Lavie chrĂ©tienne est en effet fondĂ©e sur un Ă©vĂ©nement : la mort et la rĂ©surrection de JĂ©sus. La vie chrĂ©tienne est un partage du passage de JĂ©sus Ă son PĂšre. Il ne sâagit pas seulement de « migration de lâĂąme », mais de lâespĂ©rance que toute personne, Ă lâimage du Christ, est appelĂ©e Ă entrer dans la gloire, avec le plus matĂ©riel, le plus fragile et le plus humble de
Actualisation mars 2019 StĂ©phane Allix nous parle de son livre âLe testâ Que se passe-t-il aprĂšs la mort ? Nos dĂ©funts sont-ils confus ou comprennent-ils ce qui leur arrive ? Vivent-ils un temps dâadaptation avant dâĂ©voluer ? Et sâil existait des moyens de les aider ? Et de nous aider Ă mieux vivre ce deuil par la mĂȘme occasion ? Actualisation, octobre 2018 Dans son nouveau livre AprĂšs⊠StĂ©phane Allix dĂ©voile que plus dâun quart des personnes en deuil font lâexpĂ©rience de formes diverses de communication spontanĂ©es aprĂšs le dĂ©cĂšs dâun proche. Preuves supplĂ©mentaires de la rĂ©alitĂ© dâune vie aprĂšs la mort, ces expĂ©riences nous invitent en outre Ă nous interroger sur le sens de lâexistence. Ancien chirurgien, Thierry Janssen quitte tout pour Ă©tudier la psychologie et devient une rĂ©fĂ©rence en dĂ©veloppement personnel. Il dĂ©veloppe ensuite une spiritualitĂ© incorporant une voie de guĂ©rison du corps et de lâesprit, quâil partage dans son Ă©cole de la prĂ©sence thĂ©rapeutique et dans son dernier ouvrage Ăcouter le silence Ă lâintĂ©rieur ». Article dâorigine Et si la mort nâexistait pas ? avec ValĂ©rie Seguin sur btlv Si vous avez ratĂ© la confĂ©rence de lâObservatoire du rĂ©el sur le sujet, voici de quoi rattraper le coup ! Avec la complicitĂ© de Dominique Bachy, ValĂ©rie Seguin est allĂ©e Ă la rencontres de Raymond Moody, de Didier Van Cauwelaert, de Philippe Guillemant, de Nicolas Fraisse, etc..mais aussi de tĂ©moins ayant vĂ©cu des expĂ©riences de mort imminente EMI ou NDE dans le but de comprendre la mort et ses mystĂšres ? Que se passe-t-il lorsque nous mourrons ? OĂč allons-nous ? Subsiste-t-il quelque de chose de nous ? Les tĂ©moins des expĂ©riences de mort imminente en sont convaincus. MalgrĂ© tout, personne ne peut rĂ©ellement dire que la vie aprĂšs la mort est une rĂ©alitĂ©, mĂȘme si ce film âEt si la mort nâexistait pas ?â nous donne de lâespoir sur le sujet.Lelivre qu'il est supposĂ© avoir lu juste avant sa mort n'existait pas Il sera publiĂ© un an plus tard. (bonus)Il aurait Ă©tĂ© aperçu sur une Ăźle dĂ©serte avec Michael Jackson, Clo-clo et
Cette citation, cri de ralliement du nihilisme, et que l'on attribue trĂšs justement Ă DostoĂŻevski, n'existe pas en tant que telle c'est-Ă -dire sous cette forme vulgarisĂ©e. En effet, elle n'est que la condensation d'un passage des FrĂšres Karamazov, dans lequel Dimitri l'un des trois frĂšres s'exprime ainsi "Que faire si Dieu n'existe pas, si Rakitine a raison de prĂ©tendre que c'est une idĂ©e forgĂ©e par l'humanitĂ© ? Dans ce cas l'homme serait le roi de la terre, de l'univers. TrĂšs bien ! Seulement, comment sera-t-il vertueux sans Dieu ? Je me le demande. [...] En effet, qu'est ce que la vertu ? RĂ©ponds-moi AlexĂ©i. Je ne me reprĂ©sente pas la vertu comme un chinois, c'est donc une chose relative ? L'est-elle, oui ou non ? Ou bien elle n'est pas une chose relative ? Question insidieuse. [...] Alors tout est permis ?" Paroles de Mitia Dimitri dans Les frĂšres Karamazov de DostoĂŻevski, 4e partie, Livre XI, chapitre 4. Nietzsche s'est trĂšs largement inspirĂ© de cette citation, notamment dans la GĂ©nĂ©alogie de la morale TroisiĂšme traitĂ©. C'est ainsi qu'il Ă©crit au paragraphe 24 "Lorsque les croisĂ©s chrĂ©tiens se heurtĂšrent en Orient Ă l'invincible ordre des Assassins, cet ordre d'esprits libres par excellence dont les grades les plus bas vivaient dans une obĂ©issance qu'aucun ordre monastique n'a Ă©galĂ©e, ils reçurent par quelque voie une indication sur le symbole et la devise qui Ă©taient rĂ©servĂ©s aux seuls grades supĂ©rieurs comme leur secret "rien n'est vrai, tout est permis"... VoilĂ , par exemple qui Ă©tait de la libertĂ© de l'esprit, cette formule congĂ©diait la foi mĂȘme en la vĂ©ritĂ©..." Nietzsche dĂ©veloppe ensuite une rĂ©flexion sur le sens de l'existence Ă partir de cette idĂ©e de la mort de Dieu ou du vrai, qui culmine au paragraphe 28 du TroisiĂšme traitĂ©. Sartre a lui aussi repris Ă son compte la citation de DostoĂŻevski dans un passage cĂ©lĂšbre de L'existentialisme est un humanisme "DostoĂŻevski avait Ă©crit "Si Dieu n'existait pas, tout serait permis." C'est lĂ le point de dĂ©part de l'existentialisme. En effet, tout est permis si Dieu n'existe pas, et par consĂ©quent l'homme est dĂ©laissĂ©, parce qu'il ne trouve ni en lui, ni hors de lui une possibilitĂ© de s'accrocher. Il ne trouve d'abord pas d'excuses. Si, en effet, l'existence prĂ©cĂšde l'essence, on ne pourra jamais expliquer par rĂ©fĂ©rence Ă une nature humaine donnĂ©e et figĂ©e ; autrement dit, pas de dĂ©terminisme, l'homme est libre, l'homme est libertĂ©. Si, d'autre part, Dieu n'existe pas, nous ne trouvons pas en face de nous des valeurs ou des ordres qui lĂ©gitimeront notre conduite. Ainsi, nous n'avons ni derniĂšre nous, ni devant nous, dans le domaine numineux des valeurs, des justifications ou des excuses. Nous sommes seuls, sans excuses. C'est ce que j'exprimerai en disant que l'homme est condamnĂ© Ă ĂȘtre libre. CondamnĂ©, parce qu'il ne s'est pas créé lui-mĂȘme, et par ailleurs cependant libre, parce qu'une fois jetĂ© dans le monde, il est responsable de tout ce qu'il fait". Date de crĂ©ation 05/01/2006 2214 DerniĂšre modification 23/12/2010 1409 CatĂ©gorie Page lue 9931 fois Imprimer l'article
Lamort doit-elle ĂȘtre triste, drĂŽle, sĂ©rieuse? On y revient. D'abord, on salue les 4% de zombies, ça ne doit pas ĂȘtre facile de cliquer sur des rĂ©ponses avecOĂ EN EST LA SCIENCE SUR LA VIE APRĂS LA MORT ? Pour dĂ©couvrir la 2Ăšme partie Abonnez-vous Ă la chaĂźne pour dĂ©couvrir nos prochaines vidĂ©os dâexperts RĂ©alisation ValĂ©rie Seguin et Dominic Bachy PrĂ©sentation AurĂ©lie Godefroy Narration François-Eric Gendron Ce film prĂ©sente les Ă©tudes scientifiques et les diffĂ©rents phĂ©nomĂšnes observĂ©s autour de la mort EMI, dĂ©corporations, contacts avec les dĂ©funts, visions des mourants, ⊠et rĂ©unit pour la premiĂšre fois un grand nombre de scientifiques rĂ©putĂ©s sur ce sujet Le Pr. Steven Laureys, plusieurs mĂ©decins et neurologues Mario Beauregard, Thierry Janssen, Raymond Moody, François Lallier, Pim Van Lommel, Jean-Jacques Charbonier, Constance Yver-Elleaume, Olivier Chambon, etc. Des biologistes et des physiciens Sylvie Dethiollaz, Philippe Guillemant et Trinh Xuan Thuan. Mais aussi des personnalitĂ©s notamment lâĂ©crivain Didier van Cauwelaert. Quelles sont leurs conclusions? POUR SUIVRE NOS ACTUALITES Pour comprendre Ă quel moment sâeffectue le PRELEVEMENT DâORGANES Si vous souhaitez soutenir les recherches dâISSNOE sur la dĂ©localisation de la conscience Note L. SM Je vous garanti par mon expĂ©rience personnelle que la mort nâexiste pas. Nous sommes la conscience et non pas un corps. Le corps est un vĂ©hicule le temps dâune expĂ©rience. Namaste L. ET SI LA MORT N'EXISTAIT PAS, oĂč en est la science sur la vie aprĂšs la mort? Pour suivre nos actualitĂ©s, voir les liens ci-dessous pour vous abonner Ă
Jusqu'Ă un passĂ© rĂ©cent, le cimetiĂšre au Ă©tait rĂ©uni l'ensemble d'une famille Ă©tait le lieu de destination Ă©vident de son propre corps aprĂšs sa propre mort. Aujourd'hui, cela ne va plus de soi... AFP/ANDRE DURAND Le tabou de la mort est un fait contemporain. Parmi les questions qu'il soulĂšve et auxquelles il semble de plus en plus difficile de rĂ©pondre "OĂč vais-je me faire enterrer? OĂč enterrer mon pĂšre, ma mĂšre?" La rĂ©ponse allait encore de soi dans un passĂ© rĂ©cent, plus aujourd'hui... Pour quelle raison? Le rattachement Ă une territorialitĂ© n'est plus une Ă©vidence, en effet, et la mort n'y Ă©chappe pas. Jusqu'Ă un passĂ© rĂ©cent, disons avant la deuxiĂšme guerre mondiale, le cimetiĂšre oĂč Ă©tait rĂ©uni l'ensemble d'une famille Ă©tait forcĂ©ment le lieu de destination de son propre corps aprĂšs sa propre mort. On n'avait mĂȘme pas Ă y penser. Il Ă©tait au bout du village, c'est lĂ qu'on serait un jour. Tout ceci n'est plus une Ă©vidence. Ce phĂ©nomĂšne tient Ă plusieurs raisons qui se conjuguent l'urbanisation - nous sommes passĂ©s de la sociĂ©tĂ© du village Ă celle de l'agglomĂ©ration urbaine ; l'Ă©clatement des familles ; le fait que la profession exercĂ©e ne se fait plus dans le pĂ©rimĂštre du lieu de naissance, les dĂ©placements devenant la rĂšgle. Un jour, vous ĂȘtes mutĂ© Ă Tokyo, le lendemain Ă Metz... Tout devient plus compliquĂ©. VoilĂ pour les aspects socio-dĂ©mographiques, les transformations objectives des modes de vie. Au-delĂ , qu'est-ce que cela traduit de notre rapport Ă la mort?Notre sociĂ©tĂ©, c'est une banalitĂ© de le dire, ne se penche plus beaucoup sur la mort. Plus tard on y pense, mieux c'est. L'essor de la crĂ©mation tient aussi Ă cela, d'ailleurs, entre autres raisons. On n'est plus attachĂ© Ă un territoire, donc cela fait moins de sens d'ĂȘtre enterrĂ© Ă tel ou tel endroit. Le lieu d'inhumation a moins de signification que par le passĂ©. Jusqu'Ă ce qu'on interdise, il y a quelques annĂ©es, la possibilitĂ© de conserver l'urne chez soi, on pouvait de la sorte disposer de ses cendres comme on le voulait, ce qui rendait la mort comme hors lieu, hors du cimetiĂšre, lequel est aussi un espace collectif. On pouvait se dire "Le lieu des morts n'est pas celui de mon mort". Symptomatique d'un certain dĂ©sarroi social. Ramener le mort chez soi, c'est aller contre la rĂšgle fondamentale de la ritualitĂ© funĂ©raire, qui veut qu'on se sĂ©pare des morts. Ce dĂ©tachement de la territorialitĂ© est rĂ©cent, dites-vous. Oui, un saut a Ă©tĂ© franchi rĂ©cemment, mĂȘme s'il se prĂ©parait sans doute de longue date, et on peut le voir, lĂ encore, Ă travers la crĂ©mation. L'Eglise catholique a levĂ© l'interdiction de la crĂ©mation aprĂšs la deuxiĂšme guerre mondiale, relativement rĂ©cemment, donc. Dans les annĂ©es 1970, personne n'aurait alors imaginĂ© qu'elle progresserait comme elle l'a fait Ă partir des annĂ©es 1990. Aujourd'hui, un peu plus d'un Français sur deux l'envisage. Dans les annĂ©es 1970 et 1980, la crĂ©mation relevait d'une certaine vision du monde, d'une posture militante. A prĂ©sent, elle n'apparaĂźt plus comme un choix diffĂ©renciĂ© mais comme un option qui dĂ©coule aussi de ce dĂ©tachement du territoire et de cette logique d'urbanisation qui caractĂ©rise notre culture globale. On trouve des maisons funĂ©raires mĂȘme hors des grandes villes, mĂȘme Ă Sainte-Foy-la-Grande ! On peut se dire que c'Ă©tait rassurant, en quelque sorte, de savoir que l'on reposerait Ă tel endroit un jour... Qu'engendre cette incertitude nouvelle?Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1⏠sans engagement La ritualitĂ© funĂ©raire n'est pas seulement une coutume, elle agit aussi sur l'Ă©quilibre socio-psychique des personnes. Elle s'inscrit dans notre mĂ©moire collective. Ces changements nous questionnement Ă©videmment trĂšs profondĂ©ment par rapport Ă notre propre finitude, nos relations avec nos proches... Comment pourra-t-on Ă©tayer un souvenir s'il n'est plus rattachĂ© Ă un lieu, transmettre une mĂ©moire familiale? Autant de questions qui se posent. Nous faisons comme si tout ceci tout Ă©tait indiffĂ©rent, mais ce n'est pas vrai. Nous ne sommes pas indiffĂ©rents Ă notre propre devenir. Nous avons besoin de nous reprĂ©senter cet irreprĂ©sentable et nous ne pouvons pas faire n'importe quoi de notre propre corps, dans l'indiffĂ©rence de la souffrance de nos proches. Une Ă©volution notable, par ailleurs des entreprises funĂ©raires proposent de plus en plus, sur leur site Internet, d'aller se recueillir virtuellement, en photo, sur la tombe d'un proche, d'aller visiter le cimetiĂšre, de payer des fleurs qui y seront dĂ©posĂ©es... On met au point des services censĂ©s combler la distance physique "Je suis Ă Bordeaux, mon pĂšre est enterrĂ© Ă Strasbourg..." La ritualitĂ© funĂ©raire serait donc moins importante, aux yeux des Français?Pas du tout, et c'est aussi toute la question. La Toussaint, on le voit bien, reste un jour trĂšs important c'est l'un des jours oĂč il y a le plus de circulation en France, ce qui veut dire que les gens se dĂ©placent. C'est aussi l'un des jours oĂč l'on achĂšte le plus de fleurs. Ce n'est donc pas du tout indiffĂ©rent. Le fait de ne plus savoir oĂč l'on va ĂȘtre enterrĂ© est plus marquĂ© Ă la ville qu'Ă la entendu. Dans les villages, on est encore enterrĂ© de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration et on y trouve encore une prĂ©sence des signes sociaux de la mort, une sonoritĂ© le clocher du village, le glas..., qu'on n'a plus en ville, oĂč la mort n'est plus perceptible. Voyez le corbillard et l'Ă©cart de culture entre ce qu'on peut en voir aujourd'hui et ce qui en est montrĂ©, par exemple, dans Le Corbeau, le film de Clouzot, qui ne date pas non plus du Moyen Age ! Tout le village qui processionne derriĂšre le corbillard tirĂ© par des chevaux... Dans mon enfance, le corbillard Ă©tait un vĂ©hicule noir qui roulait lentement en bordure du trottoir, n'occupait pas le centre de la chaussĂ©e. Aujourd'hui, il se mĂȘle Ă la circulation, comme les autres vĂ©hicules. La mort Ă©tait inscrite dans le paysage, dans l'espace partagĂ©, elle ne l'est plus. ConsĂ©quence de son refoulement?Oui, ou de son dĂ©ni. Le grand anthropologue Louis-Vincent Thomas parlait, lui, de "dĂ©ni de la mort", expression qui ne signifiait pas seulement le refus ou la peur de la mort mais le fait de faire comme si elle n'existait pas, n'avait aucune importance. Attitude encore plus Ă©trange que la simple peur ou le refus, et qui nous est contemporaine, car elle n'a jamais existĂ© auparavant, Ă aucun moment de l'Histoire. Or notre rapport Ă la vie est en rapport Ă la mort. Quand les choses ne sont plus parlĂ©es, plus signifiĂ©es, quand tout a l'air flottant, incertain, on perd des repĂšres essentiels. On peut aussi s'interroger, en matiĂšre de refoulement, sur la gĂ©nĂ©ralisation des cimetiĂšres pĂ©riurbains, crĂ©es dans les annĂ©es 1980, qui sont souvent des lieux isolĂ©s, Ă l'Ă©cart de la ville, et esthĂ©tiquement, situĂ©s dans des zones de relĂ©gation, entre le centre commercial et la dĂ©chetterie. Vous avez des panneaux oĂč celle-ci cĂŽtoie le crĂ©matorium, vous devez passer, pour y accĂ©der, par une montagne de pneus crevĂ©s ! Ce qui peut pousser Ă s'interroger sur la façon dont les vivants traitent les morts. Pourquoi un tel manque de soin? Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? Ă©ditions ChĂątelet-Voltaire, 2013 Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? Ă©ditions ChĂątelet-Voltaire, 2013 Delphine Saubaber Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne Rosencher
Dece fait, si la Lune n'existait pas, l'inclinaison de la Terre changerait et perturberait le climat, les températures et donc les saisons. Aussi,Isabelle Budor 06 60 39 27 67 contact Horaires du lundi au vendredi de 14h00 à 18h00 Pour toute séance, merci de prendre rendez-vous.
Lirela suite: Et si la rĂ©alitĂ© objective nâexistait pas ? DerniĂšre modification par JPL ; 19/11/2019 Ă 13h38. 19/11/2019, 14h03 #2 ils ne mouraient pas tous, mais tous Ă©taient frappĂ©s (les animaux malades de la peste)! 04/01/2020, 15h14 #20 RiketRok . Re : Actu - Et si la rĂ©alitĂ© objective nâexistait pas ?