette forme de déni et celle qui est observée chez certains sujets, sans antécédent psychiatrique, lorsqu’apparaît le déni d’une maladie somatique grave Strauss, 1990. 10En 1991, Laura J. Miller et coll. insistent particulièrement sur la distinction entre déni de grossesse psychotique et non psychotique et proposent de faire figurer ?le déni de grossesse?» en tant que tel dans le DSM-4. Ceci n’aboutira pas. Klaus Beier et coll en 2006 tentent également d’inclure ce tableau clinique au sein des classifications internationales. Comme le montre donc un certain nombre d’auteurs Berns, 1982?; Finnegan, 1982?; Milstein, 1983?; Brezinka, 1994?; Wessel, 2002, le déni de grossesse pourrait se révéler lié à des troubles moins pathologiques qu’initialement énoncés. À cet effet, s’est créée l’AFRDG association française pour la reconnaissance du déni de grossesse fondée en 2007. Colloques et journées scientifiques s’organisent alors spécifiquement sur ce thème du déni de grossesse Bayle, 2009?; Seguin et coll, 2009. 11Actuellement, le déni de grossesse désigne ?par convention la non-reconnaissance d’une grossesse au delà du premier trimestre de grossesse et peut se prolonger jusqu’à l’accouchement et recouvrir ce dernier?» Grangaud, 2001. 12Considéré par grand nombre des auteurs notamment Dayan, Bonnet, Bayle, Marinopoulos comme un symptôme, Dayan 1999 le définit comme ?recouvrant un ensemble de configurations psychiques ayant en commun l’ambivalence du désir d’enfant?». Notons que cet auteur différencie le déni de grossesse de la dénégation où les femmes ont plus ou moins conscience de leur état gravide mais ne l’acceptent pas. 13Sophie Marinopoulos 1997 distingue le déni partiel et le déni total de grossesse où c’est l’accouchement qui permet la levée du déni. Selon elle, c’est le déni total qui peut inquiéter la vie de l’enfant, tandis que le déni partiel est plus mobilisé pour le protéger. Les mouvements fœtaux, même s’ils sont ressentis tardivement par la mère, participent à la dissolution du déni vers le 4-5e mois de grossesse, parfois au-delà. Une grande culpabilité apparaît alors à la levée du déni. La mère pense avoir mis la vie du fœtus en danger. L’étude de Christoph Brezinka 1994 illustre ce fait? sur 27 dénis de grossesse, 7 femmes ont pris conscience de leur grossesse à l’occasion d’une complication obstétricale mort in utero par exemple entre 21 et 26 semaines d’aménorrhée. L’auteur se demande si ces femmes se savaient enceintes tout en ne voulant pas l’admettre, tant que la grossesse se déroulait bien. 14La tendance actuelle est d’attribuer aux grossesses non reconnues comme telles le terme de ?négation de grossesse?» dans le cadre d’un fonctionnement psychique non psychotique, et celui de ?déni de grossesse?» pour parler de celles ayant une pathologie psychotique avérée ou découverte à cette occasion Bayle, Dayan. 15Pour tenter de trouver une dénomination en adéquation avec les conséquences du tableau clinique, Jean-Marie Delassus 2009 parle de syndrome de l’enfant invisible, où la femme, plutôt que de dénier sa grossesse, ?subit un aveuglement qui s’impose à elle?». Il semble que cette proposition suggère un rôle de l’enfant invisibilité dont on ne comprend pas très bien comment il pourrait y contribuer. Pour la majorité des auteurs, il s’agirait plutôt des conséquences de la position maternelle. L’hypothèse de Delassus aurait comme avantage de soulager le sentiment parfois très fort de culpabilité des mères ayant vécu cette expérience troublante ?C’est l’enfant qui était invisible, voila pourquoi je ne l’ai pas vu?». Elle aurait une valeur pour faciliter l’abord thérapeutique mais aucune pertinence heuristique. 16Christoph Brezinka 2009 évoque l’idée d’un ?middle knowledge?» connaissance intermédiaire qui serait un état psychologique se situant entre le savoir et le non-savoir. Jacques Dayan 2009 le rejoint. Il explique qu’à travers des entretiens répétés et prolongés avec une dizaine de femmes après un déni de grossesse total, une conscience partielle de la grossesse semble avoir été préservée sous la forme de rêves, d’émotions, de modifications de leurs habitudes de vie quotidienne notamment alimentaires, pratiques sportives, consommation d’alcool et de tabac. Il considère alors que la plupart des dénis de grossesse ne serait pas des ?dénis?» au sens psychanalytique freudien et qu’il serait davantage question de dénégation. Seuls les dénis de cas extrêmes de pathologies schizophréniques seraient à considérer véritablement comme de grossesse et mécanismes de défense17Pour mieux comprendre la différence proposée par les auteurs entre les négations et les dénis de grossesse, il peut être utile de revenir sur les définitions proposées de ces deux mécanismes du déni18Le déni est un phénomène bien connu en psychiatrie, toutefois il est difficile d’en donner une définition psychiatrique tant l’utilisation de ce terme est galvaudée. On retrouve souvent des définitions dans les articles scientifiques, mais elles ne sont pas référencées? ?Le déni est un phénomène de refus du patient de prendre en compte une part de la réalité?» Bardou et coll., 2006. Les auteurs utilisent plus souvent des vignettes cliniques pour illustrer le déni. 19La définition psychanalytique nous semble alors plus riche et plus développée, ce terme étant employé par Sigmund Freud dans un sens spécifique. Il s’agit d’un ?mode de défense consistant en un refus par le sujet de reconnaître la réalité d’une perception traumatisante, essentiellement celle de l’absence de pénis chez la femme. Ce mécanisme est particulièrement invoqué par Freud pour rendre compte du fétichisme et des psychoses?» Laplanche et Pontalis, 1967. Freud fonde sa théorie et conceptualise le déni à partir de l’absence de pénis chez la petite fille? ?Elle l’a vu, sait qu’elle ne l’a pas et veut l’avoir […] L’espoir de finir par avoir tout de même un jour un pénis et par là de devenir égale à l’homme peut se maintenir jusqu’en des temps invraisemblablement tardifs et devenir le motif d’actions singulières, incompréhensibles autrement?» Freud, 1925. Bernard Penot 1989 précise que pour Freud le déni n’apparaît pas au départ comme quelque chose d’anormal en soi, ni de pathologique dans la première enfance, mais que sa persistance au-delà de la période phallique, et notamment chez l’adulte, ferait courir des risques sérieux à l’économie psychique et constituerait un temps premier de la psychose. 20Freud 1927 relie ensuite cette notion à celle du ?clivage du moi?». Ce dernier permet de maintenir deux positions contradictoires, comme reconnaître une situation tout en la niant. Freud pose le ?clivage du moi?» comme donnée essentielle à la problématique du déni, c’est-à-dire la coexistence possible dans le psychisme d’au moins deux dispositions mentales incompatibles et non articulées l’une avec l’autre quant à leur signification? ?L’une tient compte de la réalité, l’autre dénie la réalité en cause et met à sa place une production du désir. Ces deux attitudes persistent côte à côte sans s’influencer réciproquement?» Laplanche et Pontalis, 1967. Freud 1927 désigne alors le déni comme étant le mécanisme en jeu dans le fétichisme. Le pervers dénie la non-possession de pénis de la femme, car si elle est châtrée, c’est sur son pénis à lui que pèse la menace de la castration. Il distingue alors les sorts respectifs faits à la représentation et à l’affect dans la constitution du fétiche chez le pervers. Alors que l’affect est refoulé, ?pour le destin de la représentation, il serait juste de dire en allemand Verleugnung déni?». Le déni porte donc sur une représentation, dans le cas de la perversion, celle de la castration féminine. Dans ce cas, c’est le terme de désaveu qui est parfois retenu, mais rarement dans la littérature française, contrairement à ?disavowal?» en anglais. 21Notons toutefois que Penot 1989 préconise d’utiliser le verbe désavouer » plutôt que dénier en français, chaque fois qu’il s’agit de désigner la non-prise en compte d’une donnée de réalité et de la signification qu’elle peut comporter. Cet auteur ajoute qu’il ne s’agit pas tant pour Freud ?d’envisager le déni comme déni de quelque chose ce qui ramènerait à une forme de négation, mais bien plutôt comme rapport de rejet entre deux parties clivées du moi, se disqualifiant mutuellement?». 22Alors que le déni dont parle Freud concerne une réalité externe, Cléopâtre Athanassiou 1986 nous rappelle que Melanie Klein introduit le déni dans le monde interne? ce qui est clivé, dénié, n’est plus seulement dehors mais dedans. 23Annie Roux 2004 ajoute que le déni peut aussi être déni de sens, ou d’absence dans certains deuils, ou encore il peut porter sur la différence des générations et même sur l’individuation. Il peut intéresser des qualités de l’objet, affects ou représentations. Il viserait à supprimer l’ dénégation est un ?procédé par lequel le sujet, tout en formulant un de ses désirs, pensées, sentiments jusqu’ici refoulé, continue à s’en défendre en niant qu’il lui appartienne?» Laplanche et Pontalis, 1967. Le déni est donc à différencier de la dénégation. Les auteurs notent une difficulté à traduire ce terme ?Verneinung?» en allemand, qui pourrait aussi être défini comme négation. C’est d’ailleurs cette terminaison qui est choisie par Laplanche pour le texte de Freud ?La dé-négation?» de 1925. Il s’agit, selon lui, d’ ?une manière de prendre connaissance du refoulé, de fait de la suppression du refoulement, mais certes pas une acceptation du refoulé […] c’est seulement l’une des conséquences du processus du refoulement qui est abolie, celle qui consiste en ce que son contenu représentatif ne parvienne pas à la conscience?». Donc, pour résumer plus clairement? ?La névrose ne nie pas la réalité, elle veut seulement ne rien savoir d’elle?; la psychose la dénie et cherche à la remplacer?» Freud, 1924.Mécanismes de défense25Jacques Dayan 1999 fait un inventaire des mécanismes de défense qu’il a repérés chez des femmes après le cinquième mois de grossesse, dans des formes mineures de négation de celle-ci? dénégation, annulation, refoulement, déni, pensée magique, déréalisation névrotique et psychotique. Ces mécanismes psychiques témoigneraient, selon lui, de l’ambivalence du désir et de l’incapacité de ces femmes à la gérer, accompagnant l’hostilité parfois refoulée à l’égard de l’enfant. 26À travers le discours de ses patientes, Dayan distingue donc? 27?– La dénégation dans une formulation telle que? “Je ne suis pas enceinte, je ne me suis pas rendue compte que j’étais enceinte”?;–?dénégation ou annulation dans une formulation telle que? “J’ai bien pensé que j’étais enceinte mais je n’y ai pas cru”?;–?Le refoulement dans une formulation telle que? “Je savais que j’étais enceinte mais je n’y pensais pas”?;–?Le déni dans une formulation telle que? “Je suis enceinte puisque vous me le dites”?;–?La pensée magique dans une formulation telle que? “J’étais persuadée que je ne pouvais pas être enceinte, que je ne pouvais avoir un bébé ou qu’il allait mourir, je n’en voulais tellement pas”?;–?La déréalisation névrotique ou psychotique dans une formulation telle que? “J’ai eu un bébé mais j’ai pensé que ça n’était pas le mien”.?» 28Dans la perspective de définir au mieux le déni de grossesse, il nous semble important de réexaminer les amalgames et les confusions retrouvés dans la littérature au sujet des liens et conséquences qui entourent ce tableau clinique et qui rendent encore plus difficile la compréhension des mécanismes et amalgames autour du déni de grossesse29Le déni de grossesse est à dissocier des grossesses cachées, du néonaticide et de l’accouchement sous de grossesse et grossesses cachées30Laurence Roubaud et coll. 2001 font un parallèle entre le déni de grossesse et les grossesses cachées, en soulignant leurs ressemblances et leurs différences. Ils rapportent la non-perception par l’entourage dans un cas comme dans l’autre. La grossesse ne serait pas perçue par les proches. Ces auteurs remarquent une forte absence de référence au conjoint dans le discours de la femme sujette au déni, en opposition avec celles ayant caché leur grossesse, où le partenaire est omniprésent. Le conjoint serait vécu comme un persécuteur, les mères étant persuadées qu’il réclamerait un avortement. Chez celles-ci, l’enfant est fortement investi, ?dans un climat de toute-puissance narcissique des mères?». 31Toujours selon Roubaud, ce sont les conséquences de cette grossesse, c’est-à-dire la venue de l’enfant et non la grossesse elle-même, qui sont déniées car impensables dans les grossesses dissimulées. 32Les femmes ayant caché leur grossesse semblent avoir des profils plus pathologiques que celles qui l’ont déniée, avec des antécédents psychiatriques. Dans leur article, Roubaud et coll. 2001 parlent de 10 patientes dont 7 psychotiques dont 6 schizophrènes, et 3 souffrant de syndromes dépressifs antérieurs à la et infanticides33La définition du néonaticide est précise? il s’agit du meurtre, par sa mère ou son père, d’un enfant né depuis moins de 24 heures. Ce terme a été employé pour la première fois par Phillip Resnick, en 1970. Sur une étude portant sur 168 cas d’infanticides, il dégage un profil de femmes néonaticides. Elles seraient majoritairement jeunes, non mariées, non psychotiques, ne présentant pas de pathologie psychiatrique diagnostiquée antérieurement ou au moment des faits. Resnick établit ainsi un lien entre néonaticide et déni de grossesse. Ce meurtre ne serait pas prémédité, il constituerait la seule manière, trouvée sur le moment, pour faire taire cette ?réalité hurlante et sidérante?» que représentent les cris du bébé. 34Le déni de grossesse a souvent été associé à l’infanticide dans la littérature Resnik, 1970?; Brozovsky, 1971?; Finnegan, 1982?; Green et Manohar, 1990. Selon certains auteurs, l’immaturité psychique des femmes néonaticides, surtout parmi les adolescentes, mobilise avec la grossesse des conflits et des angoisses qui peuvent conduire au passage à l’acte Dubé, 2003. Toutefois, il est important de noter que l’infanticide est l’issue la plus dramatique relevée dans les cas de déni de grossesse, mais qu’elle demeure relativement rare Dayan, 1999. En effet, si l’on retrouve un certain nombre de cas d’infanticide lié à un déni de grossesse, le déni de grossesse, lui, n’aboutit que dans des situations extrêmes à un sous X35Catherine Bonnet 1996 retrouve chez la grande majorité des femmes accouchant sous X un déni en début de grossesse. Selon elle, il semblerait y avoir une continuité entre celles qui accouchent sous X et celles qui tuent leur enfant nouveau-né? ?Plus le déni de la relation sexuelle a été massif, plus il recouvre durant la grossesse cet enfant preuve d’une relation sexuelle?; et plus grand est le risque infanticide à l’accouchement.?» Elle nous livre alors une analyse de ce qu’elle perçoit de leur fonctionnement psychique? ?Le fœtus a été investi comme la preuve d’une relation sexuelle qui doit être niée car le dévoilement du plaisir ressenti a fait ressurgir une expérience traumatique de leur enfance liée à la sexualité. Ce vécu du passé a fait effraction dans leur pensée lorsqu’elles se trouvaient confrontés à leur fœtus et a bloqué l’investissement du futur enfant réel. Aussi peut-on appeler ce dernier l’enfant impensable.?» L’accouchement sous X et l’adoption à la naissance constituent un cadre de prévention contre l’infanticide et l’abandon sauvage. De plus, elle considère la décision de ces femmes comme ?un geste d’amour?»? ?La capacité de renoncer à une filiation porteuse de maltraitance, pour protéger la vie et l’avenir d’un enfant, est un acte maternel.?» Bonnet voit une continuité entre les dénis de grossesse, l’accouchement sous X et l’infanticide, où la différence serait marquée par l’intensité du déni. Son travail a le mérite d’amener des pistes de réflexion autour des étiologies du déni de grossesse en lien avec la sexualité, mais souligne en revanche une psychogénèse unique, alors que les autres études mettent en lumière une pluralité des situations et des structures de personnalité. 36Tout comme Bonnet, Jacqueline Berns 1982 présente ses études de cas de déni de grossesse à travers des situations d’accouchement sous X. Elle propose un sens au déni? il aurait permis à ces femmes un détachement émotionnel à moins que l’on puisse parler d’un non-attachement à l’enfant ensuite donné à l’adoption. 37Ces hypothèses continuent d’alimenter aujourd’hui le débat législatif de l’accouchement sous X. Sa justification serait d’éviter les néonaticides et les infanticides grâce à cette possibilité pour les femmes. 38Les dénis de grossesse ne sont a priori pas liés à des maltraitances avérées ultérieures Bayle, 2005. Le traumatisme possible que représente la levée du déni serait susceptible d’inciter de manière défensive à une demande d’accouchement sous X Minjollet, 2010. 39Le déni de grossesse est donc une manifestation clinique polymorphe dans son expression. Les données épidémiologiques tentent de montrer qu’il existe de grandes variations au sein de cette épidémiologiquesPrévalence40Dans les études présentées dans le tableau ci-dessous tableau 1, les données épidémiologiques montrent que les femmes ayant présenté un déni de grossesse ne montrent aucune caractéristique spécifique en ce qui concerne leur âge, leurs catégories socioprofessionnelles, leurs niveaux d’études, leur statut marital et leur parité. Nous avons donc choisi de n’inclure que certains aspects des recherches retenues, ceux qui nous semblaient intéressants à confronter, afin de réaliser une analyse plus précise des données par l’augmentation du nombre de cas étudiés, comme dans le cadre d’une IConfrontation des données épidémiologiques concernant les troubles psychiques et la fréquence du déni de grossesseConfrontation des données épidémiologiques concernant les troubles psychiques et la fréquence du déni de grossesse41N’apparaissent donc dans ce tableau que les données concernant le type d’étude, le diagnostic et la fréquence afin d’avoir une lecture claire et globale. 42La prévalence retenue varie de 0,4‰ à 2,5‰ des naissances dans les pays représentés. Les recherches, qu’elles soient quantitatives ou qualitatives, montrent une grande variabilité diagnostique. Elles mettent en avant un éventail de troubles depuis l’absence de toute pathologie retrouvée souvent nommé ?trouble de l’adaptation?», jusqu’à la schizophrénie. 43Ces résultats sont issus principalement d’études européennes françaises, allemandes, autrichiennes, anglaises ou d’Amérique du nord Etats-Unis, Canada. Des chercheurs japonais Lee et coll, 2006 se sont aussi intéressés à la question par le bais du néonaticide. Cependant, à en croire les publications, les études au sujet du déni se déroulent pour une écrasante majorité dans les pays de grossesse et psychopathologie44Les premières publications sous l’appellation ?déni de grossesse?» nous exposaient des situations de déni psychotique de grossesse. Cette distinction est d’ailleurs encore actuellement très largement soulignée dans la littérature comme une mise en opposition entre déni de grossesse psychotique et non psychotique Miller, 1990. 45En revanche, les liens avec toute autre forme de psychopathologie restent flous et peu abordés. En effet, ces femmes sont très souvent rencontrées dans l’urgence, ce qui rend particulièrement difficile l’établissement d’un diagnostic. De plus, elles se montrent souvent fuyantes devant les propositions de soin. 46Des tentatives de rapprochement avec d’autres formes de troubles que la psychose ont été faites, par exemple, la conversion hystérique. Christophe M. Green et Savali Manohar 1990 décrivent une étude de cas pour laquelle ils concluent à une névrose hystérique de conversion cas de déni de grossesse suivi d’infanticide. Robert Kaplan et Therese Grotowski 1996, quant à eux, pensent que le mécanisme psychologique expliquant le mieux le déni de grossesse serait un trouble de conversion. Ils soulignent cependant le déclin de l’intérêt pour cette notion dans la littérature. 47Les données épidémiologiques décrivent un polymorphisme apparent concernant le diagnostic psychiatrique. La question du type de fonctionnement psychopathologique reste entière aujourd’hui. En effet, comment est-il possible qu’une femme qui semble ?saine d’esprit?» puisse avoir besoin de nier et de fermer les yeux devant un événement habituellement aussi visible et spectaculaire qu’une grossesse?? Considéré comme un symptôme pour les uns, ou comme une pathologie pour les autres, cet épisode de déni est-il ponctuel, n’entravant pas le fonctionnement psychique habituel, la relation avec leur enfant, ou au contraire traduit-il un trouble caractérisé ou du moins un fonctionnement psychopathologique spécifique?? 48Dans l’ensemble des études rapportées, les troubles psychiatriques rencontrés ne sont pas systématiquement retrouvés. Ainsi la relation entre la présence de troubles et la survenue d’un déni de grossesse ne peut-elle être prouvée Grangaud, 2001. En définitive, les écrits actuels notamment Bayle, 2009 tendent à monter que les négations de grossesse résultent de ?mécanismes psychiques?» cliniques49Des nombreuses observations cliniques ont été effectuées à but exploratoire. Ces illustrations visent à dresser des pistes de réflexion. 50Dans un premier temps, des situations combinant l’absence de communication verbale et une éducation particulièrement rigide ou défaillante ont été décrites. Elles sont peu fréquentes certes, mais peuvent conduire à réduire au silence toute évocation de la sexualité, et de ses conséquences. Les premières expériences sexuelles de ces femmes sont alors marquées par une grande méconnaissance de leur anatomie. Le lien entre la possibilité d’une grossesse et la relation sexuelle n’est pas établi ceci conduit à une situation paradoxale où aucune méthode contraceptive n’est utilisée malgré l’absence d’un projet d’enfant, bien que ce type de comportement ne soit pas spécifique aux dénis de grossesse, mais il s’agit de cas rares parmi les situations de déni Bayle, 2009. 51Grossesses hors-mariage, extra-conjugales ou adolescentes sont aussi représentées car elles génèrent, dans certains schémas familiaux, une culpabilité majeure pour la parturiente qui bouscule des normes établies. Toutefois, d’autres profils surprenants par leur contexte ?d’une banalité désarmante?», décrits par Marinopoulos 2009, viennent aussi compléter les observations cliniques. Elle rencontre dans la clinique des femmes dites ?sans histoires?», où le statut de normalité qu’elles ou leurs proches décrivent rend la situation de déni de grossesse encore plus surprenante. 52Certains auteurs ont tenté de dégager des ?portraits?» dominants, comme Grangaud 2001 dans un travail de thèse qui propose une classification des différents dénis rencontrés. Dans un cas, c’est la question du désir d’enfant qui est interrogée en lien avec la possibilité de filiation femmes dites stériles ou ménopausées, femmes adoptées ou ayant déjà abandonné un enfant, femmes ayant un vécu de perte ou de crainte de perte d’un enfant…. Dans d’autres cas, selon Grangaud, ce sont les relations sexuelles révélées par la grossesse qui mènent au déni éducation très rigide, ou vécu de violence sexuelle. 53Tous les auteurs se rejoignent pour dire qu’à l’égard de cette méconnaissance de l’état gravide s’installe ce qui a été nommé une ?complicité psychosomatique?», où les femmes ne présentent pas les signes habituels de la grossesse, comme si le corps se montrait complice du déni psychique? chez la plupart, l’aménorrhée n’est pas observable de part la présence de métrorragies?; le poids varie peu?; le volume abdominal et celui de la poitrine ne changent pas?; les nausées ne sont pas présentes?; les mouvements fœtaux ne sont pas perçus. Il semble d’ailleurs que la levée du déni, lorsqu’elle a lieu, amène à des réajustements très rapides entrainant notamment l’adaptation du corps et des perceptions à la réalité de l’état de grossesse. 54Dans les cas où les signes de la grossesse sont présents et perceptibles, les femmes interprètent ces manifestations de manière erronée et les rationnalisent manque d’exercice, repas trop copieux pour la prise de poids, gaz pour les mouvements du fœtus, soucis pour l’arrêt des règles…. Ces femmes présentent alors un corps ?enceint?» qui se doit donc d’être muet, une grossesse ?corporelle?» qui se fait seule ou presque, à l’intérieur du corps, à l’insu d’un psychisme aveugle et sourd qui surtout ne veut rien savoir d’une potentielle grossesse?; un corps et un esprit fonctionnant quasi-indépendamment l’un de l’autre, clivés. 55Par ailleurs, il semblerait que l’environnement des femmes dont la grossesse est déniée joue aussi un rôle dans l’installation de ce mécanisme. De façon caractéristique, il est fréquent que l’entourage dit n’avoir rien vu, comme si tous étaient frappés de cécité. Même les conjoints lorsqu’ils sont présents ne percevraient pas la grossesse. Colette Pierronne et coll 2002 observent que, dans tous les cas qu’ils ont rencontrés, les conjoints n’ont rien perçu et sont sidérés à la découverte de la grossesse. Leur étonnement est d’autant plus grand qu’ils n’étaient généralement pas hostiles à une naissance, voire qu’ils la souhaitaient. Ces auteurs parlent de ?contagion du déni?». Il faut cependant souligner que, dans les cas de déni, les conséquences physiques de la grossesse sur le corps sont tellement limitées que des médecins généralistes eux-mêmes peuvent se tromper. Ainsi, plusieurs de ces femmes, alors qu’elles étaient enceintes, ont-elles consulté des médecins généralistes pour des douleurs ou des malaises? ?Un tiers d’entre eux ont évoqué des troubles intestinaux ou urinaires. Ils n’ont pas posé l’hypothèse d’une grossesse ou ont envisagé une grossesse débutante alors qu’elle était à son terme?» Pierronne et coll., 2002. 56C’est à l’appui des observations cliniques que les auteurs ont pu proposer des pistes de réflexions sur les mécanismes en une tentative de compréhension du troubleDéni et corporalité57Pour certains auteurs, les femmes présentant un déni de grossesse ont un rapport au corps particulier, notamment en lien avec la ?mise en mots?». Le corps est peu investi. Monique Bydlowski citée par Rayr, 2000, évoque ?la complicité du corps? ce sont les mots qui ont fait défaut chez les femmes qui dénient. L’hypothèse d’une grossesse n’a pas été soulevée, et les perceptions ne leur sont pas parvenues à la conscience?». Marinopoulos 2007 énonce que ?le déni ne se parle pas […] sa manifestation est de ne pas se manifester?». 58Christoph Brezinka 2009 note la proportion importante de femmes ayant eu ?un trouble des conduites alimentaires et un mauvais rapport avec leur propre corps?» parmi les cas de déni qu’il a rencontrés. Dayan 2009, quand à lui, précise qu’il s’agit d’un ?trouble de l’image du corps et non du schéma corporel?». Il subsiste alors la question de l’existence de seuils perceptifs différents d’une femme à l’autre et la possibilité que certaines soient plus sensibles que d’autres aux manifestations corporelles. L’écoute du corps est indéniablement différente pour chacune. Mais ces femmes seraient-elles de manière générale moins à l’écoute de leur corps, moins sensibles aux manifestations proprioceptives et sensorielles??Fonction adaptative et protectrice du déni59Bien que quelques auteurs considèrent que le déni de grossesse correspond davantage à un trouble de l’adaptation Kaplan et Grotowski, 1996?; Milstein et Milstein, 1983, d’autres soulignent que ?le déni semble avoir une fonction adaptative, économisant à la femme, au couple, à l’environnement médical un questionnement douloureux sur la poursuite de la grossesse?» Pierrone et coll., 2002. Ceci permettrait à ces femmes de maintenir en l’état leur vie sociale et affective. Autrement dit, selon ces auteurs, inconsciemment, certaines de ces femmes souhaiteraient avoir un enfant, mais refuseraient les conséquences sociales ou professionnelles susceptibles d’être générées par leur grossesse. Ainsi, ce conflit intra-psychique serait-il résolu par le déni, c’est-à-dire être enceinte sans vivre les ?désagréments?» éventuels de la grossesse nausées, vomissements, asthénie, etc.. Dans le même sens, d’après Annie Gorre Ferragu 2002, ?le déni que ces femmes utilisent est un moyen de ne pas se confronter à la réalité et d’éviter toutes les angoisses habituellement suscitées par une grossesse. Ainsi, elles peuvent poursuivre leurs activités professionnelles et personnelles, sans que cette grossesse compromette leurs projets?».Ambivalence du désir d’enfant60L’ambivalence du désir d’enfant existe dans le vécu normal de la majorité des femmes en début de grossesse Bydlowski, 1997. Cependant, dans le déni de grossesse, cette ambivalence pourrait ?être activée?» d’une manière particulière et prendre une part différente. Grangaud, précédemment citée, observe pour le groupe de femmes étudié une capacité de filiation mise en péril. Ces femmes ont été dites stériles ou ménopausées, voire ont connu une rupture brutale de filiation femmes adoptées ou ayant déjà abandonné un enfant, femmes ayant un vécu de perte ou de crainte de perte d’un enfant…. Le désir de grossesse est alors mêlé d’éléments traumatiques qui pourraient être les ?porteurs?» du déni. 61Rappelons le point de vue de Dayan 1999? ?Le déni de grossesse est un symptôme qui ne permet pas de diagnostiquer une pathologie spécifique mais qui recouvre un ensemble de configurations psychiques ayant en commun l’ambivalence du désir d’enfant.?» 62Geneviève Wrobel Michel, Pérel, Wrobel, 2002 soulève l’hypothèse selon laquelle ?le déni de grossesse rendrait caduque l’ambivalence dont l’excès semble à l’œuvre dans les pathologies de la grossesse et de l’accouchement ». Ainsi, les fantasmes d’infanticide à l’égard de l’enfant ne pourraient-ils pas s’exprimer, leur dévoilement étant particulièrement violent pour ces femmes tout comme pour les professionnels. Cette auteure y voit, elle aussi, un mécanisme de protection pour la mère comme pour le fœtus. 63Sophie Marinopoulos 2007 distingue les termes ?souhait?» et ?désir?» d’enfant pour montrer que ces femmes ont bien un désir d’enfant se situant à un niveau plus inconscient que le souhait, qui en serait la traduction consciente? ?Le souhait raisonne pendant que le désir est aux prises avec les résonnances de son corps.?» Aussi, comme le souligne Benoît Bayle 2009, deux situations doivent être distinguées? celle où l’annonce de la grossesse est vécue dramatiquement et dans le rejet?; celle où une grossesse était souhaitée, mais ne pouvait être des transmissions transgénérationnelles64Un élément nous parait revenir de manière redondante dans la littérature, il s’agit de la particularité du lien mère/fille, en parallèle à une relation œdipienne insuffisamment élaborée. 65Colette Pierronne et coll. 2002 soulignent la prépondérance de relations œdipiennes très serrées, où le complexe d’Œdipe a été insuffisamment refoulé. Ces auteurs évoquent un fonctionnement familial en vase clos dans une situation sur deux. Ils observent que ?l’indisponibilité de la mère de l’accouchée ou de son substitut a rendu difficile l’intériorisation d’un modèle maternel soit elle est décédée, soit elle est absente et handicapée et c’est sa fille qui la soigne, d’autres fois, c’est une très forte dépendance qui lie l’accouchée à sa mère? une autonomisation ne semble pas possible?». 66Randy Milden et coll. 1985 notent également des cas de relations symbiotiques, de relations mère/fille très fusionnelles, ambivalentes et régressives chez plusieurs patientes. 67Brozovsky en 1971, nous fait part de deux situations ayant abouti à un infanticide. Les deux jeunes filles ont toutes deux vécu des expériences de séparations précoces d’avec leur mère, et rapportent une peur constante et omniprésente d’être abandonnée. Or, ces deux filles s’étaient justement vues menacées par leur mère d’être ?mises dehors?» si elles venaient à tomber enceinte. 68La question de la filiation convoque celle du transgénérationnel. En 2007, Elysabeth Darchis nous livre une étude de cas détaillée dont l’intérêt réside dans la mise en place d’un travail thérapeutique avec la patiente. Rares sont les études de cas rapportées avec une synthèse du travail psychique d’élaboration de la patiente, du fait même de la difficulté à engager ces femmes dans un travail de thérapie. 69Clara et sa sœur jumelle naissent après la mort mystérieuse d’une première sœur prénommée aussi Clara. L’histoire familiale de cette femme est construite autour de non-dits, de honte, de déni. En effet, la mère de la patiente énonce? ?Finalement j’ai eu mes deux grossesses et mes deux filles?», niant ainsi l’existence de la patiente ?Clara 2?» et donc la mort de ce bébé ?Clara 1?» disparu. La prénomination qui se répète montre ainsi le rôle prédéterminé d’enfant de remplacement de la patiente. L’auteure parle alors d’?une identification endocryptique [5]?» qui consiste ?à échanger sa propre identité contre une identification à la vie d’outre tombe de l’objet?», en référence aux auteurs Nicolas Abraham et Maria Torok 1978. La patiente, ?Clara 2?», découvre sa grossesse à 5 mois. Alors que l’existence du bébé qu’elle attend est impensable et inacceptable en tant que double de l’enfant mort, elle accouche sous X, pour finalement ?ré?»-adopter son bébé selon son processus psychique et le récupérer à 3 mois délai légal de rétractation au moment des faits, grâce à l’accompagnement thérapeutique. 70Elysabeth Darchis parle dans ce type de situation ?d’ex-tinction des lignées descendantes lorsque la part des ancêtres comporte des traumatismes insuffisamment élaborés dans les générations ascendantes?». Ainsi, comme dans cette étude de cas, chez un certain nombre de femmes la possibilité de filiation semble-t-elle mise à mal. Selon Grangaud 2001, la filiation est entendue dans un sens large, concernant des profils de femmes variés. Elle fait alors entrer dans cette catégorie des femmes dites stériles ou ménopausées, les femmes adoptées ou ayant déjà abandonné un enfant, les femmes ayant un vécu de perte ou de crainte de perte d’un sexualité traumatique71Plusieurs indices mettent en avant la sexualité comme élément principal de compréhension des enjeux du déni de grossesse. 72Benoît Bayle 2005 propose plusieurs hypothèses, dont celle du déni de l’enfant pour ce qu’il représente. Fruit de l’inceste, d’un viol, d’une relation extra conjugale… ce serait, selon lui, l’acte sexuel qui serait la représentation gênante, à dénier, à expulser du psychisme. Il ne s’agit pas de l’enfant en lui-même mais plutôt de ce qu’il incarne. Il parle d’un traumatisme sur l’axe conjugalité-sexualité-procréation. C’est-à-dire que ces femmes ne pourraient faire le lien entre la possibilité d’une grossesse et la relation sexuelle. 73C’est aussi ce dont il est question dans l’étude de Bonnet 1996? ?Le déni de grossesse a bien souvent pour origine des histoires de maltraitance sexuelle récente ou de l’enfance.?» Elle suggère que la prise de conscience de la grossesse réactive l’expérience traumatique non traitée. Ainsi, les effets du traumatisme viennent-ils se superposer aux représentations imaginaires du bébé à naître. Pour Bonnet, le déni permet de dégager le fœtus des fantasmes d’impulsions violentes, qui autrement auraient pu se manifester pour des passages à l’acte pendant la grossesse. Wrobel 2002 rejoint cette dernière en disant que ?le déni de grossesse recouvre le plus souvent un déni de l’acte sexuel à l’origine de la conception, qui à son tour recouvre un événement psychique encrypté?». 74D’autres encore évoquent un registre incestuel plutôt d’ordre traumatique Pierrone et coll., Marinopoulos, Bayle. Selon Bydlowski citée par Rayr, 2000? ?La violence du déni est à la mesure de ce qu’il ne faut pas reconnaitre, c’est-à-dire à la mesure de l’intensité de la représentation incestueuse. L’ambiance d’inceste est ici extrême, et c’est la violence indicible de ses représentations qui crée un mécanisme de défense “en béton”. Ces mêmes représentations incestueuses contre-investies violemment pendant la grossesse vont ensuite être au cœur de la relation mère/bébé, ce qui crée une situation à risque qui justifie un dépistage précoce et une intervention psychologique.?» 75Nathalie Presme 2004 expose l’accompagnement d’une grossesse tardivement reconnue 28 semaines d’aménorrhée issue d’un viol. Cette étude de cas peut servir d’illustration quand au lien établi entre déni de grossesse et traumatisme, notamment sexuel. Il s’agit d’une jeune réfugiée de Sierra Leone ayant fui d’un camp d’internement après avoir assisté à des scènes d’une extrême violence, et en avoir subies elle-même. Son père a été exécuté devant elle lors d’affrontements, et elle craint que le reste de sa famille ait subi le même sort. Cette jeune femme ne doit pas seulement affronter le traumatisme sexuel dont elle a été victime, le viol, mais aussi tous les autres accumulés en si peu de temps. C’est dans l’idée de ?ne pas ajouter un mort de plus à cette histoire?» qu’une demande d’IMG interruption médicale de grossesse est refusée. Ainsi, l’agression sexuelle se surajoute-t-elle à une série de traumatismes physiques et psychiques. On pourrait imaginer que le déni ne recouvre pas seulement le viol, qui la renvoie sans cesse à l’image de l’agresseur, mais peut-être aussi à l’impossibilité de donner la vie face à toutes ces pertes, tous ces morts. Ainsi, ce déni de grossesse viendrait-il signer le déni du viol et des traumatismes de violence et de pertes brutales vécues confirmé par la demande d’IMG dans une tentative de répétition de mort. Après la naissance de l’enfant, la femme se montre rassurée d’avoir mis au monde une très jolie petite fille alors qu’elle pensait être enceinte d’un enfant monstrueux, à l’image de son agresseur. Elle confiera son bébé à l’adoption. Comme le montre ce cas exposé par Presme 2004, le traumatisme que représente la grossesse vient donc recouvrir des traumatismes de plusieurs natures, récents et conclure76Au vu des hypothèses proposées dans la littérature, des interrogations apparaissent? quels sens donner aux aspects inaudibles, indicibles, invisibles de la grossesse, où celle-ci est non perceptible mais surtout non représentable?? Il est question, semble-t-il, d’un trouble de la représentation, mais il est difficile de saisir de quelle représentation il s’agit exactement. Poser la question? ?Quelle représentation est si gênante pour qu’il faille la dénier?? » revient, selon nous, à celle-ci? ?Quel est véritablement l’objet du déni???»? l’enfant en lui-même, l’accès à la maternité, les capacités de procréation, la féminité, la relation sexuelle ou la sexualité en général, le fait d’être enceinte, le corps?? Les symptômes ayant souvent une valeur polysémique, comment démêler les fils de ces différents éléments?? 77Si cette dernière décennie a marqué une avancée considérable dans l’étude et dans la reconnaissance et la compréhension des femmes souffrant d’un déni de grossesse, il reste encore de nombreuses pistes à explorer. En effet, encore trop de professionnels susceptibles de rencontrer ces situations semblent méconnaitre ou peu connaitre cette entité du ?déni de grossesse?». La diversité des théories vient elle-même souligner à quel point les recherches restent encore nécessaires. 78À cet égard, plusieurs axes de recherche semblent manquer au vu de cette revue de la littérature, notamment la question de la psychopathologie. Comme nous l’avons souligné, dans l’ensemble des études rapportées les troubles psychiatriques rencontrés n’ont pas de spécificité. Ils n’ont pas toujours pu être explorés faute de moyens pour le faire. Dès lors, la relation entre la présence d’un trouble et la survenue d’un déni de grossesse reste de l’ordre de la constatation. Il parait donc difficile d’appréhender le fonctionnement psychique de ces femmes. Une approche exploratoire et systématisée du fonctionnement intrapsychique grâce aux tests projectifs Rorschach et TAT Thematic Apperception Test permet d’ouvrir la voie vers une compréhension plus fine de l’univers relationnel du sujet dans ses mouvements identificatoires ainsi que ses aménagements défensifs. C’est bien dans cette perspective que s’inscrit notre travail de thèse Seguin, 2011. 79Été 2011 Notes [1] Psychologue clinicienne, Unité de pédopsychiatrie périnatale UPP, EPS Ville Evrard?; Enseignante à l’école des psychologues praticiens, Paris?; Docteur en psychologie clinique, Laboratoire de psychologie clinique, psychopathologie, psychanalyse PCPP, EA 4056, Université Paris Descartes, Sorbonne Paris Cité. [2] Pédopsychiatre, Psychanalyste, Chef du service de pédopsychiatrie de l’hôpital Necker-Enfants malades?; Professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent Université Paris Descartes, Sorbonne Paris Cité. [3] MD, PhD, Responsable de l’Unité de Psychiatrie Périnatale d’Urgence Mobile en Maternité Ppumma, Responsable du Laboratoire de Recherche en Psychiatrie et en Psychopathologie à Erasme RePPEr, EPS Erasme, Chargé de Cours à l’Université Denis Diderot Paris 7. [4] Nous renvoyons le lecteur à cette référence Carlier, 2009 pour obtenir les éléments bibliographiques rapportés dans cet historique. [5] Abraham et Torok 1978 énoncent que la crypte a pour but de recouvrir, sur un mode magique et occulte, un objet gardé secret, inavouable et honteux. Émergence du tableau cliniqueEntité clinique du déni de grossesseDéni de grossesse et mécanismes de défenseDéfinition du déniDénégationMécanismes de défenseConfusion et amalgames autour du déni de grossesseDéni de grossesse et grossesses cachéesNéonaticides et infanticidesL’accouchement sous XDonnées épidémiologiquesPrévalenceDéni de grossesse et psychopathologieObservations cliniquesVers une tentative de compréhension du troubleDéni et corporalitéFonction adaptative et protectrice du déniAmbivalence du désir d’enfantAléas des transmissions transgénérationnellesUne sexualité traumatiquePour conclureRéférencesAbraham N., Torok M. 1978, L’Écorce et le noyau, Paris, C. 1986, ?Déni et connaissance?», Revue française de psychanalyse, t. 50, n°4, pp. ligneBardou H., Vacheron-Trystram Cheref S. 2006, ?Le déni en psychiatrie?», Annales Médico-Psychologiques, n° 164, pp. B. 2005, L’Enfant à naitre. Identité conceptionnelle et gestation psychique. 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L’Esprit du temps, n° 33, pp. S., Valente M., Apter-Danon G., Golse B. 2009, ?Le déni de grossesse? fonctionnement psychique et tests projectifs en postnatal?», in Navarro F. dir., Actes du premier colloque français sur le déni de grossesse. Editions Universitaires du Sud EUS, pp. S. 2011, ?Les dénis et négations de grossesse. Une voie de dégagement de l’emprise maternelle???», Thèse de doctorat soutenue sous la direction de B. Golse et G. Apter, Université Paris Descartes, Sorbonne Paris R-I, Soloff P-H. 1981, ?Psychotic denial of third trimester pregnancy?», Journal of Clinical Psychiatry, 42 12 A., Hohener H. 1995, ?Denial of pregnancy A review and case reports?», Birth, 22 D. H., Spitzer R. L., Mus Kin P. R. 1990, ?Maladaptive denial of pregnancy of physical illness a proposal for DSM-IV?», Amer. J. J., Endrikat J., Buscher U. 2002, ?Frequency of denial of pregnancy results and epidemiological significance of a 1-year prospective study in Berlin?», Acta Obstet Gynecol Scand, 81 Seguin [1]AFRGD Association Française pour la Reconnaissance du Déni de Grossesse rue Jonquoy75014 Paris [1] Psychologue clinicienne, Unité de pédopsychiatrie périnatale UPP, EPS Ville Evrard?; Enseignante à l’école des psychologues praticiens, Paris?; Docteur en psychologie clinique, Laboratoire de psychologie clinique, psychopathologie, psychanalyse PCPP, EA 4056, Université Paris Descartes, Sorbonne Paris Golse [2] [2] Pédopsychiatre, Psychanalyste, Chef du service de pédopsychiatrie de l’hôpital Necker-Enfants malades?; Professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent Université Paris Descartes, Sorbonne Paris Apter [3] [3] MD, PhD, Responsable de l’Unité de Psychiatrie Périnatale d’Urgence Mobile en Maternité Ppumma, Responsable du Laboratoire de Recherche en Psychiatrie et en Psychopathologie à Erasme RePPEr, EPS Erasme, Chargé de Cours à l’Université Denis Diderot Paris 7.
Souvent lorsque vous ne pouvez pas comprendre les rêves que vous avez faits à propos de quelqu`un, cela peut être frustrant et déroutant. le interprétation des rêves peut aider à déchiffrer les messages que votre subconscient essaie de communiquer. Les gens dans les rêves peuvent représenter (littéralement) les qualités que vous aimeriez acquérir ou les objectifs que vous avez.
Sommaire Qu’est-ce qui provoque un déni de grossesse ?Les causes du déni de grossesseComment peut-on détecter un déni de grossesse ?Le choc d’apprendre la grossesseQu’est-ce qui provoque un déni de grossesse ?La psychanalyste Sophie Marinopoulos et autrice du livre “Elles accouchent et ne sont pas enceintes le déni de grossesse” explique que c’est un mécanisme de défense psychique. En ignorant la réalité de la grossesse, notre corps veut nous préserver d’une grande souffrance. Si on fait un déni de grossesse, on ne ment pas et on ne cache pas le fait d’être enceinte. Nous n’avons réellement pas conscience d’être enceintes car le corps n'envoie aucun signal. ➡ Le déni de grossesse est une forme de négation absolue et ça n'a pas forcément un rapport avec le fait d’avoir envie d’un bébé ou non .Les causes du déni de grossesseSi votre vie émotionnelle est bridée et que vous n'êtes pas à l’écoute de vous-même, vous êtes susceptible de faire un déni de grossesse. On a plus de risques de faire un déni de grossesse lorsqu’on est dans le déni de nos émotions. Selon Sophie Marinopoulos, la dépression serait également un facteur qui pourrait encourager le corps à cacher la au-delà même de ce qui se passe dans notre vie actuelle, les causes du déni remontent aussi à la petite enfance. Les soins que l’on a reçus ont un impact sur notre rapport aux émotions. Chaque personne et chaque histoire sont singulières, il faut fouiller dans le passé pour comprendre pourquoi on a fait un déni de grossesse. Il est donc impossible de déterminer un profil de femme qui pourrait être plus sujet à ce mécanisme de défense peut également faire un déni de grossesse dans les cas suivant lors d’une stérilité supposée,d’un abus sexuel ou psychologique,de grossesses peut-on détecter un déni de grossesse ?Des symptômes invisiblesPuisque notre corps ne signale pas à notre esprit la grossesse, difficile de savoir si on est enceinte ou pas. Bien souvent, nous pouvons avoir des symptômes comme des maux de ventre ou des nausées, mais nous mettons ça sur le compte d’une indigestion ou d’un problème intestinal. La psychanalyste explique que "le symptôme du déni serait une interprétation des signes corporels qui mène partout sauf vers l'idée d'une grossesse". Pour éviter un déni de grossesse, si certains symptômes sèment le doute, il ne faut pas hésiter à faire un test de grossesse ou mieux encore, une prise de règles et le déni de grossesseL’arrêt des règles ne représente pas forcément une grossesse. Nous avons toutes un cycle différent et surtout, nous sommes nombreuses à avoir des règles irrégulières. Certaines femmes souffrent même d'ovaires polykystiques, elles n’ovulent donc pas tous les mois. L’arrêt des règles peut aussi être impacté par le stress, un problème de poids ou d’autres raisons. Nous n’interprétons pas toutes l’arrêt des règles comme un signe de grossesse. A contrario, le fait qu’il peut y avoir des saignements pendant la grossesse qui peuvent nous donner la sensation qu’on a toujours nos règles. Tout cela peut fortement nous induire en erreur !Le corps ne change pasOn peut parler de déni après les 3 premiers mois de grossesse. Pendant le premier trimestre, nous n’avons pas toutes de gros symptômes comme les nausées. A partir du deuxième trimestre, dans une grossesse normale, le bébé grandit et cela commence à se voir. Mais lors d’un déni de grossesse, l’utérus s’étire en hauteur au lieu de pousser le ventre en avant. Ce qui explique que le ventre ne s’arrondit pas et que la grossesse n’est pas visible. C’est vraiment la puissance de l’esprit et du corps, le bébé grandit dans notre corps sans prendre de du déni de grossesse - La Maison des MaternellesLe choc d’apprendre la grossessePour qu’on prenne conscience de la grossesse, il faut qu’une tierce personne émette l’idée que l’on est enceinte un médecin par exemple. Une fois que nous savons que nous sommes enceintes, le corps va montrer tous les symptômes de la grossesse. Le ventre peut même grossir en quelques heures ! Certains dénis de grossesse persistent jusqu’au terme, ce qui empêche la future mère de préparer l’arrivée du bébé. C’est encore plus traumatisant lorsqu’on apprend qu’on est enceinte à quelques heures de l’ lire aussi >>> Accouchement traumatisant l'importance d'en parlerAu-delà des changements physiques impressionnants, apprendre que l’on est enceinte de plusieurs mois de grossesse est un choc psychologique énorme. Des témoignages de femmes qui ont vécu un déni de grossesse parlent souvent de culpabilité. Le pédopsychiatre Michel Libert explique cette culpabilité “Elles peuvent interpréter le déni comme le signe qu’elles ne sont pas de bonnes mères, qu’elles n’ont pas d’instinct maternel”. C’est pourquoi l’Association Française pour la Reconnaissance du Déni de Grossesse AFRDG se bat pour une reconnaissance du déni de grossesse pour la mère et l’enfant. Les conséquences peuvent être nombreuses et conduire la mère à une dépression de la rédaction une prise en charge indispensableComme l'explique le Dr Apter, le processus pour devenir parent démarre bien avant la grossesse. Dans le cas d'un déni de grossesse, la femme n'a pas le temps de parcourir ce chemin. Ces femmes ont besoin d'un séjour en maternité un peu plus long pour se reposer. Un rendez-vous avec un psychiatre permettra de décider si un suivi psychologique est nécessaire ou non en fonction des circonstances du un thérapeuteMais aussi Faire un bébé toute seule, et pourquoi pas ?Arrêtez de me demander "quand on va avoir un enfant " !Enceinte en temps de pandémie, conseils anti-stressSources 5 choses à savoir sur le déni de grossesse - L'express // Enceinte sans le savoir - La maison des maternelles Lesrêves de grossesse ont souvent un aspect agréable. Le rêveur (ou la rêveuse) se voit souvent devant un miroir en train de contempler son ventre rond ou en compagnie d’autres personnes, et dévoilant son état avec satisfaction. Variantes de ce rêve . Rêver de bébé, rêver d’accouchement, rêver de la planète Terre, rêver de seins, rêver du chiffre 9, rêver de sa date Forum / Amour, Couple En réponse à an0N_422181599z Tu oublies ta pilule un week end, et tu ne te précipites pas pour "parer" à ça ? 1/Avant de prendre la pilule on LIT "Le mode d'emploi" tout est écrit dessus 2/ En cas d'oubli qui est un acte manqué + un déniTu te précipites à la première pharmacie de garde , voire aux urgences....Ils te dépaneront échantillons médicaux aux URGENCES, il y en a3/ On n'attend pas "que les ennuis de l'autre du couple soient passés "pour lui en parler-Ça c'est de la discimulation, et c'est une n'en voulait pas d'autre./Autre choseDe nouveaux enfants ne remplaceront jamais les enfants nés d'une union précédente, faut être pour l'envisager une n'est pas parce qu'une première union a foiré que la deuxième est garantie "gagnante" ça se sauraitTu as fichu ton couple actuel dans la MERDE jusqu'au consulterPour que ce gosse que TU as voulu et LUI PASne débute pas sa vie comme un que tu as les épaules assez solides pour encaisser d'avoir à l'élever que dans ces circonstances c'est très mal déni ne vient pas de LUI , Mais de TOI Vous aviez décidé ensemble de ne plus en avoir d'autres. NON ?TAIN !!! Y'a des gens qui font tout pour se mettre en un mode d'emploi de contraceptif ou autre Se le faire expliquer si l'on ne comprend pasles toubibs/pharmaciens sont écoeurés par la nunucherie ambiante Mettre une capote si on a oublié,Prendre la pilule du lendemain Ça existe berdol.....Le lendemain , ce n'est pas deux mois aprèsl'oubli C'est TROP TARD. Les "spottings" ou fausses règles existent n'en reviens pas " depuis 3 ans qu'il partage ma vie" Tu lui devais LA VÉRITÉ ./Y'a d'autre contraceptifs que la pilule pour celles qui n'y comprennent Autant de temps passé sur un post pour faire la morale ​Bref. Je suis surprise que ma situation suscite de telles réactions mais bon, c'est la vie! J'aime Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. mareinesanscarrosseTu te trompes visiblement de personne et de le défaut primordial des moi que tu vises, c'est carrement truffe un sms m'a averti de -ton post de merde- tu pars en envie, ni le temps de venir depuis longtemps. Forum décousu et questions lire quoi ?Des réponses qui s'empilent sur ce forum ? C'est ne vous salue pas comm'd'hab ! 1 - J'aime En réponse à hanene_3305797 Heu pour info, il en avait déjà 3 d'un premier mariage et il a été clair après la naissance du 1er avec elle et 4ème en tout sur le fait qu'il n'en voulait si on s'est battues pour avoir le choix de la conception ou non, ce n'est peut être pas pour l'imposer aux hommes...Les femmes ont le droit de dire non et les hommes légalement, la grossesse est le fait de la femme, nul ne peut la contraindre à être enceinte on à faire une ivg, même pas le femmes ont ce droit de dire oui ou les hommes, ils ont juste le droit de se loi ne leur reconnait aucun droit là-dessus, ils ne peuvent ni imposer une grossesse ni une ces messieurs ne veulent pas d'enfants, ils se prennent en charge, préservatifs, ou vasectomie se fait sans qu'il soit nécessaire d'avoir l'accord de la loi est comme ça, les hommes n'ont aucun droit à la bien ou c'est mal, chacun pense ce qu'il veut. J'aime En réponse à hanene_3305797 Voili voilou c'est ce que j'ai dit de manière plus dans le genre acte manqué ce n'est pas un oubli d'un week end, elle a "oublié" d'emmener la plaquette entière pendant les vacances ...et on est en 2017Ah bon? non j'ai oublié ma plaquette UN weekend, soit 2 jours, pas 15!!​Je ne vois pas ce que le fait d'être en 2017 change!!! Il y a encore des guerres sur terre, pas forcément avec des armes et les attaques bactériologiques ou numériques peuvent être bien pires, il y encore des mères à 16 ans d'autres à 60 ans d'ailleurs c'est le progrès n'est-ce pas?!, et surtout, encore des cons...​Le jour où on sera programmé pour ne plus jamais rien oublier, là oui, je serai impardonnable! J'espère aussi qu'on mettra un logiciel pour que tout le monde ait une capacité d'analyse pertinente! J'aime En réponse à lanouineuse c'est bien, tu es réponse s'entendait bien sûr dans ton maintenant, ce n'est pas cette histoire de règles , mais le bonheur de ce il doit passer avant tous les autres, puisque ce sera le plus les ados récalcitrants, ne te prends pas la tête avec, ce n'est pas ton -nous un beau c'est adorable.... MERCI MERCI MERCI 1 - J'aime En réponse à ilano_3702034 Ah bon? non j'ai oublié ma plaquette UN weekend, soit 2 jours, pas 15!!​Je ne vois pas ce que le fait d'être en 2017 change!!! Il y a encore des guerres sur terre, pas forcément avec des armes et les attaques bactériologiques ou numériques peuvent être bien pires, il y encore des mères à 16 ans d'autres à 60 ans d'ailleurs c'est le progrès n'est-ce pas?!, et surtout, encore des cons...​Le jour où on sera programmé pour ne plus jamais rien oublier, là oui, je serai impardonnable! J'espère aussi qu'on mettra un logiciel pour que tout le monde ait une capacité d'analyse pertinente! Dommage que tu n'aies pas lu/voulu répondre à mon tout premier com 1ère page ni à celui de Marylou 343 3ème page, je crois ... J'aime En réponse à lanouineuse alors, légalement, la grossesse est le fait de la femme, nul ne peut la contraindre à être enceinte on à faire une ivg, même pas le femmes ont ce droit de dire oui ou les hommes, ils ont juste le droit de se loi ne leur reconnait aucun droit là-dessus, ils ne peuvent ni imposer une grossesse ni une ces messieurs ne veulent pas d'enfants, ils se prennent en charge, préservatifs, ou vasectomie se fait sans qu'il soit nécessaire d'avoir l'accord de la loi est comme ça, les hommes n'ont aucun droit à la bien ou c'est mal, chacun pense ce qu'il suis tout à fait d'accordnous avons le pouvoir de porter un enfantnous avons acquis le droit de contrôler cette conception et de la mener à terme ou grands pouvoirs et droits nous donne une immense responsabilité vis à vis de nos compagnons J'aime En réponse à hanene_3305797 Dommage que tu n'aies pas lu/voulu répondre à mon tout premier com 1ère page ni à celui de Marylou 343 3ème page, je crois ...Si je t'ai répondu indirectement. Je suis en partie d'accord avec ce que vous dites. Je me suis expliquée sur le fait de "remplacer" les enfants et cela n'a jamais été ma vision des choses. Je dis que mon mari a désiré TOUS ses enfants, et que les 3 premiers, pour le moment, le rejètent violemment, car sans aucune explication. Pour vivre cela à ses côtés, je peux vous dire que personne ne peut se mettre dans sa peau, et comprendre la douleur qu'il traverse. Nous sommes un couple heureux et épanoui par ailleurs, mais 2016 a été très difficile... Il est père de 4 enfants, je ne lui enlèverai jamais cela, je n'en ai pas l'intention!! Mais vous feriez comment vous, si du jour au lendemain vos enfants vous tournaient le dos et que çà dure depuis des mois? Et bien mon conjoint a décidé de se battre sur le plan juridique, jusqu'au bout, au moins pour que ses enfants sachent qu'il a tout fait pour ne pas en arriver là. MAIS SI les enfants ne veulent plus entendre parler de leur père parce qu'ils ont eu le cerveau retourné ce qui est effrayant, mais c'est possible et peut arriver à tous les parents séparés!!, ils sont juridiquement en âge, je crois, de décider. Peut-être qu'ils reviendront dans 6 mois, dans 10 ans, et leur papa leur ouvrira la porte... Sûrement avec amertume, mais aussi avec soulagement. En tout cas à l'heure actuelle, psychologiquement, il se prépare à une vie sans eux, point barre, car il n'aura peut-être pas le choix. Il pourra éventuellement leur écrire tous les mois, laisser des messages, tenter de les voir... Mais il dit lui même que ce n'est pas une vie, et qu'il devra se préserver aussi. C'est LUI qui estime vivre un abandon, c'est lui qui dit que ses enfants se comportent comme s'il était mort. Il le pense, et il le vie ainsi et jusqu'à maintenant, çà reflète bien les faits! Du coup, il se concentre sur notre fils de 18 mois qui est à l'heure actuelle son plus grand bonheur. Moi, j'ai pensé - pour faire un gros raccourci il faut lire les détails pour les nouveaux arrivants! - qu'un 2eme enfant augmenterait ce bonheur. Naturellement. On ne divise pas l'amour, on le multiplie. Le contexte très éprouvant a fait que j'ai vu un signe du destin dans cette grossesse inattendue certains parleraient d'"accident", moi je parle finalement de "surprise". J'aime En réponse à lanouineuse alors, légalement, la grossesse est le fait de la femme, nul ne peut la contraindre à être enceinte on à faire une ivg, même pas le femmes ont ce droit de dire oui ou les hommes, ils ont juste le droit de se loi ne leur reconnait aucun droit là-dessus, ils ne peuvent ni imposer une grossesse ni une ces messieurs ne veulent pas d'enfants, ils se prennent en charge, préservatifs, ou vasectomie se fait sans qu'il soit nécessaire d'avoir l'accord de la loi est comme ça, les hommes n'ont aucun droit à la bien ou c'est mal, chacun pense ce qu'il a énoncé le contraire??? Il est bien évident que personne, même pas le père de l'enfant, ne peut la contraindre à avorter. Cela va sans dire!Mais cela n'autorise en aucun cas une femme à obliger cet homme d'assumer la paternité de cet enfant. Elle était parfaitement au courant qu'il n'en voulait pas d'autre!Si selon toi une femme a le droit force à tout de mettre un enfant au monde sans tenir compte de l'assentiment plein et entier de son mari..celui-ci a tout aussi le droit de refuser cette paternité qu'il ne se sent pas d'assumer son enfant naît des deux désirs de ses géniteurs. Cette femme savait pertinemment bien qu'il n'en voulait plus! Qu'elle veuille le garder c'est son droit le plus absolu et le droit tout pareillement à son mari de ne pas vouloir de cet enfant puisque non désiré par lui!Si l'on trouve légitime qu'une femme avorte parce qu'elle ne désire pas devenir mère ou tue son enfant par déni de grossesse dans les cas extrêmes [Courjeaut et bien d'autres/ pas certaine d'avoir bien orthographié son patronyme ] ben il est tout aussi légitime pour un père de ne pas vouloir devenir père et/ ou de le devenir à nouveau si tel n'est pas son qui prévaut pour les droits d'une femme prévaut également pour ceux d'un homme!Les droits d'un être humain de décider de mettre au monde un enfant est le même et cela quelque soit son sexe! Le fait de porter les enfants ne nous autorisent en aucun cas de bafouer ceux des hommes! C'est la loi auquel tous les êtres humains sont vraiment être une demeurée sans conscience et dépourvue d'éthique pour ne pas comprendre cela! 3 - J'aime qu'il ne sent pas d'assumer contre son que soit son la loi auquelle tous les êtres humains sont assujettis! [coup de gueulle et correction de mes fautes en prime! ] 2 - J'aime En réponse à ilano_3702034 Si je t'ai répondu indirectement. Je suis en partie d'accord avec ce que vous dites. Je me suis expliquée sur le fait de "remplacer" les enfants et cela n'a jamais été ma vision des choses. Je dis que mon mari a désiré TOUS ses enfants, et que les 3 premiers, pour le moment, le rejètent violemment, car sans aucune explication. Pour vivre cela à ses côtés, je peux vous dire que personne ne peut se mettre dans sa peau, et comprendre la douleur qu'il traverse. Nous sommes un couple heureux et épanoui par ailleurs, mais 2016 a été très difficile... Il est père de 4 enfants, je ne lui enlèverai jamais cela, je n'en ai pas l'intention!! Mais vous feriez comment vous, si du jour au lendemain vos enfants vous tournaient le dos et que çà dure depuis des mois? Et bien mon conjoint a décidé de se battre sur le plan juridique, jusqu'au bout, au moins pour que ses enfants sachent qu'il a tout fait pour ne pas en arriver là. MAIS SI les enfants ne veulent plus entendre parler de leur père parce qu'ils ont eu le cerveau retourné ce qui est effrayant, mais c'est possible et peut arriver à tous les parents séparés!!, ils sont juridiquement en âge, je crois, de décider. Peut-être qu'ils reviendront dans 6 mois, dans 10 ans, et leur papa leur ouvrira la porte... Sûrement avec amertume, mais aussi avec soulagement. En tout cas à l'heure actuelle, psychologiquement, il se prépare à une vie sans eux, point barre, car il n'aura peut-être pas le choix. Il pourra éventuellement leur écrire tous les mois, laisser des messages, tenter de les voir... Mais il dit lui même que ce n'est pas une vie, et qu'il devra se préserver aussi. C'est LUI qui estime vivre un abandon, c'est lui qui dit que ses enfants se comportent comme s'il était mort. Il le pense, et il le vie ainsi et jusqu'à maintenant, çà reflète bien les faits! Du coup, il se concentre sur notre fils de 18 mois qui est à l'heure actuelle son plus grand bonheur. Moi, j'ai pensé - pour faire un gros raccourci il faut lire les détails pour les nouveaux arrivants! - qu'un 2eme enfant augmenterait ce bonheur. Naturellement. On ne divise pas l'amour, on le multiplie. Le contexte très éprouvant a fait que j'ai vu un signe du destin dans cette grossesse inattendue certains parleraient d'"accident", moi je parle finalement de "surprise".Juste une précision juridique sur le reste je ne reviendrai pas cela a déjà été ditceux de 16 et 13 ans ont le droit d'exprimer leur avis sur le domicile principal mais cela n'atteint pas le droit de visite et in fine c'est le juge qui celui de 10 ans c'est le juge qui décide du domicile principal et des droits de visite ou de la garde alternée. 1 - J'aime En réponse à nabia_4773683 Bonjour,Hum..qui a énoncé le contraire??? Il est bien évident que personne, même pas le père de l'enfant, ne peut la contraindre à avorter. Cela va sans dire!Mais cela n'autorise en aucun cas une femme à obliger cet homme d'assumer la paternité de cet enfant. Elle était parfaitement au courant qu'il n'en voulait pas d'autre!Si selon toi une femme a le droit force à tout de mettre un enfant au monde sans tenir compte de l'assentiment plein et entier de son mari..celui-ci a tout aussi le droit de refuser cette paternité qu'il ne se sent pas d'assumer son enfant naît des deux désirs de ses géniteurs. Cette femme savait pertinemment bien qu'il n'en voulait plus! Qu'elle veuille le garder c'est son droit le plus absolu et le droit tout pareillement à son mari de ne pas vouloir de cet enfant puisque non désiré par lui!Si l'on trouve légitime qu'une femme avorte parce qu'elle ne désire pas devenir mère ou tue son enfant par déni de grossesse dans les cas extrêmes [Courjeaut et bien d'autres/ pas certaine d'avoir bien orthographié son patronyme ] ben il est tout aussi légitime pour un père de ne pas vouloir devenir père et/ ou de le devenir à nouveau si tel n'est pas son qui prévaut pour les droits d'une femme prévaut également pour ceux d'un homme!Les droits d'un être humain de décider de mettre au monde un enfant est le même et cela quelque soit son sexe! Le fait de porter les enfants ne nous autorisent en aucun cas de bafouer ceux des hommes! C'est la loi auquel tous les êtres humains sont vraiment être une demeurée sans conscience et dépourvue d'éthique pour ne pas comprendre cela!Oui enfin...on est d'accord avec toi! Personne ne va chercher à imposer à qui que ce soit ce qu'il ne veut pas, puisque par définition, c'est impossible!​Sauf que on peut quand même discuter non, avant de tout saccager? On peut quand même tenter de trouver la meilleure issue possible?​Sur les propos de Lanouineuse, la loi est faite ainsi, et parait complètement inégalitaire entre les 2 sexes, mais c'est un peu compréhensible à partir du moment où l'on considère qu'il est tout autant inimaginable pour un homme de décider de la grossesse d'une femme!​Chacun étant égaux en droit, chacun devra assumer l'homme de reconnaitra pas l'enfant, et la femme devra assumer matériellement et affectueusement son enfant seule. J'aime En réponse à hanene_3305797 Juste une précision juridique sur le reste je ne reviendrai pas cela a déjà été ditceux de 16 et 13 ans ont le droit d'exprimer leur avis sur le domicile principal mais cela n'atteint pas le droit de visite et in fine c'est le juge qui celui de 10 ans c'est le juge qui décide du domicile principal et des droits de visite ou de la garde vrai qu'on garde un petit espoir à ce niveau là on se prépare aussi à ce que le juge les oblige contre leur gré à venir au domicile paternel... Avoue que çà risquera d'être assez chaud à gérer, mais bon... J'aime Ben oui...chacun étant égaux en droits dont celui de ne pas devenir père contre son gré!Mais dans les faits cela ne se passe pas exactement ainsi puisqu'une femme tout en sachant le non-désir de paternité [son refus légitime de devenir père] peut l'obliger juridiquement parlant [test de paternité à l'appui] à l'assumer financièrement pour le ce qui me concerne, je me vois mal contraindre un homme à assumer financièrement la charge d'un enfant non désiré par lui. Il doit déjà subvenir à l'éducation de 4 à chacun de prendre sa responsabilité selon moi en fonction du désir de par conséquent assumer ce que notre choix et celui de l'autre implique cela la vraie égalité. 1 - J'aime En réponse à ilano_3702034 C'est vrai qu'on garde un petit espoir à ce niveau là on se prépare aussi à ce que le juge les oblige contre leur gré à venir au domicile paternel... Avoue que çà risquera d'être assez chaud à gérer, mais bon...Ce n'est pas le juge qui a le pouvoir de les faire revenir. Puisque tu as dit à un moment qu'un accord de garde a été prononcé, il lui suffit de faire appel aux forces de l'ordre qui constateront la non présentation d'enfant et qui agiront en aux enfants ils seront ravis de voir leur papa j'en suis certaine. J'ai vu ce qui plus d'une fois dans ma vie. J'aime En réponse à nabia_4773683 Ben oui...chacun étant égaux en droits dont celui de ne pas devenir père contre son gré!Mais dans les faits cela ne se passe pas exactement ainsi puisqu'une femme tout en sachant le non-désir de paternité [son refus légitime de devenir père] peut l'obliger juridiquement parlant [test de paternité à l'appui] à l'assumer financièrement pour le ce qui me concerne, je me vois mal contraindre un homme à assumer financièrement la charge d'un enfant non désiré par lui. Il doit déjà subvenir à l'éducation de 4 à chacun de prendre sa responsabilité selon moi en fonction du désir de par conséquent assumer ce que notre choix et celui de l'autre implique cela la vraie à fait d'accord. Je ne suis pas non plus dans cette mentalité et serais capable et fière d'assumer seule MON enfant. J'aime En réponse à ilano_3702034 Tout à fait d'accord. Je ne suis pas non plus dans cette mentalité et serais capable et fière d'assumer seule MON Nous sommes d'accord finalement. Youpie! Qui l'eut crû? J'aime En réponse à ilano_3702034 C'est vrai qu'on garde un petit espoir à ce niveau là on se prépare aussi à ce que le juge les oblige contre leur gré à venir au domicile paternel... Avoue que çà risquera d'être assez chaud à gérer, mais bon...En fait tu réponds un peu a qui tu veux pour te rassurer. 1 - J'aime Vous ne trouvez pas votre réponse ? En réponse à hanene_3305797 Ce n'est pas le juge qui a le pouvoir de les faire revenir. Puisque tu as dit à un moment qu'un accord de garde a été prononcé, il lui suffit de faire appel aux forces de l'ordre qui constateront la non présentation d'enfant et qui agiront en aux enfants ils seront ravis de voir leur papa j'en suis certaine. J'ai vu ce qui plus d'une fois dans ma le moment, notre avocate a conseillé de ne pas faire intervenir la gendarmerie... Elle veut prouver que le père a mis la meilleure volonté du monde à tenter d'entrer en contact avec la mère, et ainsi on a bcp d'éléments sur la résignation de cette dernière. De plus, on imaginait mal la situation de faire venir la gendarmerie pour arracher les enfants à leur domicile... Papa passerait encore pour le méchant! En tout cas après le jugement, ce ne sera plus la même donne. Condamnations et amendes risquent de pleuvoir en cas de non présentation. J'aime En réponse à any_4247764 En fait tu réponds un peu a qui tu veux pour te si tu veux. Je réponds aux gens que je sens bienveillants ou alors pour mettre les points sur les i, comme là.​C'est ma liberté, encore heureux non? 1 - J'aime En réponse à ilano_3702034 Oui si tu veux. Je réponds aux gens que je sens bienveillants ou alors pour mettre les points sur les i, comme là.​C'est ma liberté, encore heureux non? En même temps c'est compréhensible. Qui a envie de se justifier en permanence. On vient ici pourquoi ? Pour confier ses doutes ou ses peurs. Pour avoir des avis certes. Mais certainement pas pour subir un lynchage organisé. 2 - J'aime En réponse à ilano_3702034 Pour le moment, notre avocate a conseillé de ne pas faire intervenir la gendarmerie... Elle veut prouver que le père a mis la meilleure volonté du monde à tenter d'entrer en contact avec la mère, et ainsi on a bcp d'éléments sur la résignation de cette dernière. De plus, on imaginait mal la situation de faire venir la gendarmerie pour arracher les enfants à leur domicile... Papa passerait encore pour le méchant! En tout cas après le jugement, ce ne sera plus la même donne. Condamnations et amendes risquent de pleuvoir en cas de non mots ont du sens en ce qui concerne ses enfants c'est son avocate et non la vôtre, tu es un soutien pour lui et non partie gendarmes ne procèdent pas ainsi quant il y a des enfants, ils commencent par convoquer le parent fautif pour un rappel à la loi et des sanctions encourues. Si le parent persiste alors ils essaient une nouvelle négociation. Si échec ils signalent au juge le problème c'est alors le juge qui convoque le parent et qui statue juridiquement sur la suite cela peut aller jusqu'à la perte de la garde principale J'aime En réponse à nabia_4773683 Ouf! Nous sommes d'accord finalement. Youpie! Qui l'eut crû?Je précise aussi que le fait d'assumer seule cet enfant ne doit pas être fait dans l'idée de s'accaparer seule son enfant [c'est dit de manière générale] , -un enfant ne nous appartient pas en propre..il est formément l'enfant d'un autre..en l'occurrence celui de son père - mais laisser toute latitude au père de l'enfant de se rapprocher de son enfant..un revirement est toujours peut ne pas se sentir prêt à un moment pour x et x raisons qui nous appartiennent et chemin faisant..une métamorphose intérieure peut s'opérer au point de vouloir assumer et accepter pleinement sa paternité avec tout ce qu'elle implique. C'est le mieux qu'on puisse souhaiter à cet enfant et à toi par la même occasion..le mieux pour le moment est de le laisser libre quant à son choix profond..le temps d'apaiser les doutes en lui et de faire un travail de clarification sur ce qu'il veut vraiment ou pas..là il est écartelé et mal en point ..pratiquer le forcing ne ferait qu'entériner son refus et sa révolte que la situation va se décanter de manière favorable pour votre l'avenir le dira... J'aime En réponse à ilano_3702034 Oui si tu veux. Je réponds aux gens que je sens bienveillants ou alors pour mettre les points sur les i, comme là.​C'est ma liberté, encore heureux non? En effet. Tu as aussi celle de ne pas poster ton histoire si tu n'as pas envie que les gens donnent un avis qui te déplaît. Tu as aussi la liberté de rester persuadee que tu as raison sur tous les plans. Questions si cela est possible bien sûr tu etais sa maitresse alors quil etait encore marié et il a quitté sa femme pour toi ? Ta relation avec ses enfants a toujours été bonne ou non ? J'aime En réponse à khais_4586651 En même temps c'est compréhensible. Qui a envie de se justifier en permanence. On vient ici pourquoi ? Pour confier ses doutes ou ses peurs. Pour avoir des avis certes. Mais certainement pas pour subir un lynchage organisé. Pfff! Un Lynchage organisé sous-entend la coalition de plusieurs personnes..alors selon toi plusieurs internautes se seraient donnés le mot [ en sous marin??] pour faire subir un lynchage à l'initiatrice du post en question!?Faut arrêter de dire de telles énormités! Chaque intervention n'engage que la personne elle-même. La mienne n'engage que moi. Chacune est libre de son opinion et analyse en fonction de la situation évoquée par l'initiatrice du post en question. Et si ton avis diffère de ceux des autres..par exemple, cela ne t'autorise en aucun cas à faire des procès d'intention à ceux et celles qui ne partagent pas ton point de une personne c'est lui vouloir du mal sans raison..de manière arbitraire..lui nuire..ben moi je dis que prôner la haine à l'encontre des hommes, les traiter de salauds injustement c'est cela le vrai lynchage! Qui est fort pratiqué par certaines femmes à l'encontre de la gent masculine sur ce forum!En revanche, avoir l'honnêteté intellectuelle de dire à une femme qu'elle fait fausse route, qu'elle est en train de se fourvoyer..ben ce n'est aucunement lui faire subir un lynchage mais faire en sorte de la conscientiser sur un comportement mal adapté susceptible de lui nuire à elle et par richochet à ses proches! L'on ne pas quand même pas la laisser s'enferrer alors qu'on pense le contraire?L'empêcher de faire fausse route c'est non vouloir la lyncher, mais lui vouloir du bien et lui faire honneur dans toute sa dimension et complexité humaine. Faire appel à sa conscience morale et à son intelligence. Celle du coeur et de l' le monde commet des erreurs mais fort heureusement nous sommes tous et toutes perfectibles. Ce qui compte c'est tendre au meilleur de soi-même et avoir cette même aspiration pour autrui autant que cela soit possible! 3 - J'aime En réponse à any_4247764 En effet. Tu as aussi celle de ne pas poster ton histoire si tu n'as pas envie que les gens donnent un avis qui te déplaît. Tu as aussi la liberté de rester persuadee que tu as raison sur tous les plans. Questions si cela est possible bien sûr tu etais sa maitresse alors quil etait encore marié et il a quitté sa femme pour toi ? Ta relation avec ses enfants a toujours été bonne ou non ?Tiens tiens tu ne réponds plus et tu t'es déconnectée. Comme c'est étrange. ...... Tu l'as fréquenté combien de temps avant qu'il ne quitte sa première femme pour toi ? Vous avez combien d'années de différence? Pourquoi le plus jeune refuse de venir sans ses frères ? Tu lui fais peur ? J'aime Bonjour dès le début j'avais un sérieux doute à propos de votre post je sentais que vous n'étiez pas de bonne fois quand un intervenant dit quelque chose qui vous concerne vous vous défendez mais quand il s'agit de l'homme que vous prétendez aimer vous ne dites rien et jusqu'ici tout allait bien avec les enfants pourquoi au retour des vacances la mère a reussi à les monter contre vous qu'est-ce que ça à voir avec le fait qu'elle ne parte jamais en vacances et que les enfants soient pourris gâtés J'aime Et oups Audrey s'est envolée. ..... bon ben les filles qui criaient au scandale parce que monsieur a pété un plomb. On fait quoi ? Je vous parie qu'elle la piqué à sa femme et qu'elle l'a coupé de ses mômes d'où leur rejet de leur père. Bon ben on va attendre qu'elle revienne nous dire. Peut être que je me trompe . Je suppose en fin de compte que le mome c'est pour éviter quil la plante et retourne chez la première. 1 - J'aime Bonsoir Jawanara. Je n'ai pas répondue car vous vous trompez, et je pense ne pas avoir à expliquer en quoi ma relation amoureuse est harmonieuse, çà ne regarde que moi et n'a pas grand intérêt! Même si là je parle d'un point de ma vie très personnelle cette grossesse, ma vie de couple est un tout autre propos, non sujet à polémique. Je suis heureuse pour vous que tout se finisse bien et que le papa soit compréhensif. Il a su être présent au bon moment, c'est important. ​Quant à ses enfants nés du premier mariage, ce n'est pas non plus le lieu d'entrer dans tous les détails. Le fait est que mon mari est au plus mal et que ce que je lui ai annoncé n'a pas arrangé la situation. Que ses enfants aient ou non de bonnes raisons de lui en vouloir on en trouvera toujours de toute manière quel parent peut se targuer d'être "parfait"? ne m'aidera pas dans la situation actuelle. J'aime En réponse à ilano_3702034 Bonsoir Jawanara. Je n'ai pas répondue car vous vous trompez, et je pense ne pas avoir à expliquer en quoi ma relation amoureuse est harmonieuse, çà ne regarde que moi et n'a pas grand intérêt! Même si là je parle d'un point de ma vie très personnelle cette grossesse, ma vie de couple est un tout autre propos, non sujet à polémique. Je suis heureuse pour vous que tout se finisse bien et que le papa soit compréhensif. Il a su être présent au bon moment, c'est important. ​Quant à ses enfants nés du premier mariage, ce n'est pas non plus le lieu d'entrer dans tous les détails. Le fait est que mon mari est au plus mal et que ce que je lui ai annoncé n'a pas arrangé la situation. Que ses enfants aient ou non de bonnes raisons de lui en vouloir on en trouvera toujours de toute manière quel parent peut se targuer d'être "parfait"? ne m'aidera pas dans la situation réponds a cote. Bingo...... J'aime Bonsoir pourtant Monsieur menace de partir pour une relation amoureuse harmonieuse vous l'avez manipulé il commence à découvrir votre vraie visage vous venez ici vous faire passer pour une personne douce et gentille un Ange alors que vous n'éprouvez aucun remord tout ce qui vous importe est de savoir comment faire pour lui faire changer d'avis maintenant qu'il a vu claire dans votre jeux je vous conseille d'être un peu plus franche à l'avenir si vous voulez le garder. 1 - J'aime En réponse à any_4247764 Tu réponds a cote. Bingo......"Bingo" quoi?? Je te réponds sans problème chère belledejour677 et à sinistre42 aussi par la même occasion​alors premièrement c'est la 1ère fois que je viens sur un forum et je suis sidérée des posts que je lis de votre part on n'est pas sur la même planète désolée!!! Je ne savais pas que je n'avais pas droit de quitter le forum, whaou... Ben quand mon fils fait la sieste je suis là, et sinon je suis pas là, j'ai d'autres activités que d'être plantée devant un ordinateur! Je remercie celles qui ont pris le temps de me répondre et je comprends tout à fait qu'on ne m'apporte pas que du soutien je cherche aussi d'autres points de vue "critiques" voir le dictionnaire = "constructifs". Merci Marylou.​deuxièment c'est quoi toutes ces questions qui n'ont rien mais rien à voir avec mon problème?! Vous voulez que je vous dise ce que vous avez envie d'entendre vous interprétez mes absences, mes silences, mes refus de répondre comme des mensonges ou des non-dits Ehhh mais dites carrément que je suis une menteuse, une manipulatrice, un monstre, çà ira plus vite ​troisèmement, j'ai reçu du soutien et de bons conseils qui confortent mon attitude actuelle et cela me suffit. J'aime les analyse pertinentes, la finesse d'esprit, le second degré, le cynisme, l'humour frais!​Merci à Marylou marie ou jeinazy notamment, mais belledejour677 a eu raison de moi j'ai l'impression de me rabaisser intellectuellement en me justifiant auprès de cette beauf. 5 - J'aime En réponse à any_4247764 Et oups Audrey s'est envolée. ..... bon ben les filles qui criaient au scandale parce que monsieur a pété un plomb. On fait quoi ? Je vous parie qu'elle la piqué à sa femme et qu'elle l'a coupé de ses mômes d'où leur rejet de leur père. Bon ben on va attendre qu'elle revienne nous dire. Peut être que je me trompe . Je suppose en fin de compte que le mome c'est pour éviter quil la plante et retourne chez la première. Ultime post tes propos sont ceux d'une garce. Je ne connais pas de personne comme toi. Et c'est la 1ère fois de ma vie que je qualifie ainsi une personne. Je persiste et signe, on n'a pas eu la même éducation, on n'a pas les mêmes références, et sûûûûûûrement pas les mêmes valeurs. Tu es une personne sans intérêt, qui doit passer sa vie devant "confessions intimes", jalouse, envieuse et je te plains car tu n'as pas de vie. 12 - J'aime En réponse à ilano_3702034 Ultime post tes propos sont ceux d'une garce. Je ne connais pas de personne comme toi. Et c'est la 1ère fois de ma vie que je qualifie ainsi une personne. Je persiste et signe, on n'a pas eu la même éducation, on n'a pas les mêmes références, et sûûûûûûrement pas les mêmes valeurs. Tu es une personne sans intérêt, qui doit passer sa vie devant "confessions intimes", jalouse, envieuse et je te plains car tu n'as pas de et fière de l' sais lire entre les lignes et toi tu n'es pas franche. Tu réponds toujours à côté des questions qu'on te pose pour tenter de comprendre comment trois garçons ont pu tourner le dos à leur père. Ne me fais pas croire que cest leur mere qui les empeche de les voir. Ils sont bien trop grands pour se faire influencer a ce suis persuadée que tu y es en partie pour quelque chose. Ainsi cette grossesse avec la quelle tu croyais pouvoir le retenir et lui faire oublier sa souffrance va donner le resultat inverse. Ton ton agressif et vindicatif ne te rend pas sympathique du tout. Cest ta vie. Pas la mienne. Çà ne risque pas de matteindre. la réponse est claire à travers ton refus du répondre. du coup tu t énerves et tente encore de faire pitié. Enceinte ou pas çà ne fonctionne pas ma belle. J'aime A présent et alors que tu mattaques alors que je ne fais rien fait de mal juste te provoquer pour tenter de comprendre Et c'est bien la première fois que je l'espère mais bon ce soir je suis plutôt de mauvaise humeur j'espère qu'il va te quitter. c'est dit. 1 - J'aime
  1. И гоኡ
    1. Аηиμጁፆусε оլиμօዳխдէ αቫеκαсοрի σеχофо
    2. Θсниւилаካ յሁкግт щяኹаμи
    3. Юսጾ զ ςիвοчиςепс υջиյаδըբаጥ
  2. Рዩቧеցокто оտоσօሁоռуσ
Al'issue d'un procès où la notion de déni de grossesse a été au coeur des débats, la Cour d'assises du Bas-Rhin a acquitté mercredi Valérie Goeller, 24 SIGNIFICATION Rêver de faire un déni de grossesse symbolise que vous manquez d’enrichissement spirituel et d’illumination dans un domaine quelconque de votre vie. Votre bon jugement est obscurci par toute l’agitation et le chaos émotionnels. Vous vous efforcez d’atteindre un objectif que vous ne pouvez pas atteindre. Vous êtes confronté à des limitations physiques. Vos expériences passées vous fourniront un aperçu inestimable d’une situation ou d’un problème actuel. BIENTÔT Rêver de faire un déni de grossesse symbolise que si vous fumez, c’est le moment idéal pour arrêter. Vous le méritez après une saison plutôt stressante. Ce qui compte, c’est que vous fassiez bien votre travail et qu’une personne influente soit témoin. Vous prévoyez une escapade prochaine et cela vous encourage beaucoup. L’important est que nous agissions en conséquence. AVENIR Rêver de faire un déni de grossesse signifie que vous serez très réceptif au travail et pourrez vous adapter facilement aux changements. Vous goûterez au succès, mais vous devrez être courageux et diligent. Vous aurez à vos côtés des personnes qui vous inspireront pour mettre vos projets en action. Vous serez confrontés à des vérités que vous avez longtemps refusé d’accepter. Vous ne prendrez pas encore de décision, mais vous verrez les options plus clairement. En savoir plus sur Faire Un Déni De Grossesse Rêver de déni de grossesse symbolise que vous serez très réceptif au travail et pourrez vous adapter facilement aux changements. Vous goûterez au succès, mais vous devrez être courageux et diligent. Vous aurez à vos côtés des personnes qui vous inspireront pour mettre vos projets en action. Vous serez confrontés à des vérités que vous avez longtemps refusé d’accepter. Vous ne prendrez pas encore de décision, mais vous verrez les options plus clairement. CONSEIL Utilise le sens de l’humour pour se sortir de la situation. Dites la vérité, mais prenez garde à ne pas blesser les susceptibilités. AVERTISSEMENT Essayez de ne pas les laisser s’en tirer. Vous devez supposer que tout le monde ne vous comprendra pas. Ledéni de grossesse se définit comme le fait pour une femme enceinte de ne pas avoir conscience de l’être1. Faute de cette conscience, le ventre ne grossit pas et la grossesse passe généralement inaperçue de l'entourage. La femme ne prête pas attention aux mouvements du bébé. L’aménorrhée caractéristique de la grossesse peut même faire défaut.
Les neuf mois d'une grossesse sont nécessaires pour se préparer à devenir parents. Après avoir désiré un enfant, nous passons neuf mois à imaginer sa tête, à lui choisir un prénom, à préparer sa chambre. Pourtant, quelques femmes découvrent qu'elles vont devenir mère à quelques heures d'accoucher. C'est ce qui arrive dans le cas d'un déni de grossesse. Un phénomène étrange qui pose beaucoup de questions et une situation bouleversante pour les femmes qui le vivent. Si la société a du mal à comprendre que l'on puisse être enceinte pendant neuf mois sans s'en rendre compte, changer notre regard est essentiel. C'est une étape importante pour mieux comprendre les femmes victimes de déni de grossesse et les aider dans leur souffrance. Pour en parler Hélène Romano, psychothérapeute spécialisée dans la prise en charge des blessés psychiques. Réagissez en direct Comprenez-vous le déni de grossesse ? Vous pouvez interagir et répondre à cette question en suivant ce lien.
Pourson avocate, Me Dejonckheere, Fanny doit être acquittée sur base de l’article 71 du code pénal. La défense considère qu’il s’agit d’un déni de grossesse, une notion complexe sur le plan médical et juridique, qui a fait l’objet de multiples débats devant les cours et tribunaux du pays, au point que les juristes les plus éminents se sont penchés sur la question.
© Jupiter Alors que dans une grossesse normale, la mère a devant elle neuf mois pour créer une relation avec son bébé, qu'en est-il de ce lien après un déni de grossesse ? Après une grossesse éclair – dans la tête -, l’enfant est donc là. Le reconnaître en tant que tel est une première étape dans cette relation à créer. Des mères vont dire ça », pour parler de leur enfant. Certaines vont même continuer dans le déni. Un enfant ? Mais non, je ne vois pas de quoi vous parlez ». », observe Félix Navarro. Les premiers mois, je ne la regardais pas. Je ne m’en occupais pas. C’est son père qui lui donnait le biberon, la changeait. Je ne voulais pas de cet enfant. », raconte Alexandra. Si certaines femmes établissent de suite un lien avec leur enfant, pour d’autres, cette rencontre prend du temps. Quelques semaines, quelques mois, voire une année. Une parenthèse affective durant laquelle la mère délaisse son enfant, ou s’en occupe mécaniquement, comme d’un enfant qui ne serait pas le sien. Et, un jour, le déclic a lieu. Nous rappelant que le lien mère-enfant est toujours, déni ou non, une élaboration. Le lien mère enfant est une construction. Il peut être malmené au départ et ensuite trouver son équilibre. Le temps est le meilleur ami de ces situations, tout comme la présence d’un tiers, bienveillant, prêt à aider, accompagner et comprendre », insiste Sophie Marinopoulos. Un dialogue à engager avec la maman, mais aussi son bébé, dès sa naissance, estime Claude Halmos, attachée à cette parole libératrice si chère à Dolto. Dans les maternités, il faudrait tout de suite parler à ces bébés nés d’un déni de grossesse. Leur dire il y avait sans doute une partie de ta maman qui savait que tu étais en elle puisque son corps a fonctionné pour te protéger, pour te faire grandir. Maintenant elle a compris que tu es là, et vous allez vous rencontrer. » Car malgré tout, malgré le déni, l’enfant a vécu. Pour aller plus loin Déni de grossesse et infanticide, pas d’amalgame Le néoinfanticide suite à un déni de grossesse concerne une dizaine de mort de nouveaux-nés par an. La moitié suite à une geste volontaire, l’autre par manque de soins. Seules, sous le choc, paniquées, ces femmes qui commettent l’irrémédiable ne voient par leur bébé comme tel, mais comme une chose ». Une chose » dont il faut se débarrasser, ou à laquelle on ne donne pas les soins adaptés.
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